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Fiche de lecture
1. Degré d’intérêt général
Pour être douloureux, ça a été douloureux ! Malgré son peu de lisibilité, Hôtel des grandes écoles est toutefois très représentatif de l'éclatement du sujet.
2. Informations paratextuelles
2.1 Auteur : Paul Paré
2.2 Titre : Hôtel des grandes écoles
2.3 Lieu d’édition : Outremont
2.4 Édition : nbj (nouvelle barre du jour)
2.5 Collection : Auteur/e
2.6 (Année [copyright]) : 1987
2.7 Nombre de pages : 61
2.8 Varia : Sous-titré “récit”
4e de couverture: “Début novembre. Un homme part. Lorsqu'il arrive, c'est le même. Il monte la rue. Maintenant, c'est l'hôtel. La clef. Celle de la chambre 16. À cette heure-là, le soleil frappe la fenêtre de la chambre 16. L'homme traverse le jardin. Il ouvre la porte: un lit, une armoire, une table, la chaise. Il pose son bagage. Il regarde la lumière. Il a le temps. Il s'assoit. Vingt-deux jours plus tard, fin novembre, l'homme se lève. Il part. Lorsqu'il arrive, il n'est plus le même.”
Dédicace: “à toutes les premières personnes du singulier”
3. Résumé du roman
L'Hôtel des grandes écoles constitue une tentative de définir le “quelqu'un” qui s'apparente au narrateur. Ainsi, à travers trois pronoms
4. Singularité formelle
5. Caractéristiques du récit et de la narration
6. Narrativité (Typologie de Ryan)
6.1- Simple
6.2- Multiple
6.3- Complexe
6.4- Proliférante
6.5- Tramée
6.6- Diluée
6.7- Embryonnaire
6.8- Implicite
6.9- Figurale
6.10- Anti-narrativité
6.11- Instrumentale
6.12- Suspendue
Justifiez :
Implicite: Le narrateur semble fragmenté entre trois pronoms (je, tu, il) et c'est l'alternance des regards de ces trois pronoms ou figures qui crée le récit.
7. Rapport avec la fiction
Rien de marquant.
8. Intertextualité
Rien de marquant.
9. Élément marquant à retenir