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Fiche de lecture
1. Degré d’intérêt général
Amplement digne d'intérêt pour le projet “Diffraction”, toutefois, j'avoue en avoir trouvé la lecture extrêmement difficile. Il est à peu près impossible d'“embarquer” dans une quelconque histoire, puisqu'on a seulement des bribes d'histoire, des succédanés d'anecdotes juxtaposés… Mon humble opinion: si le roman est impressionnant par le travail de recherche qu'il a sûrement nécessité, sa lecture n'en demeure pas moins extrêmement pénible.
Informations paratextuelles
2.1 Auteur : Olivier Rolin
2.2 Titre : L'invention du monde
2.3 Lieu d’édition : Paris
2.4 Édition : Seuil
2.5 Collection : Fiction & Cie
2.6 (Année [copyright]) : 1993
2.7 Nombre de pages : 528 p.
2.8 Varia :
3. Résumé du roman
4. Singularité formelle
5. Caractéristiques du récit et de la narration
6. Narrativité (Typologie de Ryan)
6.1- Simple
6.2- Multiple
6.3- Complexe
6.4- Proliférante
6.5- Tramée
6.6- Diluée
6.7- Embryonnaire
6.8- Implicite
6.9- Figurale
6.10-Anti-narrativité
6.11- Instrumentale
6.12- Suspendue
Justifiez : Je suis conscient que de qualifier d'anti-narratif un roman qui contient des milliers d'histoires peut paraître un peu étrange, mais je persiste, car L'invention du monde, bien qu'elle présente une multitude d'histoires, ne peut être qualifié, à mon avis, de “récit”. Il s'agit plutôt d'un ragoût d'histoires, d'une accumulation d'informations tellement imposante et hétérogène qu'il est impossible d'y trouver un fil conducteur, un principe organisateur, à l'exception, peut-être, du narrateur.
7. Rapport avec la fiction
8. Intertextualité
9. Élément marquant à retenir