livrenum:la_mecanique_du_texte
  • Référence : CROUZET, Thierry, La Mécanique du texte, Thaulk/Publie.net, 2015, 148 p.
  • Synthèse : Un livre où l’auteur dissèque ses propres pratiques d’écriture en contexte numérique. Particulièrement intéressant pour servir d’étude de cas au niveau de l’expérientialité de l’écriture en contexte numérique, même si l’auteur semble se contredire sur certains points.
  • Mots-clés : Écriture, Introspection, Technique, Outils, Pratiques
  • Langue : Français
  • Format : Papier et Numérique sur Publie.net (les 25 premières pages sont disponible en PDF sous licence CC au lien suivant : https://www.publie.net/wp-content/uploads/2013/04/9782371774124-EXTRAIT.pdf, consulté le 19 janvier 2016)
  • Description existante : « Un même auteur, avec des outils différents, écrit différemment ! Thierry Crouzet défend cette thèse dans La mécanique du texte. Son idée de départ : la technique n'est pas plus étrangère à la littérature qu'aux arts plastiques ou à la musique. Il encourage ses collègues autant que les lecteurs, les bibliothécaires et les éditeurs à expérimenter, à changer d'outils et de logiciels. Il nous raconte comment successivement le blog, le Markdown ou Wattpad ont transformé sa vie, mais aussi comment les plumes métalliques, la machine à écrire ou le traitement de texte ont joué un rôle clé pour ses prédécesseurs du XIXe et du XXe siècle. De Flaubert à François Bon en passant par Perec, Katherine Pancol, Mark Twain ou George R.R. Martin, Crouzet lance une réflexion stimulante pour les passionnés de littérature. », trouvé sur http://tcrouzet.com/la-mecanique-du-texte/, le 19 janvier 2016.
  • Compte rendu existant : GUILLAUD, Hubert, « Comment la correction automatique qui souligne les mots en train de s’écrire génère une écriture par saccade et permet d’arriver à un premier jet souvent plus abouti, mais moins spontané… Comment l’usage d’outils pour repérer les répétitions et les faire disparaître permet de mieux maîtriser sa production… Nombre d’idées posées là en font naître de nouvelles. » ; “C’est peut-être d’ailleurs la limite de l’exercice. À force de laisser dérouler ses pensées… Thierry Crouzet en arrive hélas à se contredire. Alors qu’il nous dit que l’auteur doit maîtriser le code, que l’outil qu’il utilise à un impact sur la manière même dont il sera lu, il souligne que « désormais, il est impossible pour un auteur de savoir comment il sera lu », alors qu’il n’a cessé de nous montrer combien les choix étaient primordiaux à chaque projet. Il accuse ses confrères de s’accrocher à la métaphore du livre parce que le web ne leur rapporte rien… Oubliant peut-être un peu vite que le problème est peut-être plus un problème de force de diffusion et de proposition éditoriale, quand le web porte encore trop souvent la limite de l’autopublication, en passe d’envahir jusqu’à l’espace du livre tout entier. ” ; « Le livre de Thierry Crouzet nous interroge en profondeur sur le rapport des écrivains à leurs outils à l’heure du numérique : ce qui n’est pas si courant. On sent dans la perspective qu’il dresse une accélération, une transformation en cours, que l’auteur qui les vit tente de consigner en même temps qu’il les vit. Et c’est cette part d’expérience qu’il partage avec nous qui est intéressante, même si elle n’est ni terminée, aboutit ou figée. Thierry Crouzet vit la révolution numérique depuis son origine et c’est en cela qu’il est passionnant. », trouvé sur http://lafeuille.blog.lemonde.fr/2015/06/29/de-linfluence-de-la-technologie-sur-la-litterature/, le 19 janvier 2016.
livrenum/la_mecanique_du_texte.txt · Dernière modification : 2018/02/15 13:57 de 127.0.0.1

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