Table des matières
Liberté 1980-1986_Rédaction
PORTRAIT D’UN TEXTE OU D’UN CRITIQUE
A) Informations générales
« Note », dossier « Inconnu pluriel », Liberté, no 129, mai-juin 1980, p. 9-10 ; « Introduction », dossier « Nos écrivains par nous-mêmes », Liberté, no 145, février 1983, p. 4-7.
Nom du critique : Au no 129 : Secrétaire de rédaction : François Ricard; comité de rédaction : Réjean Beaudoin, François Hébert, René Lapierre, Robert Mélançon, Yvon Rivard; Au no 145 : Comité de rédaction : André Belleau, Jacques Folch-Ribas, Jacques Godbout, François Hébert, René Lapierre, Jean Larose, Robert Mélançon, Fernand Ouellette, François Ricard (directeur), Yvon Rivard (secrétaire de rédaction).
Statut institutionnel des critiques : Majoritairement universitaires (voir fiches sur les textes de chacun).
Genre des textes : Essais bref, textes de présentation.
Place du texte dans l’économie globale de la revue : Présente les dossiers.
Événements littéraires québécois mentionnés : Aucuns.
B) Informations métacritiques
Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Ton ironique, posture de connaisseurs, de lecteurs avertis.
Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Avec une fausse anthologie faite de pastiches, la revue se moque de la quantité démesurée d’anthologies et, plus généralement, du climat d’autocongratulation qui règne dans la critique et le milieu littéraire québécois. La rédaction ironise sur la valeur intrinsèque de la littérature québécoise : elle serait jeune et vivante, contrairement aux autres ; elle serait toujours reliée à une forme ou une autre d’affirmation nationale, et devrait être publicisée et exportée à la manière d’un produit de consommation.
Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Non
Valorisation de lieux éditoriaux : Non
Valorisation d’événements littéraires : Non
Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : La rédaction remarque la pluralité et l’audace des nouvelles écritures.
Autres valeurs ou enjeux défendus : Critique les théories, méthodes et manifestes littéraires, qui ne peuvent rendre compte de l’aventure littéraire.
Autres remarques : Aucunes.
Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard