Les deux révisions précédentesRévision précédenteProchaine révision | Révision précédente |
fq-equipe:quebec_amerique [2014/05/25 11:50] – [1995] mariane | fq-equipe:quebec_amerique [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1 |
---|
Isabelle Guay-Deschamps, sergent-détective, est mandatée pour enquêter sur une triste histoire de bébé secoué. Alors que cette vaillante policière tente de rendre justice à un enfant dont l’avenir est hypothéqué, l’adolescence de sa propre fille, Catherine, tourne au cauchemar! Comment Isabelle a-t-elle pu laisser la situation se dégrader jusqu’au point de réaliser que Catherine lui ment, se drogue et fréquente des garçons aux mœurs douteuses ? Et comment peut-elle l’aider à sortir de cette mauvaise passe, alors qu’elle doit aussi prendre soin de ses deux jeunes garçons tout en menant ses enquêtes à terme ? Sans oublier le beau Florian Laliberté, son charmant collègue, qui lui fait de l’œil et ne la laisse pas indifférente... Brisera-t-elle son union avec le père de ses enfants, pour se lancer dans une folle histoire d’amour ? | Isabelle Guay-Deschamps, sergent-détective, est mandatée pour enquêter sur une triste histoire de bébé secoué. Alors que cette vaillante policière tente de rendre justice à un enfant dont l’avenir est hypothéqué, l’adolescence de sa propre fille, Catherine, tourne au cauchemar! Comment Isabelle a-t-elle pu laisser la situation se dégrader jusqu’au point de réaliser que Catherine lui ment, se drogue et fréquente des garçons aux mœurs douteuses ? Et comment peut-elle l’aider à sortir de cette mauvaise passe, alors qu’elle doit aussi prendre soin de ses deux jeunes garçons tout en menant ses enquêtes à terme ? Sans oublier le beau Florian Laliberté, son charmant collègue, qui lui fait de l’œil et ne la laisse pas indifférente... Brisera-t-elle son union avec le père de ses enfants, pour se lancer dans une folle histoire d’amour ? |
Au prix de quels efforts et sacrifices Isabelle parviendra-t-elle à cette fameuse conciliation travail-famille ? | Au prix de quels efforts et sacrifices Isabelle parviendra-t-elle à cette fameuse conciliation travail-famille ? |
| |
**Friesen, Bernice, //Le bestiaire des anges//, traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2011. (Roman)** | |
| |
À la suite de la mort accidentelle de sa petite sœur Dymphna en 1965, James, 11 ans, sera déraciné de son Angleterre natale et séparé de son père anglais pour suivre sa mère en Irlande, sur une magnifique terre ancestrale. Il va ainsi atterrir dans une famille bien singulière, embrigadée dans la rancune, la jalousie, la folie, la peine, où l’amour trouve parfois sa place, mais rarement la bonté. Dans cet univers baigné par la crainte du péché, surtout celui de la chair, la mère de James ne vit que pour expier ses fautes passées. Avec le temps, la colère farouche de James vis-à-vis une grand-mère tout à fait antipathique se commue peu à peu en attachement. Heureusement qu’il y a aussi l’oncle Paddy, la tendresse incarnée, pour insuffler un peu de joie dans cette nouvelle vie aride. Élevé à la dure, James sera donc appelé à se battre avec acharnement pour obtenir sa liberté de corps et d’esprit au tournant de l’âge adulte. | |
| |
**Girard, Jean Pierre et Amélie, //L’Est en West//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2011. (Roman, disponible en version PDF)** | **Girard, Jean Pierre et Amélie, //L’Est en West//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2011. (Roman, disponible en version PDF)** |
| |
La jeune sergent-détective Chloé Perreault doit résoudre une énigme jusqu’alors restée sans réponse: les ossements de Marie-Thérèse Laganière, disparue à Rivière-du-Loup 33 ans plus tôt, sont enfin découverts... tout près de Milton, sa ville natale. Mais ce n’est pas tout ! Au fond du puits où sont retrouvés les restes de Marie-Thérèse, le squelette d’un homme est également découvert...Chloé devra reprendre les recherches qui avaient été initiées dans les années 1970 et mener une enquête sur un double meurtre commis avant sa naissance. Au cours de ses interrogatoires, elle rencontrera des personnages aussi variés qu’intrigants. Mais qui, des proches de Marie-Thérèse, aurait pu en vouloir à une femme qui était tant appréciée et si talentueuse ? | La jeune sergent-détective Chloé Perreault doit résoudre une énigme jusqu’alors restée sans réponse: les ossements de Marie-Thérèse Laganière, disparue à Rivière-du-Loup 33 ans plus tôt, sont enfin découverts... tout près de Milton, sa ville natale. Mais ce n’est pas tout ! Au fond du puits où sont retrouvés les restes de Marie-Thérèse, le squelette d’un homme est également découvert...Chloé devra reprendre les recherches qui avaient été initiées dans les années 1970 et mener une enquête sur un double meurtre commis avant sa naissance. Au cours de ses interrogatoires, elle rencontrera des personnages aussi variés qu’intrigants. Mais qui, des proches de Marie-Thérèse, aurait pu en vouloir à une femme qui était tant appréciée et si talentueuse ? |
| |
**Malone, Stephens Gerard, //5 minutes de plus à Berlin//, traduction de Sylvie Nicolas, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2011. (Roman)** | |
| |
Délégué par sa famille pour prendre soin de sa grand-mère, Michael Renner quitte Halifax et trouve une occasion de renouer avec ses racines allemandes à Berlin. Dans cette ville où il tente d’avoir une vie normale, femme, enfant et travail à l’appui, Michael se trouve sans cesse confronté à une société où il ne trouve pas sa place. Frayant avec le débridé monde clandestin berlinois, Michael se lie d’affection avec Jan, un jeune prostitué vivant aux dépens de tous ceux qui s’attachent à lui. Renié par son épouse en raison des tendances qu’elle lui suppose, Michael devra partir en cavale avec Jan pour échapper au terrible sort des camps de réforme. Ensemble, ils connaîtront autant l’horreur que la grâce des moments volés à la souffrance. Sur un fond historique passionnant, Cinq minutes de plus à Berlin est une magnifique histoire d’amour et de persévérance, dans un monde où la liberté n’existe plus. | |
| |
**Marineau, Michèle, //La troisième lettre//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2011. (Roman, disponible en version PDF)** | **Marineau, Michèle, //La troisième lettre//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2011. (Roman, disponible en version PDF)** |
| |
Sommes-nous prisonniers de nos habitudes ? De nos télévisions ? De nos amours ? De nos passions ? De nos ego ? Les dessins de Roger Paré racontent l’homme et ce que sa condition l’oblige à affronter. Ils interrogent sa capacité à être vraiment libre, nous amenant du coup à nous questionner également. Avec humour, toujours. | Sommes-nous prisonniers de nos habitudes ? De nos télévisions ? De nos amours ? De nos passions ? De nos ego ? Les dessins de Roger Paré racontent l’homme et ce que sa condition l’oblige à affronter. Ils interrogent sa capacité à être vraiment libre, nous amenant du coup à nous questionner également. Avec humour, toujours. |
| |
**Rothman, Claire Holden, //La spécialiste du cœur//, traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2011. (Roman)** | |
| |
Attirée dès son plus jeune âge par la médecine, Agnes White aura fort à faire pour convaincre l’establishment de lui permettre de poursuivre ses études. Refusée à McGill, malgré l’appui financier de généreux donateurs, la jeune femme réussira tout de même à obtenir son diplôme dans une autre université. Ironie du sort, c’est tout de même à McGill, là où son père a jadis enseigné, que sa carrière prendra son envol lorsqu’elle sera nommée curatrice du musée des spécimens rattaché à la faculté de médecine. Parmi les spécimens inventoriés, il y aura un cœur présentant des anomalies particulières, mais qui, en même temps, lui fournit des indices sur le travail de son père, qu’elle cherche désespérément à retracer. Cependant, les connaissances scientifiques d’Agnes à propos des maladies cardiovasculaires congénitales ne la mettent pas à l’abri des blessures du cœur. | |
| |
**Vaillancourt, Claude, //L’Inconnue//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2011. (Roman, disponible en version PDF)** | **Vaillancourt, Claude, //L’Inconnue//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2011. (Roman, disponible en version PDF)** |
| |
Une écrivaine s'arrête dans un coin de pays tranquille, ailleurs dans le monde, avec l'intention d'écrire une histoire d'amour. Elle vient à peine de rencontrer ses personnages que le jardin où les amoureux se sont donnés rendez-vous est la cible d'un attentat. À l'instar du touriste qui fuit un pays en guerre, l'écrivaine s'empresse de quitter les lieux. Une fois le calme revenu, elle part en quête des personnages laissés derrière elle. Entraînés par la guerre dans des camps ennemis, ceux-ci n'ont que faire d'une écrivaine en mal de réconciliation. À un rescapé pour qui « les belles phrases » ne pèsent pour rien au regard de ses souffrances, elle dira : « Je n'écris pas ce que je veux, j'écris seulement ce que je peux et je peux si peu. » | Une écrivaine s'arrête dans un coin de pays tranquille, ailleurs dans le monde, avec l'intention d'écrire une histoire d'amour. Elle vient à peine de rencontrer ses personnages que le jardin où les amoureux se sont donnés rendez-vous est la cible d'un attentat. À l'instar du touriste qui fuit un pays en guerre, l'écrivaine s'empresse de quitter les lieux. Une fois le calme revenu, elle part en quête des personnages laissés derrière elle. Entraînés par la guerre dans des camps ennemis, ceux-ci n'ont que faire d'une écrivaine en mal de réconciliation. À un rescapé pour qui « les belles phrases » ne pèsent pour rien au regard de ses souffrances, elle dira : « Je n'écris pas ce que je veux, j'écris seulement ce que je peux et je peux si peu. » |
| |
**Hynes, Joel Thomas, //Lundi sans faute//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2009. (Roman)** | |
| |
Pour Clayton Reid, «deux tiers ti-gars et un tiers homme», tout est toujours prétexte à prendre un dernier verre. Oscillant entre le fond du baril et la montée vertigineuse gracieuseté de la dope, notre homme incarne parfaitement les forces contradictoires à l’oeuvre chez tout être humain. Voyez le tableau : batailleur et battant, tiraillé entre l’amour et l’indépendance, ambitieux et velléitaire, voulant s’élever au-dessus de la mêlée mais plongeant dans le chaos à la moindre occasion. Pas facile de suivre un tel individu. Et quand en plus on vit dans l’ombre du grand Valentine Reid, oncle vedette de rock aux cartilages abîmés, les occasions de sombrer ne manquent pas. Seule la jolie Isadora semble exercer quelque influence positive sur lui dans ce portrait d’un St-John, Terre-Neuve, désoeuvré. Car comment ne pas être paumé quand les perspectives d’avenir sont quasi nulles ? | |
| |
**Jacques, André, //La commanderie. Une aventure d’Alexandre Jobin//, tome II, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2009. (Roman)** | **Jacques, André, //La commanderie. Une aventure d’Alexandre Jobin//, tome II, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2009. (Roman)** |
Malcolm Walker passe son enfance successivement dans une crèche, un orphelinat, un foyer d’accueil et une école de réforme avant d’être repris par sa mère quand elle en a les moyens financiers. Boucher de profession, Malcolm collectionne les conquêtes féminines grâce à un étrange magnétisme. Celle qui fut sa «dernière flamme» retourne donc sur les lieux où il a vécu, ou ce qu’il en reste. Elle revoit les personnes qui l’ont marqué (mère, épouse, amoureuses, amis, etc.) et se donne une mission à laquelle même le défunt se sera refusé : retrouver son vrai père, censé vivre à Liverpool. | Malcolm Walker passe son enfance successivement dans une crèche, un orphelinat, un foyer d’accueil et une école de réforme avant d’être repris par sa mère quand elle en a les moyens financiers. Boucher de profession, Malcolm collectionne les conquêtes féminines grâce à un étrange magnétisme. Celle qui fut sa «dernière flamme» retourne donc sur les lieux où il a vécu, ou ce qu’il en reste. Elle revoit les personnes qui l’ont marqué (mère, épouse, amoureuses, amis, etc.) et se donne une mission à laquelle même le défunt se sera refusé : retrouver son vrai père, censé vivre à Liverpool. |
| |
**Whittall, Zoe, //Cœurs Molotov//, traduction de Sylvie Nicolas, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2009. (Roman)** | |
| |
Eve a 18 ans et elle ne rêve que d'une chose : quitter papa, maman, le West Island et sa petite vie de banlieue pour enfin se retrouver à Montréal, dans son appartement et surtout dans les bras de Della, la souverainiste, celle que sa mère désigne froidement comme étant « cette femme-là ». Elle pourra aussi laisser traîner sa vaisselle si ça lui chante, manger des tourtières au tofu congelées, changer de couleurs de cheveux au gré de ses humeurs, et, à travers tout ça, suivre des cours en arts visuels à Concordia. | |
| |
Nous sommes en 1995. Sur fond de campagne référendaire, d'engagement communautaire et de questionnements culturels, Eve fera le difficile passage à l'âge adulte avec ce que cela comporte de rêves poursuivis et d'illusions perdues. En compagnie de Seven et de Rachel, ses colocs de la rue de l'Esplanade, elle connaîtra les vicissitudes d'une relation amoureuse en dents de scie basée sur la non-exclusivité. | |
| |
==== 2008 ==== | ==== 2008 ==== |
| |
Dans la nuit tiède de l'Orient, un vieil homme murmure à sa femme mourante, plongée dans l'inconscience, des paroles sur le temps qui passe, le doute, l'amitié, la douleur, les enfants, le hasard, l'amour. Un singulier dialogue à une voix s'établit là, dans le halo d'une lampe, où se traduisent tout à la fois un extraordinaire sentiment de vivre et l'infinie tristesse des destins qui s'achèvent. Cet homme, on le déduira bientôt, s'appelle Jésus de Nazareth. Survivant à la croix romaine, il a vécu pendant plus de cinquante années auprès de Marthe, la sœur de son meilleur ami, Lazare de Béthanie. Jusqu'à cette nuit ultime, il n'avait guère parlé de lui-même, des événements l'ayant conduit au supplice, de la pensée foudroyante qui l'avait fait, à trente-trois ans, se détourner de Dieu. Mais l'heure n'est plus au silence ou, plutôt, l'heure est venue d'opposer au silence de la mort une parole serrant de près cette vie qui s'enfuit. | Dans la nuit tiède de l'Orient, un vieil homme murmure à sa femme mourante, plongée dans l'inconscience, des paroles sur le temps qui passe, le doute, l'amitié, la douleur, les enfants, le hasard, l'amour. Un singulier dialogue à une voix s'établit là, dans le halo d'une lampe, où se traduisent tout à la fois un extraordinaire sentiment de vivre et l'infinie tristesse des destins qui s'achèvent. Cet homme, on le déduira bientôt, s'appelle Jésus de Nazareth. Survivant à la croix romaine, il a vécu pendant plus de cinquante années auprès de Marthe, la sœur de son meilleur ami, Lazare de Béthanie. Jusqu'à cette nuit ultime, il n'avait guère parlé de lui-même, des événements l'ayant conduit au supplice, de la pensée foudroyante qui l'avait fait, à trente-trois ans, se détourner de Dieu. Mais l'heure n'est plus au silence ou, plutôt, l'heure est venue d'opposer au silence de la mort une parole serrant de près cette vie qui s'enfuit. |
| |
**Béchard, D. Y., //Vandal love ou Perdus en Amérique//, traduit par Sylvie Nicolas, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2008. Réédition coll. « Format Compact », 2009. (Roman)** | |
| |
Récit multigénérationnel, //Vandal Love ou Perdus en Amérique// s'ouvre sur la figure du patriarche gaspésien Hervé Hervé, dont la famille a cette particularité d'engendrer tour à tour des géants et des nains ; les premiers, pour des raisons évidentes, ayant la préférence des parents. La trame s'articule principalement autour de la figure de Jude, petit-fils géant de Hervé Hervé et jumeau d'Isa-Marie, une naine maladive. Si le Livre un s'attarde au destin de Jude ainsi qu'à la destinée de la « branche géante » de la famille, le Livre deux, lui, est consacré à l'autre voie familiale, non moins souffrante mais davantage spirituelle des nains. La toute fin nous réservant une étonnante réconciliation de ces deux faces génétiques… d'une même longue lignée de Gaspésiens perdus en Amérique! Une histoire d'errance fascinante où l'amour, quoique sincère, laisse souvent entrevoir un côté sombre et destructeur. | |
| |
**Bilodeau, Josée, //On aurait dit juillet//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2008. (Roman, disponible en version PDF)** | **Bilodeau, Josée, //On aurait dit juillet//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2008. (Roman, disponible en version PDF)** |
Justine est Québécoise, Miguel est Salvadorien et ils sont amoureux. Elle est insomniaque, pense trop et s'en fait pour des riens. Seuls son humour et son sens aigu de l'autodérision l'empêchent de sombrer. Lui est plein d'une assurance tranquille, prend la vie à la légère, comme elle se présente, comme il se doit. Ils vivent à Montréal, où Miguel a immigré pour échapper à la guerre. Ils sont donc sur son territoire à elle. Pourtant, au sein de ce couple, c'est probablement Justine la plus déracinée et la moins bien adaptée des deux... De Montréal à San Salvador, en passant par La Havane et le nord de la France, on suit donc Miguel et Justine dans leur exil respectif, dans leur quête de repères et d'enracinement mais, surtout, dans leur grande histoire d'amour. | Justine est Québécoise, Miguel est Salvadorien et ils sont amoureux. Elle est insomniaque, pense trop et s'en fait pour des riens. Seuls son humour et son sens aigu de l'autodérision l'empêchent de sombrer. Lui est plein d'une assurance tranquille, prend la vie à la légère, comme elle se présente, comme il se doit. Ils vivent à Montréal, où Miguel a immigré pour échapper à la guerre. Ils sont donc sur son territoire à elle. Pourtant, au sein de ce couple, c'est probablement Justine la plus déracinée et la moins bien adaptée des deux... De Montréal à San Salvador, en passant par La Havane et le nord de la France, on suit donc Miguel et Justine dans leur exil respectif, dans leur quête de repères et d'enracinement mais, surtout, dans leur grande histoire d'amour. |
| |
**Demers, Dominique, **La grande quête de Jacob Jobin, tome I. L’élu**, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2008. (Roman)** | **Demers, Dominique, //La grande quête de Jacob Jobin, tome I. L’élu//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2008. (Roman)** |
| |
Depuis le décès tragique de son frère, Jacob Jobin est en colère contre le monde entier. En plus, le sort semble s'acharner sur lui! | Depuis le décès tragique de son frère, Jacob Jobin est en colère contre le monde entier. En plus, le sort semble s'acharner sur lui! |
| |
Irma LeVasseur est la fondatrice de l'Hôpital Sainte-Justine et de l'Hôpital de l'Enfant-Jésus. Mais, au-delà, elle est surtout une femme, la première femme médecin à avoir exercé au pays. Des bâtons dans les roues, on lui en a mis. Celle qui a dû s'expatrier aux États-Unis et en Europe pour étudier la médecine, qui a eu à composer avec la méfiance et la mauvaise foi des dirigeants du Collège des médecins, et à combattre l'incompréhension de la société en général face à ses désirs de connaissance, aura finalement, au prix de sa vie personnelle, réussi à atteindre ses objectifs. Du moins, les plus importants. À travers l'histoire de cette petite fille de Saint-Roch de Québec, c'est à la lutte de toutes les femmes que nous assistons. Une lutte à finir avec l'iniquité. | Irma LeVasseur est la fondatrice de l'Hôpital Sainte-Justine et de l'Hôpital de l'Enfant-Jésus. Mais, au-delà, elle est surtout une femme, la première femme médecin à avoir exercé au pays. Des bâtons dans les roues, on lui en a mis. Celle qui a dû s'expatrier aux États-Unis et en Europe pour étudier la médecine, qui a eu à composer avec la méfiance et la mauvaise foi des dirigeants du Collège des médecins, et à combattre l'incompréhension de la société en général face à ses désirs de connaissance, aura finalement, au prix de sa vie personnelle, réussi à atteindre ses objectifs. Du moins, les plus importants. À travers l'histoire de cette petite fille de Saint-Roch de Québec, c'est à la lutte de toutes les femmes que nous assistons. Une lutte à finir avec l'iniquité. |
| |
**Hynes, Joël Thomas, //La Neuvième personne du singulier//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2006. (Roman)** | |
| |
Keith Kavanagh a l'insouciance de la jeunesse, l'impétuosité de l'aventurier, le romantisme à fleur de peau, la colère en bandoulière, la peur au ventre et le désir de vivre tatoué en lettres de feu. Projeté dans la vie, comme d'autres le sont dans le vide, il boit, il fume, il se dope et il est, à 13 ans, l'amant d'une femme qui a deux fois son âge. Même saoul, il séduit et cela tient à sa singularité, à ce petit quelque chose d'imperceptible qui n'échappe pas à Andy, son meilleur ami, et à Natasha, son amie de cœur, qui ont bien compris la nécessité qu'il a d'être aimé envers et contre tout. Envers et contre lui-même en tout premier lieu. Il est l'ami, le voisin, le cousin, le frère qui a marqué notre vie. Il est celui que l'on ne peut pas oublier. | |
| |
**Létourneau, Sophie, //Polaroïds//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2006. (Récits)** | **Létourneau, Sophie, //Polaroïds//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2006. (Récits)** |
| |
Sous le tutorat d’Esquieu, la jeune Auralie apprend tout ce qu’il y a à savoir sur la médecine mais, pour exercer la profession au grand jour, il lui faut les diplômes nécessaires. Voilà comment les ennuis commencent pour elle. Bien des obstacles se posent sur son chemin. Il y aura la jalousie des uns et la défense obstinée des principes en vogue à cette époque chez les autres. Bousculer les conventions dérange et c’est pourquoi elle devra même éventer un complot d’assassinat fomenté contre elle. Heureusement que son amour du métier sera soutenu par l’amour de Thibault. | Sous le tutorat d’Esquieu, la jeune Auralie apprend tout ce qu’il y a à savoir sur la médecine mais, pour exercer la profession au grand jour, il lui faut les diplômes nécessaires. Voilà comment les ennuis commencent pour elle. Bien des obstacles se posent sur son chemin. Il y aura la jalousie des uns et la défense obstinée des principes en vogue à cette époque chez les autres. Bousculer les conventions dérange et c’est pourquoi elle devra même éventer un complot d’assassinat fomenté contre elle. Heureusement que son amour du métier sera soutenu par l’amour de Thibault. |
| |
**Shields, Carol, //Au moment même//, traduit de l’anglais pas Lori Saint-Martin et Paul Gagné, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2005. (Roman)** | |
| |
Rompant avec leurs habitudes, Jack et Brenda Bowman, mariés depuis longtemps, passent quelques jours chacun de son côté. À la maison, Jack, qui doute de sa valeur en tant qu'homme et historien, se mesure à des crises domestiques et à deux adolescents un peu frustes. Voyageant seule pour la première fois, Brenda, en proie à une foule d'émotions dans une ville étrangère, envisage d'être infidèle. | |
| |
**Thériault, Joseph Yvon, //Critique de l’américanité. Mémoire et démocratie au Québec//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2005. (Essai, réflexion)** | **Thériault, Joseph Yvon, //Critique de l’américanité. Mémoire et démocratie au Québec//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2005. (Essai, réflexion)** |
| |
L'antiquaire Alexandre Jobin, officier retraité de l'armée canadienne, est appelé à reprendre du service dans une bien curieuse affaire. D'abord engagé par une vieille et riche héritière pour faire évaluer des huiles et des aquarelles de peintres postimpressionnistes, il se retrouve bien malgré lui investi d'une seconde et plus périlleuse mission: retracer, en Europe, le parcours de la petite-fille de sa richissime commanditaire mystérieusement disparue. De Montréal à Paris, de la Haute-Provence à la Savoie, cette enquête entraîne notre héros dans une série d'aventures où se mêlent les milieux de l'art, les sectes ésotériques, les trafiquants d'images pornographiques, les partis politiques d'extrême droite et la mafia russe. La double mission qui au début s’annonçait comme un séjour touristique en France prend alors les allures d’une poursuite déchaînée. | L'antiquaire Alexandre Jobin, officier retraité de l'armée canadienne, est appelé à reprendre du service dans une bien curieuse affaire. D'abord engagé par une vieille et riche héritière pour faire évaluer des huiles et des aquarelles de peintres postimpressionnistes, il se retrouve bien malgré lui investi d'une seconde et plus périlleuse mission: retracer, en Europe, le parcours de la petite-fille de sa richissime commanditaire mystérieusement disparue. De Montréal à Paris, de la Haute-Provence à la Savoie, cette enquête entraîne notre héros dans une série d'aventures où se mêlent les milieux de l'art, les sectes ésotériques, les trafiquants d'images pornographiques, les partis politiques d'extrême droite et la mafia russe. La double mission qui au début s’annonçait comme un séjour touristique en France prend alors les allures d’une poursuite déchaînée. |
| |
**Laberge, Aimée, //Les femmes du fleuve//, traduit de l’anglais par Paul Gagné et Lori Saint-Martin, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2004. (Roman)** | |
| |
Amenée à faire des recherches sur les débuts de la colonisation en Nouvelle-France, Lucie Des Ruisseaux, Québécoise exilée à Londres, en vient à s’intéresser à l’histoire de sa propre famille. Elle remonte ainsi jusqu’à l’énigmatique figure de l’arrière-grand-père Antonio Tremblay, coureur des bois de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. En marge de l’histoire officielle écrite par des hommes et à propos des hommes, elle apprendra ainsi à découvrir la vie de plusieurs générations de femmes, de celles qui ont échappé aux livres d’histoire mais qui ont façonné le paysage québécois à leur façon, et ce, des origines épiques jusqu’à son éclatante modernité. Chassé-croisé entre le passé et le présent, ce roman historique et familial aurait très bien pu s’appeler, à l’instar de notre devise, Je me souviens. | |
| |
**Lachance, Micheline, //Lady Cartier//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2004. (Roman)** | **Lachance, Micheline, //Lady Cartier//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2004. (Roman)** |
| |
À 40 ans et sans avenir, Charles Wilson retourne sur les lieux de son enfance dans la petite localité de Trempes. Ainsi s’amorce pour lui un formidable retour en arrière où les secrets les mieux enfouis refont surface. Exhumer le passé n’est pas chose facile. Les souvenirs pourraient se trouver altérés du simple fait que les acteurs d’autrefois ne soient pas au rendez-vous. Qu’est-il advenu de Paul Faber et d’Anna Dickson, les amis d’enfance? Et Joseph Lahaie, l’empailleur chez qui Charles trouve refuge, pourra-t-il percer le mystère vieux de 25 ans? | À 40 ans et sans avenir, Charles Wilson retourne sur les lieux de son enfance dans la petite localité de Trempes. Ainsi s’amorce pour lui un formidable retour en arrière où les secrets les mieux enfouis refont surface. Exhumer le passé n’est pas chose facile. Les souvenirs pourraient se trouver altérés du simple fait que les acteurs d’autrefois ne soient pas au rendez-vous. Qu’est-il advenu de Paul Faber et d’Anna Dickson, les amis d’enfance? Et Joseph Lahaie, l’empailleur chez qui Charles trouve refuge, pourra-t-il percer le mystère vieux de 25 ans? |
| |
**Urbanyi, Pablo, //La vérité de Pinocchio//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2004. (Roman)** | |
| |
- | |
| |
**Vachon, Hélène, //Singuliers voyageurs//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2004. (Roman)** | **Vachon, Hélène, //Singuliers voyageurs//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2004. (Roman)** |
Du jour au lendemain, Berthold, alias Berti, quitte tout (compagne et domicile) et décide de partir à la conquête… de lui-même. Sentant qu'il n'occupe pas la place qui devrait être la sienne, il amorce un périple intérieur qui l'amène à revoir ses propres repères. Qui est-il ? Il ne le sait pas trop. Cependant, il sait bien ce qu'il n'est pas et ce que l'on voudrait qu'il soit. Il aime, ça oui, mais il ne peut admettre le mensonge. Son mensonge : sa vie. Car il n'y a pas pire lâcheté que la lâcheté du cœur qui refuse de voir, de considérer le monde sans détour, dans sa folie et dans sa laideur. Par le biais de lettres qu'il écrit à son amoureuse sur une période d'un an, Berti tente de faire le point. Pour mieux saisir ses états d'âme, il présente une des seules références qu'il possède, un personnage du livre Tarass Boulba de Nicolas Gogol auquel il s'identifie. Écrivain, apatride, solitaire, Berti souhaite dénouer les liens qui l’attachent au monde, à la vie, à l’amour et de dire le sentiment profond qu’il a d’être un échec humain. | Du jour au lendemain, Berthold, alias Berti, quitte tout (compagne et domicile) et décide de partir à la conquête… de lui-même. Sentant qu'il n'occupe pas la place qui devrait être la sienne, il amorce un périple intérieur qui l'amène à revoir ses propres repères. Qui est-il ? Il ne le sait pas trop. Cependant, il sait bien ce qu'il n'est pas et ce que l'on voudrait qu'il soit. Il aime, ça oui, mais il ne peut admettre le mensonge. Son mensonge : sa vie. Car il n'y a pas pire lâcheté que la lâcheté du cœur qui refuse de voir, de considérer le monde sans détour, dans sa folie et dans sa laideur. Par le biais de lettres qu'il écrit à son amoureuse sur une période d'un an, Berti tente de faire le point. Pour mieux saisir ses états d'âme, il présente une des seules références qu'il possède, un personnage du livre Tarass Boulba de Nicolas Gogol auquel il s'identifie. Écrivain, apatride, solitaire, Berti souhaite dénouer les liens qui l’attachent au monde, à la vie, à l’amour et de dire le sentiment profond qu’il a d’être un échec humain. |
| |
Rouy, Maryse, //Au nom de Compostelle//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2003. Réédition coll. « Format Compact », 2011. (Roman) | **Rouy, Maryse, //Au nom de Compostelle//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 2003. Réédition coll. « Format Compact », 2011. (Roman)** |
| |
Pour se rendre à Saint-Jacques-de-Compostelle, les pèlerins, que l'on appelle jacquaires, suivent une des multiples routes de pèlerinage jalonnées de monastères aménagés pour les accueillir. Au début de l'été 1240, une caravane de jacquaires part de Montpellier. Parmi eux se sont glissés deux cathares. Émissaires de Trencavel, le vicomte banni de Carcassonne, ils sont chargés d'avertir ses fidèles qu'il va lancer une campagne de reconquête avant les vendanges. Dès la première étape, par une nuit de pleine lune, un jacquaire périt de mort violente. Son cadavre porte des traces de griffes et de dents. Qui l'a tué ? Un compagnon de route ou un de ces loups-garous dont tout le monde parle ? Chez les pèlerins, qui ont presque tous quelque chose à cacher, un climat de peur s'installe : peur de la malédiction qui semble peser sur la caravane, peur aussi de l'Inquisition qui mène l'enquête. | Pour se rendre à Saint-Jacques-de-Compostelle, les pèlerins, que l'on appelle jacquaires, suivent une des multiples routes de pèlerinage jalonnées de monastères aménagés pour les accueillir. Au début de l'été 1240, une caravane de jacquaires part de Montpellier. Parmi eux se sont glissés deux cathares. Émissaires de Trencavel, le vicomte banni de Carcassonne, ils sont chargés d'avertir ses fidèles qu'il va lancer une campagne de reconquête avant les vendanges. Dès la première étape, par une nuit de pleine lune, un jacquaire périt de mort violente. Son cadavre porte des traces de griffes et de dents. Qui l'a tué ? Un compagnon de route ou un de ces loups-garous dont tout le monde parle ? Chez les pèlerins, qui ont presque tous quelque chose à cacher, un climat de peur s'installe : peur de la malédiction qui semble peser sur la caravane, peur aussi de l'Inquisition qui mène l'enquête. |
| |
Flemmar Lheureux, professeur médiocre et mari lamentable, est aux prises avec un problème majeur : il se consacre depuis un an à l’écriture d’un roman dont il n’a pas réussi à pondre une seule ligne! L'obsession de l'écriture est telle chez lui qu'aucune stratégie n’est négligée pour l'aider à réaliser son projet : lecture des grands écrivains, rituel préparatoire, visites chez l'oncle alcoolique et philosophe. Rien n'y fait. Quand ce n'est pas l'inspiration qui fait défaut, ce sont les éléments extérieurs qui finissent par disparaître mystérieusement, perturbant ses efforts. Même un collègue professeur lui dame le pion et publie un ouvrage encensé par la critique. Flemmar se serait-il trompé de destin? | Flemmar Lheureux, professeur médiocre et mari lamentable, est aux prises avec un problème majeur : il se consacre depuis un an à l’écriture d’un roman dont il n’a pas réussi à pondre une seule ligne! L'obsession de l'écriture est telle chez lui qu'aucune stratégie n’est négligée pour l'aider à réaliser son projet : lecture des grands écrivains, rituel préparatoire, visites chez l'oncle alcoolique et philosophe. Rien n'y fait. Quand ce n'est pas l'inspiration qui fait défaut, ce sont les éléments extérieurs qui finissent par disparaître mystérieusement, perturbant ses efforts. Même un collègue professeur lui dame le pion et publie un ouvrage encensé par la critique. Flemmar se serait-il trompé de destin? |
| |
**Montgomery, Lucy Maud, //Anne… la Maison aux pignons verts//, tomes I à VII, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 2001-2009.** | |
| |
- | |
| |
**Portal, Louise, //L’enchantée//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2001. (Roman)** | **Portal, Louise, //L’enchantée//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 2001. (Roman)** |
| |
**Jobin, François, //La deuxième vie de Louis Thibert//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 1996. (Roman)** | **Jobin, François, //La deuxième vie de Louis Thibert//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Littérature d’Amérique », 1996. (Roman)** |
| |
- | |
| |
**Kay, Guy Gabriel, //La tapisserie de Flonavar//, traduit de l’anglais par Élisabeth Vonarburg, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Format Compact », 1996. (Roman)** | |
| |
- | - |
Autour de deux personnages qui ont profondément marqué leur époque, Guillaume IX d’Aquitaine, le premier troubadour, et Robert d’Arbrissel, le fondateur de Fontevraud, l’auteure a recréé, dans ses moindres détails, et pour notre plus grand plaisir, la vie de cour du XIIe siècle. Sur fond de poésie courtoise, dans un cadre historique savamment reconstitué, elle a campé une héroïne imaginaire qui nous introduit dans un monde de femmes : celui de la noblesse médiévale. À l’histoire d’Azalaïs, s’ajoutent celles de Philippa, de Mahaut, de Bieris… autant de façons de chercher le bonheur et une reconnaissance sociale dans un monde largement dominé par les valeurs masculines. | Autour de deux personnages qui ont profondément marqué leur époque, Guillaume IX d’Aquitaine, le premier troubadour, et Robert d’Arbrissel, le fondateur de Fontevraud, l’auteure a recréé, dans ses moindres détails, et pour notre plus grand plaisir, la vie de cour du XIIe siècle. Sur fond de poésie courtoise, dans un cadre historique savamment reconstitué, elle a campé une héroïne imaginaire qui nous introduit dans un monde de femmes : celui de la noblesse médiévale. À l’histoire d’Azalaïs, s’ajoutent celles de Philippa, de Mahaut, de Bieris… autant de façons de chercher le bonheur et une reconnaissance sociale dans un monde largement dominé par les valeurs masculines. |
| |
**Symons, Scott, //Marrakech//, Montréal, Québec/Amérique, coll. « Tous continents », 1996. (Roman)** | |
| |
- | |
| |
==== 1995 ==== | ==== 1995 ==== |