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Fiche de lecture
1. Degré d’intérêt général
Quête/Enquête: je ne crois pas, non.
Diffraction: il y un potentiel. On pourrait diviser le roman en quatre sections, chacune racontée par un différent personnage narrateur (deux au début du XIXe siècle et deux contemporains), qui finissent par se rejoindre et achever de se mélanger dans l'apothéose finale. Plusieurs intrigues sont donc imbriquées, à un point tel que les identités des personnages s'effilochent et se confondent, de même que les faits historiques et la fiction romanesque.
Informations paratextuelles
2.1 Auteur : Emmanuel Carrère
2.2 Titre : Bravoure
2.3 Lieu d’édition : Paris
2.4 Édition : Gallimard (ed. originale: P.O.L.)
2.5 Collection : Folio
2.6 (Année [copyright]) : 2008 (ed. originale : 1984)
2.7 Nombre de pages : 370
2.8 Varia : -
3. Résumé du roman
4. Singularité formelle
5. Caractéristiques du récit et de la narration
6. Narrativité (Typologie de Ryan)
6.1- Simple
6.2- Multiple
6.3- Complexe
6.4- Proliférante
6.5- Tramée
6.6- Diluée
6.7- Embryonnaire
On pourrait considérer que l'univers fictionnel de Bravoure est tout entier créé à partir de l'épisode où Lord Byron, Polidori, Shelley et Mary sont rassemblés à Genève, en 1816. Les récits qui sont liés à cet épisode à peu près central finissent certes par se mélanger, mais sans que leur fusion, consacrée dans les pages 349-370, ne parvienne à générer une intrigue. Par ailleurs, ces récits ne sont pas non plus autonomes ni, pour certains, clairement séparés les uns des autres.
6.8- Implicite
6.9- Figurale
6.10- Anti-narrativité
6.11- Instrumentale
6.12- Suspendue
Justifiez :
7. Rapport avec la fiction
8. Intertextualité
9. Élément marquant à retenir
Porosité : entre différents niveaux de fiction, entre les époques, entre les personnages