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 « Le point de départ de ce livre, c’est mon père qui s’emmerde en lisant les contes que mon frère et moi lui réclamons au moment d’aller au lit. Et qui, à la place, se met à nous raconter sa jeunesse à lui, ce qu’il sait de la vie. Puis il y a le plaisir de voir ces histoires prendre forme, ces légendes se refermer sur soi, la nuit ; sentir qu’on occupe une place dans le monde, et que cette place, pour être mythologique, n’en est pas moins capitale. Après, longtemps après, vient le désir – non: le besoin – de se montrer à la hauteur de ces histoires, reçues en héritage. C’est donc à mon père que je voudrais dédier ce livre et à mon frère, ces joueurs essentiels dans la seule aventure qui compte vraiment: l’enfance. » Jean-Philippe Martel « Le point de départ de ce livre, c’est mon père qui s’emmerde en lisant les contes que mon frère et moi lui réclamons au moment d’aller au lit. Et qui, à la place, se met à nous raconter sa jeunesse à lui, ce qu’il sait de la vie. Puis il y a le plaisir de voir ces histoires prendre forme, ces légendes se refermer sur soi, la nuit ; sentir qu’on occupe une place dans le monde, et que cette place, pour être mythologique, n’en est pas moins capitale. Après, longtemps après, vient le désir – non: le besoin – de se montrer à la hauteur de ces histoires, reçues en héritage. C’est donc à mon père que je voudrais dédier ce livre et à mon frère, ces joueurs essentiels dans la seule aventure qui compte vraiment: l’enfance. » Jean-Philippe Martel
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-**Mc Comber, Éric, //La solde//, 2011.** 
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-Émile Duncan, bluesman urbain barbu en déroute, accepte un boulot de misère dans une usine d’agendas scolaires. En secret, pendant ses heures de besogne, il écrit ce qui deviendra un roman. La parution du bouquin déclenche une série de chocs sociaux qui mettront sa vie cul par-dessus tête. 
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-Épopée de l’après 11-septembre, chronique hyper-réelle et confession acide d’un enfant du siècle : //La Solde// est tout cela à la fois. De connivence avec Bukowski, Joyce et Céline, la dérive tragicomique d’Émile, portée par la voix éraillée de McComber, constitue une expérience de lecture rare, tonique et poignante. 
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-« //La Solde// est le dernier volet d’une trilogie de la lourdeur. Certainement le plus pesant et malheureux des trois, du moins pour ce qui est du terreau dans lequel ont poussé les racines. Enfin, pour moi, mais pas pour vous, lectrices et lectriciens. Non, vous allez vous gondoler, je crois. Je n’ai jamais rien écrit d’aussi burlesque que cette atroce histoire d’un pauvre niochon échoué dans une usine à connerie et dont la parution du premier roman va détériorer l’existence de manière significative. » – Éric McComber 
  
 **Nicol, Patrick, //Terre des cons//, 2012 (Roman)** **Nicol, Patrick, //Terre des cons//, 2012 (Roman)**
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 « Quelqu’un lira dans Et au pire, on se mariera l’histoire d’une mésadaptée socio-affective, un autre y verra un message social… peut-être un dernier m’accusera de faire l’apologie de la pédophilie. L’un de ceux-là aura raison. Mais comme le manichéisme m’énerve, je ne vous dirai pas lequel. » – Sophie Bienvenue « Quelqu’un lira dans Et au pire, on se mariera l’histoire d’une mésadaptée socio-affective, un autre y verra un message social… peut-être un dernier m’accusera de faire l’apologie de la pédophilie. L’un de ceux-là aura raison. Mais comme le manichéisme m’énerve, je ne vous dirai pas lequel. » – Sophie Bienvenue
  
 +**Mc Comber, Éric, //La solde//, 2011.**
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 +Émile Duncan, bluesman urbain barbu en déroute, accepte un boulot de misère dans une usine d’agendas scolaires. En secret, pendant ses heures de besogne, il écrit ce qui deviendra un roman. La parution du bouquin déclenche une série de chocs sociaux qui mettront sa vie cul par-dessus tête.
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 +Épopée de l’après 11-septembre, chronique hyper-réelle et confession acide d’un enfant du siècle : //La Solde// est tout cela à la fois. De connivence avec Bukowski, Joyce et Céline, la dérive tragicomique d’Émile, portée par la voix éraillée de McComber, constitue une expérience de lecture rare, tonique et poignante.
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 +« //La Solde// est le dernier volet d’une trilogie de la lourdeur. Certainement le plus pesant et malheureux des trois, du moins pour ce qui est du terreau dans lequel ont poussé les racines. Enfin, pour moi, mais pas pour vous, lectrices et lectriciens. Non, vous allez vous gondoler, je crois. Je n’ai jamais rien écrit d’aussi burlesque que cette atroce histoire d’un pauvre niochon échoué dans une usine à connerie et dont la parution du premier roman va détériorer l’existence de manière significative. » – Éric McComber
fq-equipe/la_meche.1401040571.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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