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Le texte de Laporte s’intéresse à la filiation improbable entre Echenoz et Victor Segalen. Elle analyse donc les liens entre l’œuvre d’Echenoz et le roman policier, montrant que celle-ci répond aux codes de ce genre, mais en finissant toujours par décevoir les attentes. | Le texte de Laporte s’intéresse à la filiation improbable entre Echenoz et Victor Segalen. Elle analyse donc les liens entre l’œuvre d’Echenoz et le roman policier, montrant que celle-ci répond aux codes de ce genre, mais en finissant toujours par décevoir les attentes. | ||
- | ==== Christina HORVATH, « Éric Laurent | + | ==== Christina HORVATH, « Éric Laurrent |
- | L’auteure se propose ici d’interroger la filiation entre Echenoz et Eric Laurent, un auteur de la génération suivante chez qui on retrouve un réinvestissement semblable du récit d’aventures et du roman d’espionnage. | + | L’auteure se propose ici d’interroger la filiation entre Echenoz et Eric Laurrent, un auteur de la génération suivante chez qui on retrouve un réinvestissement semblable du récit d’aventures et du roman d’espionnage. |
==== René AUDET, « Éric Chevillard et l’écriture du déplacement : pour une narrativité pragmatique », p. 105-116. ==== | ==== René AUDET, « Éric Chevillard et l’écriture du déplacement : pour une narrativité pragmatique », p. 105-116. ==== |
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