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ranx:ecoute_la_pluie [2013/10/23 15:58] – raphaelle | ranx:ecoute_la_pluie [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1 |
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Ce court roman montre comment un seul instant, une seule image qui s'imprègne à l'esprit, peut changer le cours des choses, peut faire bifurquer notre itinéraire, peut nous mener à abandonner tout comportement rationnel. Le personnage prend le temps de vivre pleinement son émotion jusqu'au bout. | Ce court roman montre comment un seul instant, une seule image qui s'imprègne à l'esprit, peut changer le cours des choses, peut faire bifurquer notre itinéraire, peut nous mener à abandonner tout comportement rationnel. Le personnage prend le temps de vivre pleinement son émotion jusqu'au bout. |
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Par ailleurs, même si on comprend pourquoi cet événement bouleverse le personnage, on comprend difficilement toutes les actions qu'elle pose par la suite. Par exemple, pourquoi cela la mène à réfléchir autant à sa relation amoureuse? Pourquoi elle n'écoute pas le message que lui a laissé son amoureux? Pourquoi elle ne cherche pas à le joindre pour le prévenir de son absence, ou encore pour lui demander son aide? Pourquoi elle n'arrive plus à retourner chez elle? Cet événement non seulement la bouleverse, mais ouvre une brèche vers d'autres possibles, provoque une rupture, lui inspire un nécessaire bouleversant au sein de sa routine. | Par ailleurs, même si on comprend pourquoi cet événement bouleverse le personnage, on comprend difficilement les détails de son comportement par la suite. Par exemple, pourquoi cela la mène à réfléchir autant à sa relation amoureuse? Pourquoi elle n'écoute pas le message que lui a laissé son amoureux? Pourquoi elle ne cherche pas à le joindre pour le prévenir de son absence, ou encore requérir son aide, sa présence? Pourquoi elle n'arrive plus à retourner chez elle? etc. |
| Cet événement non seulement la bouleverse, mais ouvre une brèche vers d'autres possibles, provoque une rupture, lui inspire un nécessaire bouleversant au sein de sa routine. |
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| « Ce fou rire incongru n'était sans doute que l'effet de ma sidération devant la béance qu'avait ouverte l'homme du métro. Tu étais sur l'autre rive, inatteignable et cependant si proche. Je tenais de trouver une passerelle entre lui et toi, entre nous trois, quelque chose d'infiniment ténu mais qui tisserait un lien que je pressentais confusément, quelque chose d'étrange provoqué par sa chute [...]. » (p. 83). |
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