Outils pour utilisateurs

Outils du site


diffraction:corpus_indicatif_-_france

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentesRévision précédente
Prochaine révision
Révision précédente
diffraction:corpus_indicatif_-_france [2010/10/29 15:28] vivianediffraction:corpus_indicatif_-_france [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
Ligne 19: Ligne 19:
  
   * « construction du roman par juxtaposition de monologues » (Dominique Rabaté, //[[Le roman français depuis 1900]]//, p. 116).   * « construction du roman par juxtaposition de monologues » (Dominique Rabaté, //[[Le roman français depuis 1900]]//, p. 116).
 +
 +- BOUVET, Patrick, //Shot// (2000)
 +
 +  * « dispositif[] génériquement irréductible[], entre monstre[] et curiosité[], qui tien[t] à la fois du poème en prose ou en vers libre, du récit de fiction, du commentaire critique, du reportage stylisé, de la page autobiographique » (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 440).
  
 - CHANDERNAGOR, Françoise, //La sans-pareille// (1988) - CHANDERNAGOR, Françoise, //La sans-pareille// (1988)
Ligne 45: Ligne 49:
   * « Echenoz rebrasse un ensemble de personnages, de motifs, de décors », d'où un « art du bricolage » qui caractérise l'ensemble de l'oeuvre. La composition de //Je m'en vais// respecte par ailleurs un principe d'alternance qui rompt la linéarité du récit (Pierre Brunel, //[[Glissements du roman français au XXe siècle]]//, p. 32).   * « Echenoz rebrasse un ensemble de personnages, de motifs, de décors », d'où un « art du bricolage » qui caractérise l'ensemble de l'oeuvre. La composition de //Je m'en vais// respecte par ailleurs un principe d'alternance qui rompt la linéarité du récit (Pierre Brunel, //[[Glissements du roman français au XXe siècle]]//, p. 32).
  
-GAILLYChristian, //K. 622// (1989).+FOURNELPaul, //Un homme regarde une femme// (1994)
  
-  * découpé « en minuscules strates temporelles » (Dominique Rabaté, //[[Le roman français depuis 1900]]//, p. 114).+  * « suite de cent trente fragments correspondant aux différents regards que porte un narrateur sur la femme qu'il aime et aux multiples postures de discours par lesquelles il énonce son sentiment » (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 454). 
 + 
 +- GAILLY, Christian, ensemble de l'oeuvre : 
 + 
 +  * //K. 622// (1989) : découpé « en minuscules strates temporelles » (Dominique Rabaté, //[[Le roman français depuis 1900]]//, p. 114). 
 +  * //Be-bop// (1996) : « syncope de la syntaxe, changement incessant de tempo » (BERNARD, Jacqueline, [[« Le retour du narratif. Le choix de l'esthétisme ludique dans les dernières années du XXe siècle » ]], p. 299). 
 +  * //Nuages rouges// (2000) : « ruptures et reprises narratives dans les 33 séquences » (BERNARD, Jacqueline, [[« Le retour du narratif. Le choix de l'esthétisme ludique dans les dernières années du XXe siècle » ]], p. 299).
  
 - GARAT, Anne-Marie, //Merle//, 1995. - GARAT, Anne-Marie, //Merle//, 1995.
Ligne 57: Ligne 67:
   * fait preuve de « luxuriance baroque » (Mitterand, //[[La littérature française du XXe siècle]]//, p. 108).   * fait preuve de « luxuriance baroque » (Mitterand, //[[La littérature française du XXe siècle]]//, p. 108).
   * de même, on qualifiera ses oeuvres de « polyphoniques » et de « baroques » (TONNET-LACROIX, Eliane, //[[La littérature française et francophone de 1945 à l'an 2000]]//, p. 297-298).   * de même, on qualifiera ses oeuvres de « polyphoniques » et de « baroques » (TONNET-LACROIX, Eliane, //[[La littérature française et francophone de 1945 à l'an 2000]]//, p. 297-298).
 +
 +- HOCQUART, Emmanuel, //Un privé à Tanger// (1987)
 +
 +  * « dispositif[] génériquement irréductible[], entre monstre[] et curiosité[], qui tien[t] à la fois du poème en prose ou en vers libre, du récit de fiction, du commentaire critique, du reportage stylisé, de la page autobiographique » (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 440).
 +
 +- HOLDER, Éric, //Les petits bleus// (1990) (recueil de nouvelles)
 +
 +  * scènes fragmentaires, épisodes ébauchés (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 447).
  
 - HUSTON, Nancy, ensemble de l'oeuvre, dont : - HUSTON, Nancy, ensemble de l'oeuvre, dont :
Ligne 67: Ligne 85:
  
 - JEANNET, Frédéric-Yves, //Métamorphose//, 1992. - JEANNET, Frédéric-Yves, //Métamorphose//, 1992.
 +
 +
  
 - LAMARCHE, Caroline, //Le jour du chien//, Paris, Minuit, 1996. - LAMARCHE, Caroline, //Le jour du chien//, Paris, Minuit, 1996.
Ligne 98: Ligne 118:
  
   * Rabaté, dans //[[Le Chaudron fêlé. Écarts de la littérature]]//, souligne que la question du fragment est centrale chez Quignard, de même que l'interrogation générique. Il le qualifie même de « post-moderne » en ce qu'il s'oppose à l'esthétique des Modernes.   * Rabaté, dans //[[Le Chaudron fêlé. Écarts de la littérature]]//, souligne que la question du fragment est centrale chez Quignard, de même que l'interrogation générique. Il le qualifie même de « post-moderne » en ce qu'il s'oppose à l'esthétique des Modernes.
 +
 +- REDONNET, Marie, //Rose, Mélie, Rose// (1987)
 +
 +  * présence de douze photos-polaroïd (GONTARD, Marc, [[« Le postmodernisme en France. Définition, critères, périodisation »]], p. 290).
  
 - ROLIN, Olivier, //L'invention du monde// (1993) - ROLIN, Olivier, //L'invention du monde// (1993)
Ligne 114: Ligne 138:
  
   * « Jamais les médias n'avaient eu autant de place que dans ce roman qui, à la jointure des deux siècles, inaugure peut-être en effet la formule du roman médiatique. Pour cela, Schuhl a ménagé 1001 glissements : du //Pierrot lunaire// de Schoenberg [...] à la dernière chanson d'Ingrid Caven », avec comme impression « un séisme contrôlé par l'écriture » (Pierre Brunel, //[[Glissements du roman français au XXe siècle]]//, p. 33-34).   * « Jamais les médias n'avaient eu autant de place que dans ce roman qui, à la jointure des deux siècles, inaugure peut-être en effet la formule du roman médiatique. Pour cela, Schuhl a ménagé 1001 glissements : du //Pierrot lunaire// de Schoenberg [...] à la dernière chanson d'Ingrid Caven », avec comme impression « un séisme contrôlé par l'écriture » (Pierre Brunel, //[[Glissements du roman français au XXe siècle]]//, p. 33-34).
 +
 +- SERENA, Jacques, //Lendemain de fête// (1993)
 +
 +  * scènes fragmentaires, épisodes ébauchés (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 447).
  
 - SOLLERS, Philippe, //Femmes// (1983) - SOLLERS, Philippe, //Femmes// (1983)
diffraction/corpus_indicatif_-_france.1288380499.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

Donate Powered by PHP Valid HTML5 Valid CSS Driven by DokuWiki