Outils pour utilisateurs

Outils du site


ranx:un_lac_immense_et_blanc_ranx3

Quatrième de couverture :« Ce matin, l’homme de Ferrare n’était pas sur le quai de la gare. Il fait froid. Édith Arnaud est entrée dans un café pour se réchauffer et réfléchir. Au comptoir, un homme vient de lui adresser la parole et ses mains lui rappellent celles d’Antoine. Tout à l’heure elle traversera sans doute le Jardin des Plantes. Le corbeau à qui elle parlera en italien sera peut-être là. La neige inhabituelle qui est tombée a transformé la ville. Des silhouettes reviennent dans ses pensées : celle d’Antoine se roulant dans l’immensité blanche. Elle attendait l’homme de Ferrare, c’est un autre qui est revenu et le militantisme du début des années soixante.»

Un lac immense et blanc raconte les déambulations d’une femme libre dans un Paris qui s’estompe peu à peu devant les images lumineuses d’un temps révolu.

Justification: Une femme marche dans la ville, se remémore sa jeunesse activiste, la naissance de son amitié avec un corbeau au Jardin des Plantes, sa relation avec Antoine, les villes où elle a marché. Il s'agit d'un moment de solitude dans la blancheur de la neige qui se prête à l’évocation de fantômes du passé. Le passé envahissant se mêle au présent de la narration, brouille les frontières.

« Je pensais de plus en plus à lui comme à un personnage, sa disparition et ses apparitions créaient une sorte de fiction dans laquelle il devenait immortel… » (p. 73), dit-elle en parlant d’Antoine, fantôme qui traverse le roman.

(voir fiche dans Liste de lectures et fiches RANX 2)

ranx/un_lac_immense_et_blanc_ranx3.txt · Dernière modification : 2018/02/15 13:57 de 127.0.0.1

Donate Powered by PHP Valid HTML5 Valid CSS Driven by DokuWiki