Outils pour utilisateurs

Outils du site


ranx:riviere_mekiskan

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Prochaine révision
Révision précédente
ranx:riviere_mekiskan [2016/08/23 12:11] – créée atheriaultranx:riviere_mekiskan [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
Ligne 7: Ligne 7:
 **Justification** **Justification**
  
-À la mort de son père, Alice retourne à Rivière Mékiskan, son village natal, pour les funérailles. Ce retour aux sources est alors prétexte à une remise en question identitaire pour cette jeune métisse qui assume plutôt mal son ascendance autochtone.+À la mort de son père, Alice retourne à Rivière Mékiskan, son village natal, pour les funérailles. Ce retour aux sources est alors prétexte à une remise en question identitaire pour cette jeune métisse qui assume mal son ascendance autochtone.
  
 « Dans l'attente des obsèques, Alice découvre non seulement sa famille, mais aussi la réalité autochtone de Rivière Mékiskan, les problèmes d’alcool, la violence. Surtout, elle constate le triste mépris dont est l’objet la communauté de son père, qui fait écho à sa propre honte. Alice Awashish-Lamontagne n’utilise que le nom de sa mère et ses cheveux clairs ne témoignent en rien de son identité métisse. L’attitude des Blancs du coin envers les autochtones rappelle sa propre tendance à nier ses origines. Toutefois, la semaine qu’elle passe à Rivière Mékiskan pourrait changer les choses. En découvrant la langue de ses cousins et la débrouillardise de Lucy, elle se rapprochera tranquillement de cette part d’elle-même si longtemps niée. » (//Lettres québécoises//, n° 146 (2012), http://id.erudit.org/iderudit/66602ac) « Dans l'attente des obsèques, Alice découvre non seulement sa famille, mais aussi la réalité autochtone de Rivière Mékiskan, les problèmes d’alcool, la violence. Surtout, elle constate le triste mépris dont est l’objet la communauté de son père, qui fait écho à sa propre honte. Alice Awashish-Lamontagne n’utilise que le nom de sa mère et ses cheveux clairs ne témoignent en rien de son identité métisse. L’attitude des Blancs du coin envers les autochtones rappelle sa propre tendance à nier ses origines. Toutefois, la semaine qu’elle passe à Rivière Mékiskan pourrait changer les choses. En découvrant la langue de ses cousins et la débrouillardise de Lucy, elle se rapprochera tranquillement de cette part d’elle-même si longtemps niée. » (//Lettres québécoises//, n° 146 (2012), http://id.erudit.org/iderudit/66602ac)
ranx/riviere_mekiskan.1471968665.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

Donate Powered by PHP Valid HTML5 Valid CSS Driven by DokuWiki