**Quatrième de couverture :** «Vous êtes Viviane Élisabeth Fauville. Vous avez quarante-deux ans, une enfant, un mari, mais il vient de vous quitter. Et puis hier, vous avez tué votre psychanalyste. Vous auriez sans doute mieux fait de vous abstenir. Heureusement, je suis là pour reprendre la situation en main.» | **Quatrième de couverture :** «Vous êtes Viviane Élisabeth Fauville. Vous avez quarante-deux ans, une enfant, un mari, mais il vient de vous quitter. Et puis hier, vous avez tué votre psychanalyste. Vous auriez sans doute mieux fait de vous abstenir. Heureusement, je suis là pour reprendre la situation en main.» |
Résumé de l’œuvre :** Viviane se remémore vaguement sa journée, lorsqu’elle endort son bébé dans son nouvel appartement. Elle se rappelle avoir eu un malaise, lorsqu’elle est passée dans son ancien appartement, celui qu’elle partageait un mois plutôt avec son mari qui l’a quittée (pour une femme plus jeune qui menaçait de prendre sa place au travail, en plus de cela). Son psychiatre accepte de la recevoir en panique, le soir vers 18h. Elle le liquide avec un des couteaux de cuisines que sa mère a offerts à Julien pour leur mariage. Puis, elle rentre chez elle, essayant de ne pas trop laisser de traces, mais il s’agit de son premier meurtre, les traces de son passage sont visibles. Elle est interrogée une première fois par un inspecteur de police, son bébé dans les bras, assurant qu’elle était avec sa mère le soir du meurtre. Parallèlement, Viviane tente de se rapprocher des autres témoins potentiels (la veuve, l’amante, plus tard un autre patient). Puis, la police la fait revenir, lui demande des explications, car sa mère est morte depuis huit ans, son alibi ne colle pas. On la libère quand même. Viviane couche avec Tony, l’autre patient accusé, et ce dernier la violente. Elle se dispute avec Julien, ce dernier remarque les blessures sur son corps, les policiers l’arrêtent et on la soupçonne gravement. Tony a un alibi très solide (il travaillait le soir du meurtre). Finalement, on la libère. Elle est encore une fois supposée rencontrer Julien, mais lui fausse compagnie, préférant le suivre de loin pendant qu’elle est aussi suivie. Elle suffoque lorsqu’on la coince sur un pont, puis, elle est internée pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. On lui laisse sa fille et progressivement, le lecteur réalise qu’elle n’est pas enfermée, donc certainement non coupable. En effet, sa mère vient la chercher pour l’emmener chez elle : ils ont trouvé le vrai coupable, Viviane s’est imaginé beaucoup de choses. À la fin, son patron lui offre un emploi à un autre endroit. | **Résumé de l’œuvre :** Viviane se remémore vaguement sa journée, lorsqu’elle endort son bébé dans son nouvel appartement. Elle se rappelle avoir eu un malaise, lorsqu’elle est passée dans son ancien appartement, celui qu’elle partageait un mois plutôt avec son mari qui l’a quittée (pour une femme plus jeune qui menaçait de prendre sa place au travail, en plus de cela). Son psychiatre accepte de la recevoir en panique, le soir vers 18h. Elle le liquide avec un des couteaux de cuisines que sa mère a offerts à Julien pour leur mariage. Puis, elle rentre chez elle, essayant de ne pas trop laisser de traces, mais il s’agit de son premier meurtre, les traces de son passage sont visibles. Elle est interrogée une première fois par un inspecteur de police, son bébé dans les bras, assurant qu’elle était avec sa mère le soir du meurtre. Parallèlement, Viviane tente de se rapprocher des autres témoins potentiels (la veuve, l’amante, plus tard un autre patient). Puis, la police la fait revenir, lui demande des explications, car sa mère est morte depuis huit ans, son alibi ne colle pas. On la libère quand même. Viviane couche avec Tony, l’autre patient accusé, et ce dernier la violente. Elle se dispute avec Julien, ce dernier remarque les blessures sur son corps, les policiers l’arrêtent et on la soupçonne gravement. Tony a un alibi très solide (il travaillait le soir du meurtre). Finalement, on la libère. Elle est encore une fois supposée rencontrer Julien, mais lui fausse compagnie, préférant le suivre de loin pendant qu’elle est aussi suivie. Elle suffoque lorsqu’on la coince sur un pont, puis, elle est internée pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. On lui laisse sa fille et progressivement, le lecteur réalise qu’elle n’est pas enfermée, donc certainement non coupable. En effet, sa mère vient la chercher pour l’emmener chez elle : ils ont trouvé le vrai coupable, Viviane s’est imaginé beaucoup de choses. À la fin, son patron lui offre un emploi à un autre endroit. |