Textes étudiés :

• « Le culture club du Devoir », intitulé « Documents », section « Chroniques », Liberté, no 156, décembre 1984, p. 113-119 ;
• « Il ne faut pas prendre les travestis pour des lanternes », intitulé « Roman québécois », section « Chroniques », no 159, juin 1985, p. 96-100 ;
• « Aquin, un suicide qu’on n’a pas fini d’autopsier », intitulé « Littérature québécoise », section « Chroniques », no 161, octobre 1985, p. 175-180.

Nom du critique : Mario Pelletier

Statut institutionnel du critique : Ancien directeur des pages culturelles du Devoir.

Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) : Chroniques et textes sur des questions d’actualité dans la littérature québécoise.

Place des textes dans l’économie globale de la revue : Variable, voir plus haut.

Événements littéraires québécois mentionnés : Réception critique enthousiaste de Des nouvelles d’Édouard de Michel Tremblay.

Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Ton critique, point de vue généraliste (par opposition à la spécialisation universitaire).

Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Aucunes.

Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : La Grosse femme d’à côté est enceinte et À toi pour toujours, ta Marie-Lou de Michel Tremblay; l’œuvre d’Hubert Aquin.

Valorisation de lieux éditoriaux : Se plaint de la diminution des ressources allouées à la culture et à la réflexion politique au Devoir, qui ne serait plus le « rassembleur d’intelligences et de talents » qu’il a déjà été.

Valorisation d’événements littéraires : Non.

Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Juge exagéré le joual que transcrit Tremblay. Considère les publications d’Aquin encore mal comprises, mais destinées à la postérité.

Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns.

Autres remarques : Aucunes.

Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard