Différences
Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.
| Les deux révisions précédentesRévision précédenteProchaine révision | Révision précédente |
| ranx:audet_2010a [2012/01/23 11:48] – sebastien | ranx:audet_2010a [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1 |
|---|
| AUDET, René, « Roman éclaté ou diffraction narrative et textuelle ? Repères méthodologiques pour une poétique comparée », Voix et images, vol. 36, no 1 (automne 2010), p. 13-26 | AUDET, René, « Roman éclaté ou diffraction narrative et textuelle ? Repères méthodologiques pour une poétique comparée », Voix et images, vol. 36, no 1 (automne 2010), p. 13-26 |
| |
| «Les fictions d'autorité en contexte narratif recourent à diverses modalités d'instauration ou de contestation, comme en témoignent les romans contemporains québécois et français retenus, examinés à partir de deux configurations majeures illustrées par les textes de Nicole Brossard et de Martine Desjardins. L'étude de ces deux fictions, qui dégagent nettement l'autorité narrative de toute forme auctoriale, permet de mettre en regard tout un ensemble de textes aux postures apparentées qui, malgré des enjeux esthétiques distincts, repensent le procès romanesque en exploitant la suspicion à l'intérieur même du cadre fictionnel. Une telle crise de l'autorité romanesque, où celle-ci prend figure d'ultime illusion à déconstruire, apparaît ainsi comme un phénomène transculturel.» (Résumé Érudit) | « Les fictions d'autorité en contexte narratif recourent à diverses modalités d'instauration ou de contestation, comme en témoignent les romans contemporains québécois et français retenus, examinés à partir de deux configurations majeures illustrées par les textes de Nicole Brossard et de Martine Desjardins. L'étude de ces deux fictions, qui dégagent nettement l'autorité narrative de toute forme auctoriale, permet de mettre en regard tout un ensemble de textes aux postures apparentées qui, malgré des enjeux esthétiques distincts, repensent le procès romanesque en exploitant la suspicion à l'intérieur même du cadre fictionnel. Une telle crise de l'autorité romanesque, où celle-ci prend figure d'ultime illusion à déconstruire, apparaît ainsi comme un phénomène transculturel. » (Résumé Érudit) |
| |
| {{:ranx:audet_rene_roman_eclate_ou_diffraction_narrative_et_textuelle.pdf|Article complet}} | {{:ranx:audet_rene_roman_eclate_ou_diffraction_narrative_et_textuelle.pdf|Article complet}} |
| |
