Outils pour utilisateurs

Outils du site


2005-h2024:gen

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentesRévision précédente
Prochaine révision
Révision précédente
2005-h2024:gen [2024/03/16 19:45] eq312005-h2024:gen [2024/03/17 16:10] (Version actuelle) eq31
Ligne 16: Ligne 16:
  
 Parler de « culture numérique », c’est parler de « révolution numérique » : comme spécifié par Escande-Gauquié et Naivin dans leur ouvrage qui la démystifie, on verrait ce phénomène comme une rupture dans le numérique, qui se définirait comme une « révolution culturelle en plus d’être une évolution technique  » ((Escande-Gauquié, P. & Naivin, B. (2019). //Comprendre la culture numérique//. Dunod (Hors Collection). pp. 6-8. [en ligne]. https://www-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/comprendre-la-culture-numerique--9782100795840.htm)). Les études s’entendent pour dire qu’on assisterait à une « coupure épistémologique », c’est-à-dire un changement de paradigme dans la manière d’aborder le monde et le numérique, ce dernier concept transitant entre des méthodes d’analyse caduques pour l’interpréter et des nouvelles visions plus appropriées encore incertaines ((Mollier, J.-Y. (2024). Culture numérique. Dans //Encyclopaedia Universalis//. [en ligne]. https://www-universalis-edu-com.acces.bibl.ulaval.ca/encyclopedie/culture-numerique/)). La « culture numérique », selon Dominique Cardon, comprendrait « les pratiques créatives des utilisateurs » qui tenteraient de se démarquer en agissant et en s’exprimant directement sur plusieurs plateformes, ainsi que « les nouvelles formes d’agencement et de participations politique, sociale et économique proposées par les organisations (entreprises, institutions, médias) » ((Escande-Gauquié & Naivin, //op.cit.//, p. 6)). On viserait, par l’entremise des techniques introduites lors de l’avènement d’Internet, entre autres, à satisfaire des désirs d’optimisation, de praticité et de performance : c’est la « tech-sistence », une tendance à vivre par et pour le numérique, entouré d’écrans et dépendant à la technologie ((Naivin, B. (2017). Le numérique a-t-il déjà modifié notre être ?. //Nectart//, vol. I, n. 4, p. 8. [en ligne]. https://www-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/revue-nectart-2017-1-page-129.htm)).  Parler de « culture numérique », c’est parler de « révolution numérique » : comme spécifié par Escande-Gauquié et Naivin dans leur ouvrage qui la démystifie, on verrait ce phénomène comme une rupture dans le numérique, qui se définirait comme une « révolution culturelle en plus d’être une évolution technique  » ((Escande-Gauquié, P. & Naivin, B. (2019). //Comprendre la culture numérique//. Dunod (Hors Collection). pp. 6-8. [en ligne]. https://www-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/comprendre-la-culture-numerique--9782100795840.htm)). Les études s’entendent pour dire qu’on assisterait à une « coupure épistémologique », c’est-à-dire un changement de paradigme dans la manière d’aborder le monde et le numérique, ce dernier concept transitant entre des méthodes d’analyse caduques pour l’interpréter et des nouvelles visions plus appropriées encore incertaines ((Mollier, J.-Y. (2024). Culture numérique. Dans //Encyclopaedia Universalis//. [en ligne]. https://www-universalis-edu-com.acces.bibl.ulaval.ca/encyclopedie/culture-numerique/)). La « culture numérique », selon Dominique Cardon, comprendrait « les pratiques créatives des utilisateurs » qui tenteraient de se démarquer en agissant et en s’exprimant directement sur plusieurs plateformes, ainsi que « les nouvelles formes d’agencement et de participations politique, sociale et économique proposées par les organisations (entreprises, institutions, médias) » ((Escande-Gauquié & Naivin, //op.cit.//, p. 6)). On viserait, par l’entremise des techniques introduites lors de l’avènement d’Internet, entre autres, à satisfaire des désirs d’optimisation, de praticité et de performance : c’est la « tech-sistence », une tendance à vivre par et pour le numérique, entouré d’écrans et dépendant à la technologie ((Naivin, B. (2017). Le numérique a-t-il déjà modifié notre être ?. //Nectart//, vol. I, n. 4, p. 8. [en ligne]. https://www-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/revue-nectart-2017-1-page-129.htm)). 
-Cette culture, unifiante, qui favorise les rassemblements et ouvre l’individu sur le monde, impliquerait la formation d’un groupe, d’une macro-communauté que sont tous les utilisateurs du numérique. Cette dernière se subdiviserait en plusieurs groupes qui mèneraient à la différentialisation, portée par ce besoin de «  faire identité » ((Escande-Gauquié & Naivin, //op.cit.//, p. 37)). On voit dès lors l’apparition de différents groupes d’échanges sur le Web social qui partageraient un ensemble de traits communs et distinctifs. On remarque, à travers ces formations, de quelle manière le numérique détient une valeur symbolique pour ses consommateurs. Naivin avance, de même que Mollier, que « cet usage quotidien et compulsif de ces nouveaux outils que nous consultons, interrogeons et manipulons presque continuellement [modifie] notre rapport au monde et à l’autre » ((Naivin, B. //art. cit.//, p. 8)) : elle influencerait notre manière d’appréhender notre environnement réel en le voyant, souvent, par le biais du virtuel et entraînerait donc une distorsion de la perception spatio-temporelle des choses.+Cette culture, unifiante, qui favorise les rassemblements et ouvre l’individu sur le monde, impliquerait la formation d’un groupe, d’une macro-communauté que sont tous les utilisateurs du numérique. Celle-ci se subdiviserait en plusieurs groupes qui mèneraient à la différentialisation, portée par ce besoin de «  faire identité » ((Escande-Gauquié & Naivin, //op.cit.//, p. 37)). On voit dès lors l’apparition de différents groupes d’échanges sur le Web social qui partageraient un ensemble de traits communs et distinctifs. On remarque, à travers ces formations, de quelle manière le numérique détient une valeur symbolique pour ses consommateurs. Naivin avance, de même que Mollier, que « cet usage quotidien et compulsif de ces nouveaux outils que nous consultons, interrogeons et manipulons presque continuellement [modifie] notre rapport au monde et à l’autre » ((Naivin, B. //art. cit.//, p. 8)) : elle influencerait notre manière d’appréhender notre environnement réel en le voyant, souvent, par le biais du virtuel et entraînerait donc une distorsion de la perception spatio-temporelle des choses.
 Le pendant économique de cette culture numérique, les médias et les entreprises, aurait favorisé grandement la formation de ces groupes en proposant différentes plateformes lucratives d’exploration de la réalité numérique, d’où l’appellation d’« industries culturelles ». Mairesse les définirait comme une « catégorie d’activités économiques produisant et valorisant, sur une échelle de masse, des biens et des services dont le contenu artistique est //significatif// » ((Mairesse, F. & Rochelandet, F. (2015). //Économie des arts et de la culture//. Armand Colin (Collection U), p. 138. [en ligne]. https://www-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/economie-des-arts-et-de-la-culture--9782200277413.htm)). On voit donc l’apparition de différentes applications telles que Twitter, Instagram, Tiktok, qui détermineraient d’avance les traits des individus qu’elles ciblent, en voulant à la fois être un bien immatériel formel et original, et à la fois être reproductible industriellement pour que tous puissent en faire usage (Mairesse, 2015 : 138). « Dès lors, tout se pratique, s’apprend et s’échange, se monétise //via// le numérique » ((Escande-Gauquié & Naivin, //op.cit.//, p. 8)). Le pendant économique de cette culture numérique, les médias et les entreprises, aurait favorisé grandement la formation de ces groupes en proposant différentes plateformes lucratives d’exploration de la réalité numérique, d’où l’appellation d’« industries culturelles ». Mairesse les définirait comme une « catégorie d’activités économiques produisant et valorisant, sur une échelle de masse, des biens et des services dont le contenu artistique est //significatif// » ((Mairesse, F. & Rochelandet, F. (2015). //Économie des arts et de la culture//. Armand Colin (Collection U), p. 138. [en ligne]. https://www-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/economie-des-arts-et-de-la-culture--9782200277413.htm)). On voit donc l’apparition de différentes applications telles que Twitter, Instagram, Tiktok, qui détermineraient d’avance les traits des individus qu’elles ciblent, en voulant à la fois être un bien immatériel formel et original, et à la fois être reproductible industriellement pour que tous puissent en faire usage (Mairesse, 2015 : 138). « Dès lors, tout se pratique, s’apprend et s’échange, se monétise //via// le numérique » ((Escande-Gauquié & Naivin, //op.cit.//, p. 8)).
  
Ligne 22: Ligne 22:
  
 Lorsqu’il s’agit de générations, les années définissant le début et la fin de ces générations peuvent changer selon la source. Selon l’Université de la Californie du Sud, les milléniaux sont une génération s'étendant de 1980 à 1994, et la Génération Z s'étend de 1995 à 2012.((University of Southern California. (2024, March 6). //Age Groups - Demographics - Research Guides at University of Southern California//. USC Libraries. https://libguides.usc.edu/busdem/age)). Considérant le développement de l’Internet dans les années 90, il est possible de les considérer comme étant des //digital immigrants// puisque ce développement s’est réalisé durant leur enfance ou leur adolescence. Pour la Génération Z, l’Internet s’était déjà bien développé à leur naissance et à travers leur enfance et adolescence. Il est aussi possible qu’en raison du développement de l’Internet pendant le jeune âge des milléniaux, ces derniers pourraient être groupés avec les //digital natives//, sachant que c’est une période d’adaptation importante. Cependant, les lignes restent brouillées.{{:2005-h2024:pexels-andrea-piacquadio-3791666.jpg?400 |}} Lorsqu’il s’agit de générations, les années définissant le début et la fin de ces générations peuvent changer selon la source. Selon l’Université de la Californie du Sud, les milléniaux sont une génération s'étendant de 1980 à 1994, et la Génération Z s'étend de 1995 à 2012.((University of Southern California. (2024, March 6). //Age Groups - Demographics - Research Guides at University of Southern California//. USC Libraries. https://libguides.usc.edu/busdem/age)). Considérant le développement de l’Internet dans les années 90, il est possible de les considérer comme étant des //digital immigrants// puisque ce développement s’est réalisé durant leur enfance ou leur adolescence. Pour la Génération Z, l’Internet s’était déjà bien développé à leur naissance et à travers leur enfance et adolescence. Il est aussi possible qu’en raison du développement de l’Internet pendant le jeune âge des milléniaux, ces derniers pourraient être groupés avec les //digital natives//, sachant que c’est une période d’adaptation importante. Cependant, les lignes restent brouillées.{{:2005-h2024:pexels-andrea-piacquadio-3791666.jpg?400 |}}
- En raison de la fluidité des générations, celles-ci peuvent partager des traits associés aux deux si elles se trouvent à la limite entre les générations. Les circonstances de vie des individus peuvent aussi affecter leur approche à différentes choses; dans ce cas-ci l’Internet, les réseaux sociaux, et la culture numérique. Les générations considérées spécifiquement comme //digital immigrants// sont les générations nommées //Baby Boomers// (1946-1964) ou Génération X  (1965-1979)((University of Southern California. (2024, March 6). //Age Groups - Demographics - Research Guides at University of Southern California//. USC Libraries. https://libguides.usc.edu/busdem/age)). Ils tendent à se servir de l’Internet et de ses différentes plateformes de manière professionnelle plutôt qu’à des fins de socialisation. Plusieurs, quoique préférant faire ce type de communication face à face, utilisent des réseaux sociaux tels que LinkedIn plutôt que ceux comme Twitter((Jarrahi, M. H., Eshraghi, A. (2019). Digital natives vs digital immigrants: A multidimensional view on interaction with social technologies in organizations. //Journal of Enterprise Information Management//, 32(6), p. 1058.)), car ils préfèrent communiquer en personne ou simplement ne désirent pas partager leur vie sociale de cette manière((Jarrahi, M. H.& Eshraghi, A.,//op.cit.//, p. 1057.)). On peut voir aussi que lorsqu’il s’agit de la communication liée au travail ou au réseautage, les //digital natives// ont tendance à favoriser les réseaux sociaux, tandis que les //digital immigrants// les utiliseraient surtout en tant que moyen de communication plus formels comme les courriels((Jarrahi, M. H.& Eshraghi, A.,//op.cit.//, p. 1053.)). L’approche différente à l’Internet et les plateformes peut provenir d’un manque d’aisance avec la technologie dû à leur arrivée tardive dans la vie des //digital immigrants//. Puisque l’utilisateur en connaît moins, il est plus difficile d’utiliser les plateformes((Ball, C., Francis, J., Huang K., Kadylak, T., Cotten, S. R., Rikard, R. V. (2019). The Physical-Digital Divide: Exploring the Social Gap Between Digital Natives and Physical Natives. //Journal of Applied Gerontology//, 38(8), 1167-1184. [en ligne].)) . Cette difficulté pousse l’utilisateur à n’utiliser ces technologies que lorsque nécessaire. Les individus faisant partie de la génération des //digital natives//, quant à eux, sont plus à l’aise sur les réseaux sociaux, et en particulier plus à l'aise à divulguer leurs pensées et vies personnelles sur ces réseaux sociaux((Jarrahi, M. H.& Eshraghi, A., //op.cit.//, p. 1053.)). Ceci est le phénomène d’extimité en ligne. L’extimité, comme décrit par Serge Tisseron, est le fait de vouloir exprimer des facettes personnelles de soi de manière publique((Tisseron, S. (2011). Intimité et extimité. //Communications//, 88, 83-91.[en ligne]. Paragraphe 8. https://doi.org/10.3917/commu.088.0083)). Dans ce contexte-ci, ce sont les //digital natives// qui démontrent le plus fortement ce désir en partageant des pensées ou informations personnelles en ligne. Ceci s’exprime souvent comme une identité ou personnalité en ligne différente pour l'individu ((Tisseron, S., //op. cit.//, Paragraphe 13.)). Il est possible que l’individu veuille s’exprimer de manière plus discrète, ou veuille expérimenter avec différentes facettes de soi d’une manière qui n’a pas de répercussions trop importantes ou immédiates((Tisseron, S., //op. cit.//, Paragraphe 14.)). La fréquence et les motivations avec lesquelles les milléniaux ou la Génération Z font usage de ces plateformes diffère de celle des //digital immigrants//. Il est noté que certains //digital natives// utilisent les plateformes de l’Internet plus fréquemment que les //digital immigrants//. Par exemple, certains membres des générations //digital natives// dans une même pièce vont choisir d’utiliser des plateformes de réseaux sociaux pour communiquer entre eux au lieu de parler à voix haute((Jarrahi, M. H. & Eshraghi, A., //op.cit.//, p. 1056.)).+ En raison de la fluidité des générations, celles-ci peuvent partager des traits associés aux deux si elles se trouvent à la limite entre les générations. Les circonstances de vie des individus peuvent aussi affecter leur approche à différentes choses; dans ce cas-ci l’Internet, les réseaux sociaux, et la culture numérique. Les générations considérées spécifiquement comme //digital immigrants// sont les générations nommées //Baby Boomers// (1946-1964) ou Génération X  (1965-1979)((University of Southern California. (2024, March 6). //Age Groups - Demographics - Research Guides at University of Southern California//. USC Libraries. https://libguides.usc.edu/busdem/age)). Ils tendent à se servir de l’Internet et de ses différentes plateformes de manière professionnelle plutôt qu’à des fins de socialisation. Plusieurs, quoique préférant faire ce type de communication face à face, utilisent des réseaux sociaux tels que LinkedIn plutôt que ceux comme Twitter((Jarrahi, M. H., Eshraghi, A. (2019). Digital natives vs digital immigrants: A multidimensional view on interaction with social technologies in organizations. //Journal of Enterprise Information Management//, 32(6), p. 1058.)), car ils préfèrent communiquer en personne ou simplement ne désirent pas partager leur vie sociale de cette manière((Jarrahi, M. H.& Eshraghi, A.,//op.cit.//, p. 1057.)). On peut voir aussi que lorsqu’il s’agit de la communication liée au travail ou au réseautage, les //digital natives// ont tendance à favoriser les réseaux sociaux, tandis que les //digital immigrants// les utiliseraient surtout en tant que moyen de communication plus formels comme les courriels((Jarrahi, M. H.& Eshraghi, A.,//op.cit.//, p. 1053.)). L’approche différente à l’Internet et les plateformes peut provenir d’un manque d’aisance avec la technologie dû à leur arrivée tardive dans la vie des //digital immigrants//. Puisque l’utilisateur en connaît moins, il est plus difficile d’utiliser les plateformes((Ball, C., Francis, J., Huang K., Kadylak, T., Cotten, S. R., Rikard, R. V. (2019). The Physical-Digital Divide: Exploring the Social Gap Between Digital Natives and Physical Natives. //Journal of Applied Gerontology//, 38(8), 1167-1184. [en ligne].)) . Cette difficulté pousse l’utilisateur à n’utiliser ces technologies que lorsque nécessaire. Les individus faisant partie de la génération des //digital natives//, quant à eux, sont plus à l’aise sur les réseaux sociaux, et en particulier plus à l'aise à divulguer leurs pensées et vies personnelles sur ces réseaux sociaux((Jarrahi, M. H.& Eshraghi, A., //op.cit.//, p. 1053.)). Ceci est le phénomène d’extimité en ligne. L’extimité, comme décrit par Serge Tisseron, est le fait de vouloir exprimer des facettes personnelles de soi de manière publique((Tisseron, S. (2011). Intimité et extimité. //Communications//, 88, 83-91.[en ligne]. Paragraphe 8. https://doi.org/10.3917/commu.088.0083)). Dans ce contexte-ci, ce sont les //digital natives// qui démontrent le plus fortement ce désir en partageant des pensées ou informations personnelles en ligne. Ceci s’exprime souvent comme une identité ou personnalité en ligne différente pour l'individu ((Tisseron, S., //op. cit.//, Paragraphe 13.)). Il est possible que l’individu veuille s’exprimer de manière plus discrète, ou veuille expérimenter avec différentes facettes de soi d’une manière qui n’a pas de répercussions trop importantes ou immédiates((//Ibid//, Paragraphe 14.)). La fréquence et les motivations avec lesquelles les milléniaux ou la Génération Z font usage de ces plateformes diffère de celle des //digital immigrants//. Il est noté que certains //digital natives// utilisent les plateformes de l’Internet plus fréquemment que les //digital immigrants//. Par exemple, certains membres des générations //digital natives// dans une même pièce vont choisir d’utiliser des plateformes de réseaux sociaux pour communiquer entre eux au lieu de parler à voix haute((Jarrahi, M. H. & Eshraghi, A., //op.cit.//, p. 1056.)).
  
 **Répercussions psychologiques dues au numérique** **Répercussions psychologiques dues au numérique**
2005-h2024/gen.1710632723.txt.gz · Dernière modification : 2024/03/16 19:45 de eq31

Donate Powered by PHP Valid HTML5 Valid CSS Driven by DokuWiki