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livrenum:machines_a_ecrire_-_litterature_et_technologies_du_xixe_au_xxie_siecle
  • Référence : KRZYWKOWSKI, Isabelle, Machines à écrire : littérature et technologies du XIXe au XXIe siècle, Grenoble, Ellug, 2010, 325 p.
  • Synthèse : Un ouvrage synthétique qui analyse les influences des mutations technologiques sur les pratiques d’écriture depuis le XIXe jusqu’à aujourd’hui. Visiblement pertinent vu l’admiration dont fait preuve l’auteur du compte-rendu (plus bas) mais dont seules quelques pages portent sur l’immatériel – en fin de texte – bien que la notion semble soutenir l’argumetaire. Utile pour un historique de la mutation technologique?
  • Mots-clés : Synthèse, Histoire, Mutations technologiques, Pratiques d’écriture, Immatérialité
  • Langue : Français
  • Format : Papier
  • Description existante : « Si certains aspects des relations du littéraire et des technologies ont déjà été bien étudiés, il manquait une perspective synthétique permettant de les envisager dans leur continuité. L'approche généraliste et historique adoptée pour cet ouvrage fait le postulat d'une évolution : d'une fonction de modélisation accordée, dès l'âge classique, au mécanique (« Penser avec la machine : le modèle mécanique, ou la machine comme représentation »), au statut de thème littéraire privilégié par le modernisme et les avant-gardes du début du XXe siècle (« Dire la machine : le thème machinique et la représentation de la machine »), à celui enfin de matériau, voire de médium intégré à la conception même de l'oeuvre, comme dans la littérature informatique contemporaine (« Écrire avec la machine : la littérature technologique ou la machine comme médium »). Cette évolution n'est bien sûr ni linéaire, ni téléologique, et ces trois états littéraires du machinique ne se succèdent pas en chassant chacun le précédent : l'hypothèse proposée est celle d'une « appropriation », d'une intégration progressive du machinique et du technologique par la littérature, selon une démarche de plus en plus expérimentale. « À écrire », la machine l'est donc comme nouveau médium qui bouleverse les pratiques d'écriture, mais aussi, et avant tout, parce qu'elle est un objet a priori étranger aux arts, dont la présence, imaginaire ou pragmatique, travaille l'écriture et, en transformant la relation de l'auteur, du lecteur et de l'oeuvre, interroge en retour la littérature. », trouvé sur http://www.lcdpu.fr/livre/?GCOI=27000100271210, le 13 février 2017.
  • Compte rendu existant : DESRICHARD, Yves, « Il n’est pas possible dans le cours de ce compte rendu de rendre compte de l’ensemble des parties du livre, qui se construit autour de trois fort séduisantes volontés, « Penser avec la machine » ; « Dire la machine » ; « Écrire avec la machine », sans oublier une remarquable introduction à l’ensemble, composée de deux « liminaires », une « brève histoire du rapport aux techniques » et « du merveilleux à l’étrange », introduction dont le lecteur pressé (qui ne l’est pas, de nos jours) pourrait se contenter, ce qui serait fort dommage. », trouvé sur http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2011-03-0107-006, le 13 février 2017.
livrenum/machines_a_ecrire_-_litterature_et_technologies_du_xixe_au_xxie_siecle.txt · Dernière modification : 2018/02/15 13:57 de 127.0.0.1

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