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livrenum:afternoon_a_story [2016/11/27 18:12] – charles | livrenum:afternoon_a_story [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1 |
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* Lieu de trouvaille : //L'imaginiare littéraire du numérique//, p.8. | * Lieu de trouvaille : //L'imaginiare littéraire du numérique//, p.8. |
* Support numérique de l’œuvre : Clé USB/CD-ROM (24,95$) (créé par le logiciel Storyspace) | * Support numérique de l’œuvre : Clé USB/CD-ROM (24,95$) (créé par le logiciel Storyspace) |
* Caractéristiques médiatiques: Texte, | * Caractéristiques médiatiques: Texte et images statiques |
* Types d’interaction : Navigation | * Types d’interaction : Navigation à choix multiples, participatif de contenu |
* Thèmes : | * Thèmes : Mémoire, labyrinthe, éclatement narratif |
* Langue : Anglais | * Langue : Anglais |
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Source: GAUTHIER, Joëlle. 21 juillet 2009. « //Afternoon, a Story// ». Fiche dans le Répertoire des arts et littératures hypermédiatiques du Laboratoire NT2. En ligne sur le site du Laboratoire NT2. <http://nt2.uqam.ca/fr/repertoire/afternoon-story>. Consulté le 24 novembre 2016. | Source: GAUTHIER, Joëlle. 21 juillet 2009. « //Afternoon, a Story// ». Fiche dans le Répertoire des arts et littératures hypermédiatiques du Laboratoire NT2. En ligne sur le site du Laboratoire NT2. <http://nt2.uqam.ca/fr/repertoire/afternoon-story>. Consulté le 24 novembre 2016. |
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* Ma description : | * Ma description : //Afternoon, a Story// est considérée comme étant l'une des premières fictions hypertextuelles et aujourd'hui comme un "classique" du genre. L'oeuvre est composée principalement de texte et le lecteur peut parcourir le récit de plusieurs façons: en appuyant sur la touche "retour" de son clavier, en cliquant sur Y(Yes) et N(NO), cliquer sur des mots du texte pouvant parfois se révéler être des hypertextes cachés, écrire des mots interrogatifs, etc. Le lecteur peut donc lire l'oeuvre de manière linéaire en appuyant toujours sur "retour" ce qui provoque la venue de la suite de l'histoire. Cependant, il n'aura accès qu'à une infime partie de l'histoire (36 pages ou lexies) et cette voie de lecture réduira le récit à la tentative d'élucidation du mystère de l'accident auquel Peter, le personnage principal, fait face. Or, l'oeuvre est beaucoup plus large et complexe, comprenant au total 536 pages ou lexies différentes. Une lecture non linéaire est donc nécessaire afin d'explorer toute la complexité d'//Afternoon, a Story//. On pourrait qualifier la création de Joyce de fragmentée, labyrinthique, puisqu'elle n'a pas un objectif de finalité, mais plutôt celui d'une exploration de la mémoire du personnage. |
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* Commentaire : | * Commentaire : Pionnière dans le genre de la fiction hypertextuelle, //Afternoon, a Story// est un exemple probant de l'ampleur que peut prendre cette forme de récit. En comparaison avec la plupart des fictions hypertextuelles récentes, elle est en effet de beaucoup supérieure en termes de complexité narrative. Si on se penche seulement sur les possibilités d'interactions qui vont bien au-delà du simple clic sur un hypertexte, on se rend compte de toute l'immensité des intrications possibles au récit. Outre cela, je pense que ce qui est important de retenir à propos de cette oeuvre de Micheal Joyce est que la fin n'est plus une nécessité ni un but à atteindre dans ce genre littéraire. Je pense plutôt que son intérêt réside beaucoup plus dans la richesse de sa construction et la découverte de toutes ses possibilités narratives. Peut-être est-ce là le véritable potentiel des fictions hypertextuelles actuelles qui semblent perdre en popularité en proposant une structure plus prescriptive, où l'arrivée à un point final est un besoin qui est prédéterminé qu'on impose a lecteur. (À acheter pour plus de détails) |
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