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fq-equipe:1992

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1992

I- Événements politiques

  • 350e anniversaire de la ville de Montréal
  • Adoption par la Chambre des communes de la Loi sur le statut de l’artiste, qui reconnaît l’art comme métier et l’artiste comme professionnel.
  • Politique culturelle du Québec : « Notre culture, notre avenir »

La structure de la Politique culturelle repose sur les quatre principes suivants : - La culture comme fondement de la société ; - La culture, un droit pour chaque citoyen ; - La culture, une mission essentielle de l’État ; - et, enfin, l’autonomie de création et la liberté d’expression, des valeurs fondamentales. (Source : http://www.gestiondesarts.com/fileadmin/media/PFD_seminaires/Chartr_.pdf Consulté le 30 avril 2013) C’est l’adoption de cette politique qui mène à la création, la même année, du Conseil des arts et des lettres du Québec.

II- Événements littéraires

  • Fondation de l’Association nationale des éditeurs de livres
  • Fondation du Regroupement d'éditeurs québécois de littérature générale
  • Fondation du Regroupement des maisons d’édition littéraires
  • La fondation de ces deux derniers regroupements a pour but de forcer la main à l’ANEL pour qu’elle les représente plus efficacement.

Fondation de maisons d'édition

Création de revue littéraire

Création de revue culturelle ou critique

Salons du livres

Montréal : 12-17 novembre - 15e édition « Enfin novembre »

Président d’honneur : Jean-Claude Germain

Invités d’honneur : Louis Hamelin (Québec, roman), Marco Micone (Québec, roman, poésie), Francine Noël (Québec, roman), Jasmine Dubé (Québec, théâtre, jeunesse), Tahar Ben Jelloun (Maroc, roman : absent), Pierre Mertens (Belgique, roman, essai), François Nourrissier (France, roman).

L’entrée en vigueur de la TPS en 1991 (c’est encore d’actualité en 1992) a forcé un positionnement des écrivains et acteurs du milieu de l’édition notamment sur le prix du livre (voir Pierre Vennat, « Salon du livre de Montréal. Au nom de tous les lecteurs, Jean-Claude Germain demande à l’industrie de réduire le prix des livres », La Presse, samedi 7 novembre 1992, p. 3) et sur la manière dont les éditeurs négocie les contrats avec les écrivains (voir Marie Lecomte, « Salon du livre de Montréal. Un écrivain gagne moins de 3000 $ par année », La Presse, samedi 7 novembre 1992, p. 36.)

On a appris, durant le salon, que Michel Tremblay avait vendu ses archives à la Bibliothèque nationale du Canada pour 300 000 $. Cette annonce a créé un certain malaise, non seulement à cause de la somme qu’il a obtenu pour ces masses de papiers, mais surtout parce que ce n’est pas à la Bibliothèque nationale du Québec que Tremblay a vendu son fonds. Tremblay explique la situation : « Pour lui, finalement, le seul vrai problème, c'est que la Bibliothèque nationale du Québec l'ait tout bonnement envoyé promener quand il leur a offert les manuscrits. “Quand la bibliothèque de ton pays refuse tes papiers, tu peux très bien les remettre à ceux qui s'y intéressent.” » (Stéphane Baillargeon, « Personne ne condamne Michel Tremblay », Le Devoir, lundi 16 novembre 1992, p. 1.)

Prix du grand public Salon du livre de Montréal/La Presse : Ohl, Paul (1992) Soleil noir, Québec Amérique

Festivals littéraires

III- Parution de livres

IV- Prix littéraires

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