Minimalismes narratifs
I Et après ? Minimalismes en France
1-Écriture
a. Distanciation ludique b. Simplicité c. Pathos
2-Récit
a. Ténuité de l’histoire b. Enchaînement c. Continuité fragmentaire d. Détachement (vision, affects, psychologie, savoirs, second degré) e. Superficialité (découle du point précédent ; les deux seront peut-être fondus)
3-Réel
a. Proximité (le contemporain, le quotidien, l’intime, l’immédiat) b. Vacuité c. Artifices (question de la représentation du réel ; rapport (conflictuel ?) avec le point a.)
II Et après ? Modes mineurs au Québec
1-écriture
2-Récit
3-Réel
III Minimalismes narratifs
1-Acceptions large et restreintes (faire ressortir un noyau mou, très englobant, commun, et des « mouvances » restreintes.
2- Filiations (les minimalismes étant toujours défini par rapport à une norme (dominante, majeure) et dans un « après », la filiation est, même quand il y a similitudes poétiques et formelles, un facteur différentiel important. L’intimité sera traitée explicitement. Poser tout de même la question de la mondialisation et de la francophonie « occidentale »).
3- Minimalismes narratifs et postmodernité (énorme question, que je ne traiterai pas complètemement mais dois aborder pour finir).