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diffraction:ajouts_novembre_2016

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   * Catégorie : **théâtralisation du texte**   * Catégorie : **théâtralisation du texte**
   * Ce roman est construit à la manière d’un film, c’est-à-dire avec des indications sur les prises de vues, des zooms de caméra (un gros plan sur un extrait de livre est visuellement reproduit à l’intérieur du roman), en plus de l’insertion de scènes coupées et d’entrevues avec les personnages qui livrent leurs commentaires sur le tournage du livre. Les trois parties de ce « roman-film » s’intitulent d’ailleurs : « Le roman », « Entrevues avec les personnages » et « Scènes coupées ». Chaque chapitre correspond à une scène du film.   * Ce roman est construit à la manière d’un film, c’est-à-dire avec des indications sur les prises de vues, des zooms de caméra (un gros plan sur un extrait de livre est visuellement reproduit à l’intérieur du roman), en plus de l’insertion de scènes coupées et d’entrevues avec les personnages qui livrent leurs commentaires sur le tournage du livre. Les trois parties de ce « roman-film » s’intitulent d’ailleurs : « Le roman », « Entrevues avec les personnages » et « Scènes coupées ». Chaque chapitre correspond à une scène du film.
-  * En parallèle de l’histoire racontée par le film, on retrouve des courriels envoyés par les spectateurs. Orion : « Les spectateurs (parmi lesquels une voix dominante sert de narrateur) commentent souvent l'action, par courriel « en direct » (ex : p. 21 : « Un érudit, qui souhaite garder l'anonymat et qui a vu l'œuvre en même temps de nous, vient de nous envoyer le courriel suivant : “Il s'agit du deuxième état d'une gravure intitulée Le musicien exécutée en 1922 par l'artiste pour illustrer son autobiographie Ma vie.” ») ou par des questions qui soulignent quelques incohérences.+  * En parallèle de l’histoire racontée par le film, on retrouve des courriels envoyés par les spectateurs. Orion : « Les spectateurs (parmi lesquels une voix dominante sert de narrateur) commentent souvent l'action, par courriel « en direct » (ex : p. 21 : « Un érudit, qui souhaite garder l'anonymat et qui a vu l'œuvre en même temps de nous, vient de nous envoyer le courriel suivant : “Il s'agit du deuxième état d'une gravure intitulée Le musicien exécutée en 1922 par l'artiste pour illustrer son autobiographie Ma vie.” ») ou par des questions qui soulignent quelques incohérences. »
  
 MAVRIKAKIS, Catherine, //Fleurs de crachat//, Montréal, Leméac, 2005, 200 p. MAVRIKAKIS, Catherine, //Fleurs de crachat//, Montréal, Leméac, 2005, 200 p.
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 __FRANCE (en vrac)__ __FRANCE (en vrac)__
-Jacques Roubaud, //Tokyo infra-ordinaire//, Paris, Inventaire/Invention, 2003, 86 p. (+++) 
  
 +Jacques Roubaud, //Tokyo infra-ordinaire//, Paris, Inventaire/Invention, 2003, 86 p. (+++)
   * //DISPONIBLE AU BUREAU//    * //DISPONIBLE AU BUREAU// 
   * Catégorie : **théâtralisation** -> « l'image du texte sort de son invisibilité conventionnelle au profit de sa démonstration. »   * Catégorie : **théâtralisation** -> « l'image du texte sort de son invisibilité conventionnelle au profit de sa démonstration. »
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   * Catégorie : **théâtralisation**   * Catégorie : **théâtralisation**
   * Quatrième de couverture : « En traçant aujourd’hui sur le papier la première de ces lignes de prose, je suis parfaitement conscient du fait que je porte un coup mortel, définitif, à ce qui, conçu au début de ma trentième année comme alternative au silence, a été pendant plus de vingt ans le projet de mon existence. Mon intention initiale était d’accompagner la réalisation de ce Projet d’un récit, un roman qui, sous le vêtement d’une transposition dans l’imaginaire d’événements inextricablement mélangés de réel, en aurait marqué les étapes, dévoilé ou au besoin dissimulé les énigmes, éclairé la signification. Le Grand Incendie de Londres - tel était le titre qui s’était imposé à moi depuis un rêve, peu de temps après la décision vitale qui m’avait conduit à concevoir le Projet - aurait eu une place singulière dans la construction d’ensemble, distinct du Projet quoique s’y insérant, racontant le Projet, réel, comme s’il était fictif, donnant enfin à l’édifice du Projet un toit qui, comme ceux des demeures japonaises débordant largement des façades et s’incurvant presque jusqu’au sol, lui aurait assuré l’ombre nécessaire à sa protection esthétique. Il n’en a pas été ainsi. »   * Quatrième de couverture : « En traçant aujourd’hui sur le papier la première de ces lignes de prose, je suis parfaitement conscient du fait que je porte un coup mortel, définitif, à ce qui, conçu au début de ma trentième année comme alternative au silence, a été pendant plus de vingt ans le projet de mon existence. Mon intention initiale était d’accompagner la réalisation de ce Projet d’un récit, un roman qui, sous le vêtement d’une transposition dans l’imaginaire d’événements inextricablement mélangés de réel, en aurait marqué les étapes, dévoilé ou au besoin dissimulé les énigmes, éclairé la signification. Le Grand Incendie de Londres - tel était le titre qui s’était imposé à moi depuis un rêve, peu de temps après la décision vitale qui m’avait conduit à concevoir le Projet - aurait eu une place singulière dans la construction d’ensemble, distinct du Projet quoique s’y insérant, racontant le Projet, réel, comme s’il était fictif, donnant enfin à l’édifice du Projet un toit qui, comme ceux des demeures japonaises débordant largement des façades et s’incurvant presque jusqu’au sol, lui aurait assuré l’ombre nécessaire à sa protection esthétique. Il n’en a pas été ainsi. »
 +
 +Brice Matthieussent, //La vengeance du traducteur//, Paris, P.O.L., 2009,320 p.
 +  * Catégorie : **théâtralisation**
 +  * Roman entièrement composé de N.d.T. 
 +  * [[http://www.pol-editeur.com/pdf/6286.pdf|Visuel]]
 +
 +Éric Chevillard, //L'auteur et moi//, Paris, Minuit,2012,304 p.
 +  * Deux récits s'imbriquent et s'interrompent. Ils sont par ailleurs commentés par l'auteur, intervenant pour tenter de garder la main sur sa création et de comprendre ce qui se passe à son insu dans la fiction.
 +  * 
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 Patrick Mauriès (1991), //Fragments d’une forêt//, Paris, La Différence, 72 p.  Patrick Mauriès (1991), //Fragments d’une forêt//, Paris, La Différence, 72 p. 
diffraction/ajouts_novembre_2016.1479996428.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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