Textes étudiés :

• « Bayardages », section « Pour non-liseurs », Liberté, no 147, juin 1983, p. 213;
• « L’apogée des classes moyennes », intitulé « Chronique inactuelle », section « Chroniques, p. 130-132 ;
• « La revanche de l’intériorité », Liberté, n° 158, 1985, p. 114-116.

Nom du critique : Pierre Vadeboncoeur

Statut institutionnel du critique : Ancien syndicaliste (CSN), écrivain. Associé à Cité Libre.

Genre des textes : Essais, textes d’opinion.

Place des textes dans l’économie globale de la revue : Variable, voir plus haut.

Événements littéraires québécois mentionnés : Aucuns.

Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Posture de philosophe, ton d’essayiste (recherche de la vérité par l’écriture).

Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Vadeboncoeur juge ridicule le texte de critique féministe de Carole Bayard, paru dans Lettres québécoises (no 29). Il se moque du langage alambiqué de la critique.

Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Yvon Rivard, Mort et naissance de Christophe Ulric ; Marie José Thériault, Invariance et Célébration du prince ; Gilbert Choquette, La Flamme et la forge.

Valorisation de lieux éditoriaux : Non.

Valorisation d’événements littéraires : Non.

Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Vadeboncoeur valorise la littérature inactuelle, qui s’écrit à l’écart des effets de mode. Il fait l’éloge de l’intériorité comme thème littéraire (G. Choquette).

Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns.

Autres remarques : Aucunes.

Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard