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diffraction:corpus_indicatif_-_france

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   * « construction du roman par juxtaposition de monologues » (Dominique Rabaté, //[[Le roman français depuis 1900]]//, p. 116).   * « construction du roman par juxtaposition de monologues » (Dominique Rabaté, //[[Le roman français depuis 1900]]//, p. 116).
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 +- BOUVET, Patrick, //Shot// (2000)
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 +  * « dispositif[] génériquement irréductible[], entre monstre[] et curiosité[], qui tien[t] à la fois du poème en prose ou en vers libre, du récit de fiction, du commentaire critique, du reportage stylisé, de la page autobiographique » (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 440).
  
 - CHANDERNAGOR, Françoise, //La sans-pareille// (1988) - CHANDERNAGOR, Françoise, //La sans-pareille// (1988)
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   * « Echenoz rebrasse un ensemble de personnages, de motifs, de décors », d'où un « art du bricolage » qui caractérise l'ensemble de l'oeuvre. La composition de //Je m'en vais// respecte par ailleurs un principe d'alternance qui rompt la linéarité du récit (Pierre Brunel, //[[Glissements du roman français au XXe siècle]]//, p. 32).   * « Echenoz rebrasse un ensemble de personnages, de motifs, de décors », d'où un « art du bricolage » qui caractérise l'ensemble de l'oeuvre. La composition de //Je m'en vais// respecte par ailleurs un principe d'alternance qui rompt la linéarité du récit (Pierre Brunel, //[[Glissements du roman français au XXe siècle]]//, p. 32).
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 +- FOURNEL, Paul, //Un homme regarde une femme// (1994)
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 +  * « suite de cent trente fragments correspondant aux différents regards que porte un narrateur sur la femme qu'il aime et aux multiples postures de discours par lesquelles il énonce son sentiment » (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 454).
  
 - GAILLY, Christian, ensemble de l'oeuvre : - GAILLY, Christian, ensemble de l'oeuvre :
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   * fait preuve de « luxuriance baroque » (Mitterand, //[[La littérature française du XXe siècle]]//, p. 108).   * fait preuve de « luxuriance baroque » (Mitterand, //[[La littérature française du XXe siècle]]//, p. 108).
   * de même, on qualifiera ses oeuvres de « polyphoniques » et de « baroques » (TONNET-LACROIX, Eliane, //[[La littérature française et francophone de 1945 à l'an 2000]]//, p. 297-298).   * de même, on qualifiera ses oeuvres de « polyphoniques » et de « baroques » (TONNET-LACROIX, Eliane, //[[La littérature française et francophone de 1945 à l'an 2000]]//, p. 297-298).
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 +- HOCQUART, Emmanuel, //Un privé à Tanger// (1987)
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 +  * « dispositif[] génériquement irréductible[], entre monstre[] et curiosité[], qui tien[t] à la fois du poème en prose ou en vers libre, du récit de fiction, du commentaire critique, du reportage stylisé, de la page autobiographique » (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 440).
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 +- HOLDER, Éric, //Les petits bleus// (1990) (recueil de nouvelles)
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 +  * scènes fragmentaires, épisodes ébauchés (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 447).
  
 - HUSTON, Nancy, ensemble de l'oeuvre, dont : - HUSTON, Nancy, ensemble de l'oeuvre, dont :
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 - JEANNET, Frédéric-Yves, //Métamorphose//, 1992. - JEANNET, Frédéric-Yves, //Métamorphose//, 1992.
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 - LAMARCHE, Caroline, //Le jour du chien//, Paris, Minuit, 1996. - LAMARCHE, Caroline, //Le jour du chien//, Paris, Minuit, 1996.
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   * « Jamais les médias n'avaient eu autant de place que dans ce roman qui, à la jointure des deux siècles, inaugure peut-être en effet la formule du roman médiatique. Pour cela, Schuhl a ménagé 1001 glissements : du //Pierrot lunaire// de Schoenberg [...] à la dernière chanson d'Ingrid Caven », avec comme impression « un séisme contrôlé par l'écriture » (Pierre Brunel, //[[Glissements du roman français au XXe siècle]]//, p. 33-34).   * « Jamais les médias n'avaient eu autant de place que dans ce roman qui, à la jointure des deux siècles, inaugure peut-être en effet la formule du roman médiatique. Pour cela, Schuhl a ménagé 1001 glissements : du //Pierrot lunaire// de Schoenberg [...] à la dernière chanson d'Ingrid Caven », avec comme impression « un séisme contrôlé par l'écriture » (Pierre Brunel, //[[Glissements du roman français au XXe siècle]]//, p. 33-34).
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 +- SERENA, Jacques, //Lendemain de fête// (1993)
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 +  * scènes fragmentaires, épisodes ébauchés (Blanckeman, //[[Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II - après 1940]]//, p. 447).
  
 - SOLLERS, Philippe, //Femmes// (1983) - SOLLERS, Philippe, //Femmes// (1983)
diffraction/corpus_indicatif_-_france.1288380857.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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