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 **Statut institutionnel du chroniqueur :** À l’époque, Hébert est professeur à l’Université de Toronto mais passe à l’Université de Sherbrooke en 1990. **Statut institutionnel du chroniqueur :** À l’époque, Hébert est professeur à l’Université de Toronto mais passe à l’Université de Sherbrooke en 1990.
  
-Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) : +**Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) :** 
  
 Chronique consacrée à des romans qui viennent de paraître, fait quelques pages comme toutes les chroniques de VI. La particularité d’Hébert par rapport à d’autres chroniqueurs avant lui est de faire état de plusieurs romans à la fois, en tentant bien sûr de rendre compte de chacun mais aussi de faire des liens entre eux, ce qui est parfois périlleux (on ne peut s’empêcher de le trouver courageux!) Chronique consacrée à des romans qui viennent de paraître, fait quelques pages comme toutes les chroniques de VI. La particularité d’Hébert par rapport à d’autres chroniqueurs avant lui est de faire état de plusieurs romans à la fois, en tentant bien sûr de rendre compte de chacun mais aussi de faire des liens entre eux, ce qui est parfois périlleux (on ne peut s’empêcher de le trouver courageux!)
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 **Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine :**  **Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine :** 
  
-o « À l’impossible, certains sont tenus », Voix et Images, vol. XIII, no 1, automne 1987 (37), p. 192-194.+__o « À l’impossible, certains sont tenus », Voix et Images, vol. XIII, no 1, automne 1987 (37), p. 192-194.__
  
 « L’aspect diversifié, éclaté du roman québécois actuel a été suffisamment mis en relief pour qu’un lecteur tant soit peu avisé évite de réduire les textes à deux ou trois tendances présumément dominantes. » (192) – Il ne spécifie pas qui, mais je trouve qu’il y a une démission précoce de la critique ;-) « L’aspect diversifié, éclaté du roman québécois actuel a été suffisamment mis en relief pour qu’un lecteur tant soit peu avisé évite de réduire les textes à deux ou trois tendances présumément dominantes. » (192) – Il ne spécifie pas qui, mais je trouve qu’il y a une démission précoce de la critique ;-)
  
-o « Mourir. En attendant, dire ‘Bof’… », Voix et Images, vol. XIII, no 2, hiver 1988 (38), p. 339-343.+__o « Mourir. En attendant, dire ‘Bof’… », Voix et Images, vol. XIII, no 2, hiver 1988 (38), p. 339-343.__
  
 Il présente des romans sur la mort et propose une nouvelle catégorie de roman qu’il appelle les « romans-bof », du titre Bof génération de Jean-Yves Dupuis. La note de passage de François Gravel, Encore une partie pour Berri de Pauline Harvey et Loft story de Jean-Robert Sanfaçon sont d’autres exemples. Il présente des romans sur la mort et propose une nouvelle catégorie de roman qu’il appelle les « romans-bof », du titre Bof génération de Jean-Yves Dupuis. La note de passage de François Gravel, Encore une partie pour Berri de Pauline Harvey et Loft story de Jean-Robert Sanfaçon sont d’autres exemples.
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 La question que je pose : peut-on lier ce phénomène aux impassibles de Minuit ? La question que je pose : peut-on lier ce phénomène aux impassibles de Minuit ?
  
-o « Voix et Images, mais de quel pays ? », Voix et Images, volume XIII, no 3 (39), printemps 1988, p. 492-496.+__o « Voix et Images, mais de quel pays ? », Voix et Images, volume XIII, no 3 (39), printemps 1988, p. 492-496.__
  
 Il remarque un changement du rapport du roman au pays, mais ne peut le définir puisque les voix sont différentes, plurielles. Il remarque un changement du rapport du roman au pays, mais ne peut le définir puisque les voix sont différentes, plurielles.
  
-o « Ces romans qu’on dit ‘populaire’ », Voix et Images, vol. XV, no 1, automne 1989 (43), p. 131-137.+__o « Ces romans qu’on dit ‘populaire’ », Voix et Images, vol. XV, no 1, automne 1989 (43), p. 131-137.__
  
 « Enfin, quelle que soit sa définition, le roman populaire occupe plus que jamais semble-t-il, une partie importante du champ littéraire québécoise » (131) « Enfin, quelle que soit sa définition, le roman populaire occupe plus que jamais semble-t-il, une partie importante du champ littéraire québécoise » (131)
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 « Derrière Simon Léger [héros d’un roman de Jean-Robert Sanfaçon, L’eau dans l’encrier (1989)] se profile le portrait type du héros de notre temps: il a l'air plutôt incertain de lui-même, voire instable; sommeille chez lui la tentation de tout lâcher, de se réinventer une vie. Il est souvent tenté par l'art, afin de dire la complexité des choses et des êtres (p. 18). Dans le fond, il n'a qu'une préoccupation, le temps: Ce qu'il peut nous en jouer de joyeux tours dans une seule vie, nous laissant l'impression d'infini à vingt ans et du tout fout le camp à quarante, (p. 257) Mais, loin d'être amoral, ce héros de notre temps a conservé quelques valeurs fondamentales. » (133) « Derrière Simon Léger [héros d’un roman de Jean-Robert Sanfaçon, L’eau dans l’encrier (1989)] se profile le portrait type du héros de notre temps: il a l'air plutôt incertain de lui-même, voire instable; sommeille chez lui la tentation de tout lâcher, de se réinventer une vie. Il est souvent tenté par l'art, afin de dire la complexité des choses et des êtres (p. 18). Dans le fond, il n'a qu'une préoccupation, le temps: Ce qu'il peut nous en jouer de joyeux tours dans une seule vie, nous laissant l'impression d'infini à vingt ans et du tout fout le camp à quarante, (p. 257) Mais, loin d'être amoral, ce héros de notre temps a conservé quelques valeurs fondamentales. » (133)
  
-o « Expropriés d’aujourd’hui et d’autrefois », Voix et Images, vol. XV, no 3, printemps 1990 (45)+__o « Expropriés d’aujourd’hui et d’autrefois », Voix et Images, vol. XV, no 3, printemps 1990 (45)__
  
 Sur La rage de Louis Hamelin, Hébert dit qu’il « met le doigt sur le sentiment de dépossession intérieure contemporaine » (452) Sur La rage de Louis Hamelin, Hébert dit qu’il « met le doigt sur le sentiment de dépossession intérieure contemporaine » (452)
  
-o « Qu’est-ce qu’une femme en noir, un projet de film et des portraits pornographiques ont en commun? », Voix et Images, vol. XVII, no 2, hiver 1992 (50), p. 324-332.+__o « Qu’est-ce qu’une femme en noir, un projet de film et des portraits pornographiques ont en commun? », Voix et Images, vol. XVII, no 2, hiver 1992 (50), p. 324-332.__
  
 S’interroge sur l’évolution de la « recherche de soi » dans le roman québécois et observe une manière différente dans les « œuvres récentes ». S’interroge sur l’évolution de la « recherche de soi » dans le roman québécois et observe une manière différente dans les « œuvres récentes ».
fq-equipe/2.voix_et_images_1986-1992_pierre_hebert.1477074809.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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