Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

--- livrenum:kalces [2017/01/02 14:32] – charles
+++ livrenum:kalces [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
@@ Ligne 17: / Ligne 17: @@
  Source: Publie.net. 18 novembre 2016. « //Kalces//- de Florence Jou, Samuel Jan et Margaux Meurisse ». Article sur le site <https://www.publie.net/2016/11/18/nouveaute-kalces-de-florence-jou-samuel-jan-margaux-meurisse/>. Consulté le 2 janvier 2017.
-  * Ma description : //KALCES// est une oeuvre qui a plusieurs versions, une version papier, une version numérique (iBook) et une version web. Je vais décrire ici la version web, puisqu'il me semble la plus pertinente pour le projet. Le lecteur navigue dans l'oeuvre soit en utilisant les flèches latérales ou en choisissant une photo (parmi 14 dont deux correspondent au mot d'introduction et le mot de conclusion) dans le menu à droite de son écran. En ce sens, //KALCES// se rappelle fortement le mode de navigation de [[livrenum:et_le_monde_regarde_ailleurs|Et le monde regarde ailleurs]]. Une fois enclenchée (par la flèche ou par la sélection des images), la page contient un enregistrement sonore d'une durée variable (entre 25 secondes et près de 4 minutes) que le lecteur doit activer. Ce faisant, des symboles (points, parenthèses, guillemets, etc.) et des mots apparaissent à l'écran, ceux-ci sont lus par une voix féminine sous la forme d'une poésie sonore. Une ambiance sonore accompagne chacune des ces pages. Chaque performance débute sur un fond d'écran noir qui s'éclaircit peu à peu, pour correspondre à l'image lui étant associée dans le menu, à la fin de l'enregistrement.
+  * Ma description : //KALCES// est une oeuvre qui a plusieurs versions, une version papier, une version numérique (iBook) et une version web. Je vais décrire ici la version web, puisqu'elle me semble la plus pertinente pour le projet. Le lecteur navigue dans l'oeuvre soit en utilisant les flèches latérales ou en choisissant une photo (parmi 14, dont deux correspondent au mot d'introduction et au mot de conclusion) dans le menu à droite de son écran. En ce sens, //KALCES// rappelle fortement le mode de navigation de [[livrenum:et_le_monde_regarde_ailleurs|Et le monde regarde ailleurs]]. Une fois enclenchée (par la flèche ou par la sélection des images), la page contient un enregistrement sonore d'une durée variable (entre 25 secondes et près de 4 minutes) que le lecteur peut avancer/reculer, mettre sur pause ou reprendre. L'enregistrement sonore est intimement lié avec ce qui se passe à l'écran. En effet, à mesure qu'il déroule, des symboles (points, parenthèses, guillemets, etc.) et des mots apparaissent à l'écran, ces derniers sont lus par une voix féminine sous la forme d'une poésie sonore éclatée. Une ambiance sonore accompagne chacune de ces pages. Chaque performance débute sur un fond d'écran noir qui s'éclaircit peu à peu, pour correspondre à l'image lui étant associée dans le menu, à la fin de l'enregistrement.
-  * Commentaire:  Tel que mentionné précédemment, cette oeuvre fait écho à [[livrenum:et_le_monde_regarde_ailleurs|Et le monde regarde ailleurs]] et comporte ainsi un peu les mêmes qualités, c'est-à-dire dans sa manière originale de transmettre de la poésie en utilisant bien quelques avantages du numérique dont le son et les animations. Cependant, //KALCES// comporte aussi les mêmes faiblesses, soit le manque d'interaction avec le spectateur. Néanmoins, je considère //Et le monde regarde ailleurs// globalement mieux réussie que //KALCES// puisque ses animations étaient plus complexes et visuellement plus impressionnantes. Je met donc à //KALCES// une demi étoile de moins, car en mon sens l'ajout d'enregistrements de voix n'a pas été suffisant pour pallier au manque et à la faible complexité des animations.
+  * Commentaire: Tel que mentionné précédemment, cette oeuvre fait écho à [[livrenum:et_le_monde_regarde_ailleurs|Et le monde regarde ailleurs]] et comporte ainsi un peu les mêmes qualités, c'est-à-dire dans sa manière originale de transmettre de la poésie en utilisant bien quelques avantages du numérique dont le son et les animations. Cependant, //KALCES// comporte aussi les mêmes faiblesses, soit le manque d'interaction avec le spectateur. Néanmoins, je considère //Et le monde regarde ailleurs// globalement mieux réussie que //KALCES// puisque ses animations étaient plus complexes et visuellement plus impressionnantes. Je mets donc à //KALCES// une demi-étoile de moins, car en mon sens l'ajout d'enregistrements de voix n'a pas été suffisant pour pallier au manque et à la faible complexité des animations.