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ranx:une_mouche_en_novembre

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-//Une mouche en novembre// met en scène les personnages d'une ville imaginaire, Ludovica, illustrant les multiples possibilités de la vie. L'auteur montre « qu’une seule œuvre peut engendrer mille répercussions et autant de résonnances qui nous rappellent la puissance de sa portée» En un sens, il est possible de placer ce roman dans la catégorie « communauté », en raison du tableau qu'on y brosse de la ville de Ludovica et des relations qu'entretient son personnage principal plutôt solitaire avec ceux qui l'entoure. Pourtant, une rupture de ton ainsi qu'un brusque revirement du récit permet de placer l'oeuvre dans « événement ». En effet, une coupure survient au dernier quart du roman, lequel se concentre dès lors sur le destin et la disparition de Sybille Valmos, une fillette de six ans. Dans une atmosphère à la David Lynch, le roman délaisse alors complètement son personnage principal pour se concentrer sur les circonstances étranges entourant cette disparition, sans qu'il n'y ait de lien évident entre les deux parties : « Cassé en deux, le récit perd sa ligne à la seconde moitié du livre. On se dit que l’histoire nous amène vers une conclusion et qu’elle reliera toutes les parties, mais il n’en est rien, il n’y aura pas de raccordement. » (Extrait d'un [[http://id.erudit.org/iderudit/82098ac|compte rendu]] paru dans //Lettres québécoises//)+//Une mouche en novembre// met en scène les personnages d'une ville imaginaire, Ludovica, ainsi que les répercussions et les résonnances que peuvent avoir les gestes de ces personnages sur les uns et les autres. En un sens, il est possible de placer ce roman dans la catégorie « communauté », en raison du tableau qu'on y brosse de la ville de Ludovica et des relations qu'entretient son personnage principal plutôt solitaire avec ceux qui l'entoure. Pourtant, une rupture de ton ainsi qu'un brusque revirement du récit permet de placer l'oeuvre dans « événement ». En effet, une coupure survient au dernier quart du roman, lequel se concentre dès lors sur le destin et la disparition de Sybille Valmos, une fillette de six ans. Dans une atmosphère à la David Lynch, le roman délaisse alors complètement son personnage principal pour se concentrer sur les circonstances étranges entourant cette disparition, sans qu'il n'y ait de lien évident entre les deux parties : « Cassé en deux, le récit perd sa ligne à la seconde moitié du livre. On se dit que l’histoire nous amène vers une conclusion et qu’elle reliera toutes les parties, mais il n’en est rien, il n’y aura pas de raccordement. » (//Lettres québécoises//, n° 162 (2016), http://id.erudit.org/iderudit/82098ac)
ranx/une_mouche_en_novembre.1470668018.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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