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ranx:journal_d_un_corps

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 **Justification**\\ **Justification**\\
-Ce roman permet un angle nouveau sur l'ontologie. Évidemment, la forme du journal intime s'y prête déjà traditionnellement, mais l'autodéfinition du personnage par son corps devient le centre de son identité propre, sa manière de se connaître. Cette identité du corps, selon tous les compte rendus consultés, cherche aussi à s'universaliser comme une identité humaine, celle qui relie tous et chacun.   +Ce roman permet un angle nouveau sur l'ontologie. Évidemment, la forme du journal intime s'y prête déjà traditionnellement, mais l'autodéfinition du personnage par son corps devient le centre de son identité propre, sa manière de se connaître, d'entrer en contact avec le monde. Il est dit dans le roman qu'« apprendre, c’est d’abord apprendre à maîtriser son corps » (cité [[http://id.erudit.org/iderudit/67987ac|ici]]). Cette identité du corps, selon tous les compte rendus consultés, cherche aussi à s'universaliser comme une identité humaine, celle qui relie tous et chacun.   
  
 Ex. :\\ Ex. :\\
 « En effet, le corps a beau se remémorer, avec la meilleure verve de Pennac, les émerveillements de l’amour physique et les cruautés du mal-être, il n’est jamais plus éloquent que dans son éloge de l’unité humaine. Évoquer le silence, c’était donc une (mauvaise) blague. Le projet ne serait donc pas celui qui nous est présenté, mais son contraire » \\ « En effet, le corps a beau se remémorer, avec la meilleure verve de Pennac, les émerveillements de l’amour physique et les cruautés du mal-être, il n’est jamais plus éloquent que dans son éloge de l’unité humaine. Évoquer le silence, c’était donc une (mauvaise) blague. Le projet ne serait donc pas celui qui nous est présenté, mais son contraire » \\
 Laurent Laplante, dans //Nuit blanche//, n° 128, p. 20. Laurent Laplante, dans //Nuit blanche//, n° 128, p. 20.
ranx/journal_d_un_corps.1468939360.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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