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 Simon tombe par hasard sur //Il était une fois en Amérique// de Sergio Leone à la télé. Il fait aussi référence à de la musique : il mentionne quelques interprètes québécois comme Jean Lapointe et le CD //Volodia//  de Yves Desrosiers qui « chante les chansons du poète russe Vladimir Vissotsky! » (p. 106) Simon tombe par hasard sur //Il était une fois en Amérique// de Sergio Leone à la télé. Il fait aussi référence à de la musique : il mentionne quelques interprètes québécois comme Jean Lapointe et le CD //Volodia//  de Yves Desrosiers qui « chante les chansons du poète russe Vladimir Vissotsky! » (p. 106)
 Les références les plus significatives sont les surnoms des deux supérieurs de Simon : Frankenstein et Dracula. Le premier manque cruellement d’humanité tandis que le comportement du deuxième (on apprend à la fin qu’il est le violeur) rappelle celui du célèbre vampire. Les références les plus significatives sont les surnoms des deux supérieurs de Simon : Frankenstein et Dracula. Le premier manque cruellement d’humanité tandis que le comportement du deuxième (on apprend à la fin qu’il est le violeur) rappelle celui du célèbre vampire.
-Finalement, Simon compare explicitement sa situation à celle du personnage du //Horla// de Maupassant : « Mon état d’esprit, bizarrement, me rappela un vieux conte de Maupassant, Le Horla, où le narrateur tourmenté décrit minutieusement une espèce de présence maléfique qu’il sent rôder autour de lui, sans jamais pouvoir l’identifier, et qui finira par l’emporter dans un grand feu de cris et de morts. » (p. 144)+Finalement, Simon compare explicitement sa situation à celle du personnage du //Horla// de Maupassant : « Mon état d’esprit, bizarrement, me rappela un vieux conte de Maupassant, //Le Horla//, où le narrateur tourmenté décrit minutieusement une espèce de présence maléfique qu’il sent rôder autour de lui, sans jamais pouvoir l’identifier, et qui finira par l’emporter dans un grand feu de cris et de morts. » (p. 144)
  
  
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