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ranx:le_gardien_enferme

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-== Grille de pré-analyse – critique de l’œuvre de Chevillard – théorie implicite ==+====== Mise à l'épreuve de la grille de pré-analyse sur article journalistique sur Chevillard théorie implicite du récit ======
  
-À titre indicatif : Si la grille s’est élaborée en repérant les notions narratives et les stratégies rhétoriques récurrentes dans l’ensemble de la critiqueelle a également été influencée par deux propositions glanées au hasard de lecturesqui trouvent un certain écho dans la critique de Chevillard : +** PETILLONMonique, « Le gardien enfermé », dans //Le Monde des livres//18 novembre 1994, p. 3[à propos de //Préhistoire//]]{{:ranx:petillon_monique.pdf|PDF}} [GD] **
-« Les critiques ont beau préférer, en bons pédagogues, faire semblant de ne rien remarquer, et par contre ne jamais manquer une occasion de proclamer sur le ton qui sied aux vérités premières que le roman, que je sache, est et restera toujours, avant tout, ‘‘une histoire où l’on voit agir et vivre des personnages’’ » (Nathalie Sarraute, « L’ère du soupçon », dans L’ère du soupçon. Essais sur le romanParis, Gallimard (Idées), 1956, p. 69). +
-- « Histoire et narration n’existent donc pour nous que par le truchement du récit. Mais, réciproquement le récit, le discours narratif ne peut être tel qu’en tant qu’il raconte une histoire, faute de quoi il ne serait pas narratif » (Gérard Genette, « Discours du récit », dans Figures III, Paris, Seuil (Poétique), 1972, p74). +
-Sarraute, en dépit du fait qu’elle renvoie au roman et non exclusivement au récit, montre la prédominance de l’histoire et du personnage dans la saisie d’une œuvre narrative. Genette affirme que le discours n’est narratif qu’à la condition qu’il raconte une histoire. Or, ce sont toutes des notions problématisées dans l’œuvre de Chevillard ; la réaction de la critique à l’égard de ces trois objets – personnage, histoire et discours – m’est donc apparue intéressante à observer.+
  
-Note Être attentif à l’ordre dans lequel sont traitées les différentes composantes du récit abordées par la critique. Par exemple, parle-t-on de la composante discursive à défaut de pouvoir dire quelque chose de l’histoire (dont on a d’abord tenté, justement, de rendre compte)? Se rabat-on sur le personnage à défaut de pouvoir établir la cohérence de l’ensemble?...+- {{:ranx:grille_de_pre-analyse_test.doc|Version Word}}
  
 +- [[Grille de pré-analyse - Chevillard]]
  
-Caractéristiques du récit à observer chez la critique : +- Mise à l'épreuve [[Chevillard journalistique]]
-Personnage +
-o Quels éléments retient la critique pour présenter le personnage? S’attache-t-elle à sa description physique ? À ses actions ? À son rôle dans le récit ? En quels termes ?+
  
-Le personnage est probablement le même que le narrateur, étant donné que c’est de ce dernier dont il est question tout au long de la chronique. On signale que son nom n’est pas mentionné et ensuite, on enchaîne avec l’énumération des événements qui fondent l’histoire du roman. On ne le présente donc pas d’emblée comme un personnage, mais plutôt comme un narrateurToutefois, on établit des parallèle entre les personnages de Chevillard : parfois, on les connaît, dautres non ; ils sont rêveurs ; et font penser aux personnages de Beckett : « Ses personnages dont les noms, quand on les connaît – Plock, Crab, Furne – rappellent lunivers de Beckettsont des rêveurs quidans leur folie sauvage et déductive, essayent de modifier la réalité. » À défaut de saisir l’étrangeté du personnage de Préhistoire, on semble tenter de faire des comparaisons pour parvenir à une compréhension d’ensemble des personnages de Chevillard+**Note dans la mise à l'épreuve de la grille :** Être attentif à l’ordre dans lequel sont traitées les différentes composantes du récit abordées par la critiquePar exempleparle-t-on de la composante discursive à défaut de pouvoir dire quelque chose de lhistoire (dont on a dabord tentéjustement, de rendre compte)? Se rabat-on sur le personnage à défaut de pouvoir établir la cohérence de l’ensemble?...
  
-o Comment réagit-elle au traitement du personnage chez Chevillard ? 
  
-On présente brièvement les autres personnages, on les mentionne en fait plus qu’on ne les décrit : « le professeur Glatt, lui a confié une "clé" » ou encore « le gardien et guide, en proie à une exaltation croissante, s’adresse à des visiteurs imaginaires ». 
  
-o De ces informations, quelle conception du personnage est véhiculée par la critique ? 
  
-Le fait de ne mentionner les personnages qu’au passage indique dans une certaine mesure que la critique considère qu’ils sont secondaires et/ou qu’ils participent du sentiment d’inconfort face à l’ensemble du récit.  +===== Caractéristiques du récit à observer chez la critique : =====
  
-- Intrigue / histoire +==== Personnage====
-o Quels éléments retient la critique pour proposer un résumé de l’histoire ?+
  
-Les événements marquants constituent l’essence de la critique. Les premiers temps de l’article repose sur ce qu’on suppose être la situation initiale. Puis on précise que la narrateur accumule les digressions et on termine en signalant la situation finale : « Finissant par se boucler dans son sous-sol ». 
  
-o Comment réagit-elle au traitement de l’histoire chez Chevillard ?+* **Quels éléments retient la critique pour présenter le personnage? S’attache-t-elle à sa description physique ? À ses actions ? À son rôle dans le récit ? En quels termes ?**
  
-L’histoire en est une « drôle » (« drôle d’histoire ») mais elle n’est pas soutenue par un récit. Il y a un malaise certain dans cet article. Le résumé de l’histoire est lui-même plus ou moins convaincant. On sent que ce n’est pas dans les événements comme tel que se trouve l’intérêt du roman. Dailleursplusieurs citations sont utilisées pour illustrer ces digressions et non pas, les événements du récit comme tel. Lune des citations les plus massives repose sur un scénario hypothétique mettant en scène le narrateur et l’autre est du même typeavec en surcroît une longue énumération.+ Le personnage est probablement le même que le narrateur, étant donné que c’est de ce dernier dont il est question tout au long de la chronique. On signale que son nom n’est pas mentionné et ensuite, on enchaîne avec l’énumération des événements qui fondent l’histoire du roman. On ne le présente donc pas demblée comme un personnagemais plutôt comme un narrateur. Toutefois, on établit des parallèle entre les personnages de Chevillard : parfois, on les connaît, d’autres non ; ils sont rêveurs ; et font penser aux personnages de Beckett : « Ses personnages dont les nomsquand on les connaît – Plock, Crab, Furne – rappellent lunivers de Beckett, sont des rêveurs qui, dans leur folie sauvage et déductive, essayent de modifier la réalité. » À défaut de saisir l’étrangeté du personnage de Préhistoireon semble tenter de faire des comparaisons pour parvenir à une compréhension d’ensemble des personnages de Chevillard
  
-o De ces informations, quelle conception de l’intrigue / histoire est véhiculée par la critique ? 
  
-Visiblement, il manque quelque chose pour que le récit advienne mais pour définir l’intrigue comme telle, il n’y a pas vraiment de piste proposée. À deux reprises, on précise que le récit ne survient pas, au début et à la fin de l’article : « Drôle d’histoire que "Préhistoire" : un délire angoissant et jubilatoire prend la place d’un récit qui ne vient jamais. » et « Et l’écriture, avec ses réticences, ses variations burlesques, ses accélérations et ses ruptures, nous entraîne dans un délire angoissant et jubilatoire, au seuil du récit à jamais différé. ». +* **Comment réagit-elle au traitement du personnage chez Chevillard ?**
- +
  
-- Narrateur / narration / discours +  * On présente brièvement les autres personnages, on les mentionne en fait plus qu’on ne les décrit : « le professeur Glatt, lui a confié une "clé" » ou encore « le gardien et guide, en proie à une exaltation croissante, s’adresse à des visiteurs imaginaires ».
-o Quels éléments retient la critique de la figure du narrateur et/ou de son discours ?+
  
-On mentionne qu’il n’est pas nommé.+* **De ces informations, quelle conception du personnage est véhiculée par la critique ?**
  
-o Comment réagit-elle au traitement de la figure du narrateur et/ou du discours chez Chevillard ?+  * Le fait de ne mentionner les personnages qu’au passage indique dans une certaine mesure que la critique considère qu’ils sont secondaires et/ou qu’ils participent du sentiment d’inconfort face à l’ensemble du récit.  
  
-On signale les nombreuses digressions : « Cependant le discours u gardien, dans son ensemble, est une immense digression, destinée à retarder le moment décisif de la réouverture [du musée] . […] Pour gagner du temps, le narrateur multiplie remarques incidentes, énumérations, inventaires, se laissant aller à la tentation insensée d’un recensement universel » (lorsqu’on parle de recensement universel on fait référence à la citation qui suit dans l’article pour illustrer le moment où le personnage énumère des topoïs – la tempête, le baiser, la chanson, la fracture – qu’il pourrait écrire éventuellement dans un tome ultérieur à ce roman).+====Intrigue / histoire====
  
-o De ces informations, quelle conception du discours, dans son rapport au récit et/ou à l’histoire, est véhiculée par la critique ?+* **Quels éléments retient la critique pour proposer un résumé de l’histoire ?**
  
-- Digression :  +  * Les événements marquants constituent l’essence de la critique. Les premiers temps de l’article repose sur ce qu’on suppose être la situation initiale. Puis on précise que la narrateur accumule les digressions et on termine en signalant la situation finale : « Finissant par se boucler dans son sous-sol ».
-o Impact sur la progression de l’intrigue, sur la structure narrative ?+
  
-On signale les nombreuses digressions : « Cependant le discours u gardien, dans son ensemble, est une immense digression, destinée à retarder le moment décisif de la réouverture [du musée] . […] Pour gagner du temps, le narrateur multiplie remarques incidentes, énumérations, inventaires, se laissant aller à la tentation insensée d’un recensement universel » (lorsqu’on parle de recensement universel on fait référence à la citation qui suit dans l’article pour illustrer le moment où le personnage énumère des topoïs – la tempête, le baiser, la chanson, la fracture – qu’il pourrait écrire éventuellement dans un tome ultérieur à ce roman). 
  
-o Réaction de la critique+* **Comment réagit-elle au traitement de l’histoire chez Chevillard ?**
  
-À deux reprises, on utilise lexpression « délire jubilatoire » en parlant de ce récit doté de digressions.+  * Lhistoire en est une « drôle » (« drôle d’histoire ») mais elle n’est pas soutenue par un récit. Il y a un malaise certain dans cet article. Le résumé de l’histoire est lui-même plus ou moins convaincant. On sent que ce n’est pas dans les événements comme tel que se trouve l’intérêt du roman. D’ailleurs, plusieurs citations sont utilisées pour illustrer ces digressions et non pas, les événements du récit comme tel. L’une des citations les plus massives repose sur un scénario hypothétique mettant en scène le narrateur et l’autre est du même type, avec en surcroît une longue énumération.
  
-- Fragmentation : 
-o Impact sur la progression de l’intrigue, sur la structure narrative, sur l’œuvre ? 
-o Réaction de la critique 
  
-- Cohérence de l’ensemble :+* **De ces informations, quelle conception de l’intrigue / histoire est véhiculée par la critique ?**
  
-- Varia :+  * Visiblement, il manque quelque chose pour que le récit advienne mais pour définir l’intrigue comme telle, il n’y a pas vraiment de piste proposée. À deux reprises, on précise que le récit ne survient pas, au début et à la fin de l’article « Drôle d’histoire que "Préhistoire" : un délire angoissant et jubilatoire prend la place d’un récit qui ne vient jamais. » et « Et l’écriture, avec ses réticences, ses variations burlesques, ses accélérations et ses ruptures, nous entraîne dans un délire angoissant et jubilatoire, au seuil du récit à jamais différé. ».
  
 +''  * [VA : Il y a un narrateur, des personnages, des événements (voire des histoires), tous problématisés à des degrés divers mais, si la critique conclut à l' « absence » d'un récit, c'est en raison essentiellement des nombreuses digressions qui en gênent la construction et le cours. C'est dire que, pour cette critique, le récit se définit par une intrigue forte, vectorialisée, dont la cohérence des parties assure la cohérence de l'ensemble. C'est bien là une conception conventionnelle du récit, qui rappelle Ricoeur.]''
  
-Stratégies rhétoriques à observer chez la critique (par rapport aux caractéristiques indiquées ci-dessus, mais aussi de façon générale ; ces stratégies tendent à trahir les limites des théories narratives dont fait usage la critique pour tenter de saisir l’œuvre de Chevillard) : +====Narrateur / narration / discours====
-- Usage de la métaphore+
  
 +* **Quels éléments retient la critique de la figure du narrateur et/ou de son discours ?**
  
-- Citations de lœuvre  +  * On mentionne quil nest pas nommé.
-o Reprises et citations de lœuvre de Chevillard pour décrire celle-ci, dans un geste circulaire. Autrement dit, la critique utilise (ou transforme ?) l’œuvre de Chevillard comme matière théorique pour commenter l’œuvre.+
  
-On n’utilise pas la citation afin de renvoyer à la théorisation de l’œuvre mais pour illustrer l’œuvre, comme si le discours du critique ne pouvait que faillir dans l’exercice. En fait foi la longueur des citations :  les plus longues d’entre elles occupent le tiers de l’article. 
  
-Déclarations de l’écrivain  +* **Comment réagit-elle au traitement de la figure du narrateur et/ou du discours chez Chevillard ?**
-o Recours aux entrevues de l’écrivain pour appuyer ses idées – comme figure d’autorité ou pour d’autres usages qu’il faudrait identifier, le cas échéant.+
  
-- Comparaisons / rapprochements intertextuel(le)s  +  * On signale les nombreuses digressions : « Cependant le discours u gardien, dans son ensemble, est une immense digression, destinée à retarder le moment décisif de la réouverture [du musée] . […] Pour gagner du temps, le narrateur multiplie remarques incidentes, énumérations, inventaires, se laissant aller à la tentation insensée d’un recensement universel » (lorsqu’on parle de recensement universel on fait référence à la citation qui suit dans l’article pour illustrer le moment où le personnage énumère des topoïs – la tempête, le baiser, la chanson, la fracture – qu’il pourrait écrire éventuellement dans un tome ultérieur à ce roman).
-o Lesquel(le)s ? Vérifier si ces rapprochements intertextuels sont énoncés faute de pouvoir rendre compte de l’œuvre (incapable de décrire celle-ci, la critique se résout à comparer pour donner au moins « une idée » de l’œuvre). Vérifier si ces rapprochements sont seulement énoncés ou expliqués.+
  
-On fait référence à Beckett dont les personnages ressemblent à ceux de Chevillard. 
  
-- Vocabulaire approximatif +* **De ces informationsquelle conception du discoursdans son rapport au récit et/ou à l’histoire, est véhiculée par la critique ?**
-o Étrangesingulierbizarre, incongru, déroutant, insaisissable : les qualificatifs passe-partout qui empêchent d’avoir à décrire l’œuvre.+
  
-« Et l’écriture, avec ses réticences, ses variations burlesques, ses accélérations et ses ruptures, nous entraîne dans un délire angoissant et jubilatoire, au seuil du récit à jamais différé»+...
  
-- Varia+''[VA : peut-on déduire des commentaires de la critique si elle considère les digressions comme narratives ou discursives? À lire la citation ci-dessus, les digressions semblent proposer des énumérations, des listes, des inventaires - bref, des apartés discursifs plus que narratifs, ce qui reviendrait à dire que l'abondance du discours gênerait le geste narratif de l'ensemble en retardant l'avènement du récit.]''  
 + 
 + 
 + 
 +====Digression==== 
 + 
 +* **Impact sur la progression de l'intrigue, sur la structure narrative ?** 
 + 
 +  * On signale les nombreuses digressions : « Cependant le discours u gardien, dans son ensemble, est une immense digression, destinée à retarder le moment décisif de la réouverture [du musée] . […] Pour gagner du temps, le narrateur multiplie remarques incidentes, énumérations, inventaires, se laissant aller à la tentation insensée d’un recensement universel » (lorsqu’on parle de recensement universel on fait référence à la citation qui suit dans l’article pour illustrer le moment où le personnage énumère des topoïs – la tempête, le baiser, la chanson, la fracture – qu’il pourrait écrire éventuellement dans un tome ultérieur à ce roman). 
 + 
 +* **Réaction de la critique** 
 + 
 +  * À deux reprises, on utilise l’expression « délire jubilatoire » en parlant de ce récit doté de digressions. 
 + 
 +====Fragmentation==== 
 + 
 +* **Impact sur la progression de l’intrigue, sur la structure narrative, sur l’œuvre ?** 
 + 
 +... 
 + 
 +* **Réaction de la critique** 
 + 
 +... 
 + 
 +====Cohérence de l’ensemble==== 
 + 
 +... 
 + 
 +====Varia==== 
 + 
 +  * - 
 + 
 + 
 +===== Stratégies rhétoriques à observer chez la critique ===== 
 + 
 +(Par rapport aux caractéristiques indiquées ci-dessus, mais aussi de façon générale ; ces stratégies tendent à trahir les limites des théories narratives dont fait usage la critique pour tenter de saisir l’œuvre de Chevillard) : 
 + 
 +====Usage de la métaphore==== 
 + 
 +  * - (Langage clair, direct, concret, précis) 
 + 
 +====Citations de l’œuvre====  
 + 
 +* **Reprises et citations de l’œuvre de Chevillard pour décrire celle-ci, dans un geste circulaire. Autrement dit, la critique utilise (ou transforme ?) l’œuvre de Chevillard comme matière théorique pour commenter l’œuvre.** 
 + 
 +  * On n’utilise pas la citation afin de renvoyer à la théorisation de l’œuvre mais pour illustrer l’œuvre, comme si le discours du critique ne pouvait que faillir dans l’exercice. En fait foi la longueur des citations :  les plus longues d’entre elles occupent le tiers de l’article. 
 + 
 +====Déclarations de l’écrivain==== 
 + 
 +* **Recours aux entrevues de l’écrivain pour appuyer ses idées – comme figure d’autorité ou pour d’autres usages qu’il faudrait identifier, le cas échéant.** 
 + 
 +... 
 + 
 +====Comparaisons / rapprochements intertextuel(le)s==== 
 + 
 +* **Lesquel(le)s ? Vérifier si ces rapprochements intertextuels sont énoncés faute de pouvoir rendre compte de l’œuvre (incapable de décrire celle-ci, la critique se résout à comparer pour donner au moins « une idée » de l’œuvre). Vérifier si ces rapprochements sont seulement énoncés ou expliqués.** 
 + 
 +  * On rapproche les personnages de Chevillard à ceux de Samuel Beckett. 
 + 
 +====Vocabulaire approximatif==== 
 + 
 +* **Étrange, singulier, bizarre, incongru, déroutant, insaisissable : les qualificatifs passe-partout qui empêchent d’avoir à décrire l’œuvre.** 
 + 
 +  * « Et l’écriture, avec ses réticences, ses variations burlesques, ses accélérations et ses ruptures, nous entraîne dans un délire angoissant et jubilatoire, au seuil du récit à jamais différé. » 
 + 
 +====Varia==== 
 + 
 +  * -
  
  
  
ranx/le_gardien_enferme.1290617107.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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