Textes étudiés : « Liberté et le peuple », section « Pour non-liseurs », Liberté, no 157, février 1985, p. 187-188.

Nom des critiques : Jean Larose et François Ricard

Statut institutionnel du critique : (v. fiches individuelles)

Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) : Un seul texte.

Genre du texte : Texte d’opinion satirique.

Place du texte dans l’économie globale de la revue : La section « Pour non-liseurs » est faite de courts textes et clôt la revue.

Événements littéraires québécois mentionnés : Aucuns.

Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Ton grinçant, ironique. Posture d’observateur informé, qui va à contre-courant.

Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Aucunes.

Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Non.

Valorisation de lieux éditoriaux : Non.

Valorisation d’événements littéraires : Ironisent sur les critiques de Jacques Saint-Denis et d’autres chercheurs (noms inventés), qui voient en Liberté une revue élitiste parce qu’elle critique la télé et les téléromans.

Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Non.

Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns.

Autres remarques : Aucunes.

Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard