fq-equipe:pons_maurice_1985_douce-amere_paris_le_dillettante._myriam_saint-yves

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Prochaine révision
Révision précédente
fq-equipe:pons_maurice_1985_douce-amere_paris_le_dillettante._myriam_saint-yves [2012/03/28 16:38] – créée myriamfq-equipe:pons_maurice_1985_douce-amere_paris_le_dillettante._myriam_saint-yves [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
Ligne 1: Ligne 1:
-Fiche de lecture+**Fiche de lecture
  
 1. Degré d’intérêt général 1. Degré d’intérêt général
 +**
 +
  
 Intérêt pour le projet diffraction : faible Intérêt pour le projet diffraction : faible
Ligne 11: Ligne 13:
 Le recueil rappelle par moments les contes fantastiques de Maupassant : on oscille constamment entre l'interprétation rationnelle et l'interprétation surnaturelle... Le recueil rappelle par moments les contes fantastiques de Maupassant : on oscille constamment entre l'interprétation rationnelle et l'interprétation surnaturelle...
  
-2. Informations paratextuelles+**2. Informations paratextuelles**
  
 2.1 Auteur : Maurice Pons 2.1 Auteur : Maurice Pons
Ligne 33: Ligne 35:
 Rabat de couverture : « Douce-amère. Onze fois douces et onze fois amères, ces onze nouvelles de Maurice Pons. Onze petites fioles d'où, débouchées, monte à pas lents une fragrance nauséeuse. D'elles émanent, lourdes et entêtantes, une délicatesse feutrée et morbide, la saveur toxique d'une friandise fondante et empoisonnée qu'on laisserait se dissoudre sous la langue et qui vous expédie sagement, sans bruit ni fracas. Onze fois le goût d'une herbe fatale qu'on mâche comme ça et qui vous tue l'air de rien. Tout cela discret et glaçant comme un entrefilet poli qui vous avertirait de votre propre mort. » Rabat de couverture : « Douce-amère. Onze fois douces et onze fois amères, ces onze nouvelles de Maurice Pons. Onze petites fioles d'où, débouchées, monte à pas lents une fragrance nauséeuse. D'elles émanent, lourdes et entêtantes, une délicatesse feutrée et morbide, la saveur toxique d'une friandise fondante et empoisonnée qu'on laisserait se dissoudre sous la langue et qui vous expédie sagement, sans bruit ni fracas. Onze fois le goût d'une herbe fatale qu'on mâche comme ça et qui vous tue l'air de rien. Tout cela discret et glaçant comme un entrefilet poli qui vous avertirait de votre propre mort. »
  
-3. Résumé +**3. Résumé** 
  
 Le recueil compte onze nouvelles que je ne résumerai pas toutes ici. Elles mettent toutes en scène des disparitions ou des morts mystérieuses, des meurtres sordides qui sont pourtant contournés par le texte où l'ellipse est omniprésente. Si les thèmes sont récurrents, on ne peut toutefois pas vraiment voir d'organisation particulière au sein du recueil. Le recueil compte onze nouvelles que je ne résumerai pas toutes ici. Elles mettent toutes en scène des disparitions ou des morts mystérieuses, des meurtres sordides qui sont pourtant contournés par le texte où l'ellipse est omniprésente. Si les thèmes sont récurrents, on ne peut toutefois pas vraiment voir d'organisation particulière au sein du recueil.
  
-4. Singularité formelle+**4. Singularité formelle**
  
 Rien de particulier. Rien de particulier.
  
-5. Caractéristiques du récit et de la narration+**5. Caractéristiques du récit et de la narration**
  
-Toutes les nouvelles sont racontées par un narrateur homodiégétique. +Toutes les nouvelles sont racontées par un narrateur homodiégétique, de façon assez linéaire. Le ton et le style sont homogènes d'un récit à l'autre.
  
-6. Narrativité (Typologie de Ryan)+**6. Narrativité** (Typologie de Ryan)
  
 6.1- Simple 6.1- Simple
Ligne 52: Ligne 54:
 Justifiez : Une histoire, un narrateur, mais onze fois! Justifiez : Une histoire, un narrateur, mais onze fois!
  
-7. Rapport avec la fiction+**7. Rapport avec la fiction**
  
 Rien à signaler. Rien à signaler.
  
-8. Intertextualité+**8. Intertextualité**
  
 Rien repéré. Rien repéré.
  
-9. Élément marquant à retenir +**9. Élément marquant à retenir** 
  
 Le côté subtilement glauque de toutes le histoires, des finales ironiques, quelques nouvelles sans chute qui nous laissent dans l'incertitude. Le côté subtilement glauque de toutes le histoires, des finales ironiques, quelques nouvelles sans chute qui nous laissent dans l'incertitude.
fq-equipe/pons_maurice_1985_douce-amere_paris_le_dillettante._myriam_saint-yves.1332967139.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

Donate Powered by PHP Valid HTML5 Valid CSS Driven by DokuWiki