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Bibliographie d’ouvrages québécois (Chapitre « écriture du passé »)

ARCHAMBAULT, Gilles, Un après-midi de septembre, Montréal, Boréal, 1993.

BEAUCHEMIN, Jean-François, Le jour des corneilles, Montréal, Les Allusifs, 2004.

BEAULIEU, Victor-Lévy, Monsieur Melville, Montréal, VLB, 1978.

BEAULIEU, Victor-Lévy, James Joyce, l’Irlande, le Québec, les mots, Notre-Dame-des-Neiges, Éditions Trois-Pistoles, 2006.

BISMUTH, Nadine, Scrapbook, Montréal, Boréal, 2006.

BLAIS, Marie-Claire, Soifs, Montréal, Boréal, 1997 (question du présent inquiet – sentiment de catastrophe imminente)

BOULANGER, Patrick, Les restes de Muriel, Montréal, Triptyque, 2007.

CHASSAY, Jean-François, Les taches solaires, Montréal, Boréal, 2006.* [fiche]

CHEN, Ying, La mémoire de l’eau, Montréal, Leméac, 1992.

CHEN, Ying, Le champ dans la mer, Montréal/Paris, Boréal/Seuil, 2002. [fiche]

DAVIAU, Diane-Monique, Ma mère et Gainsbourg, Québec, L’instant Même, 1999.

DICKNER, Nicolas, Nikolski, Québec, Alto, 2007.

DIONNE, Germaine, Le fils de Jimi, Montréal, Boréal, 2002.

DUPONT, Éric, Bestiaire, Montréal, Marchand de feuilles, 2009.

GOSSELIN, Yves, Discours de réception, 2003.

HAMELIN, Louis, Le joueur de flûte, Montréal, Boréal, 2006.

HAMELIN, Louis, La constellation du lynx, Montréal, Boréal, 2010.

JACOB, Suzanne, Rouge, mère et fils, Paris, Seuil, 2001.

JACOB, Suzanne, Fugueuses, Montréal, Boréal, 2005.

LALONDE, Robert, Des nouvelles d’amis très chers, Boréal, 1999. (histoires écrites « sous influence » d’autres écrivains) [fiche]

LECLERC, Rachel, La patience des fantômes, Montréal, Boréal, 2011

LEUZY, Thierry, Thure, Montréal, Éditions de la Bagnole, 2011.

MAGINI, Roger, Revoir Nevers, Montréal, La Pleine Lune, 2006.

MARCEL, Jean, Le triptyque des temps perdus

MAVRIKAKIS, Catherine, Ça va aller, Montréal, Leméac, 2002. [fiche]

MAVRIKAKIS, Catherine, Le ciel de Bay city, Montréal, Leméac, 2002.

MORISSETTE, Micheline, Arthur Buies, chevalier errant

OUELLETTE-MICHALSKA, Madeleine, La maison Trestler ou le 8e jour d’Amérique, Montréal, Québec Amérique, 1984.

POUPART, Jean-Marie, Bon à tirer, Montréal, Boréal, 1993. Œuvre qui met en scène des écrivains fictifs (roman à clefs?)

RACINE, Rober, Le mal de Vienne, Montréal, l’Hexagone, 1992.

ROBIN, Régine, L’immense fatigue des pierres. Biofiction, Montréal, XYZ, 1999 [1996?].

TURCOTTE, Élise, Pourquoi faire une maison avec ses morts, Montréal, Leméac, 2007.

*TURGEON, Pierre, Le bateau d’Hitler.

Tires non retenus :

CHASSAY, Jean-François, L’angle mort, Montréal, Boréal, 2002.

DESJARDINS, Martine, Maleficium, Québec, Alto, 2009. [non pertinent]

*DUCHARME, Réjean, Va savoir, Paris, Gallimard, 1994.

LAFERRIÈRE, Dany= œuvre autobiographique

LALONDE, Robert, Le fou du père, Montréal, Boréal, 1988. (récit racontant la tentative de réconciliation d’un fils auprès d’un père demeuré silencieux depuis des années)

SINGH, Mô, Crève maman!, Montréal, XYZ, 2006. (récit de filiation, refus de l’héritage, etc. = Fortier (2007 : 127-128)

SOUCY, Gaétan, La petite fille qui aimait trop les allumettes, Montréal, Boréal, 1998.

Les notes générales

D’emblée, j’ai l’impression que, au Québec, on trouvera des fictions qui mettent en scène ou problématisent la question de l’histoire, de l’héritage et de la filiation, mais peu de récits de filiation comme tel, de récits biographiques ou autobiographiques.

Biron : « L’individu d’aujourd’hui semble si peu sûr du lien social et de son origine qu’il tente de tout reconstruire et de se refaire une généalogie. » (2005 : 145-146.)

Dans la partie « Les fictions de soi » du collectif Histoire de la littérature québécoise : « Les récits autofictionnels explorent volontiers la question de la filiation, familiale aussi bien qu’artistique, souvent dans l’inquiétude et le trouble, car il n’y a plus de filiations assurées, comme l’écrit Régine Robin dans Le Golem de l’écriture. De l’autofiction au cybersoi (1997). » (624)

Les notes sur les œuvres et sur les auteurs

Victor Lévy Beaulieu : Son œuvre biographique, unique au Québec, mérite évidemment une place de choix dans l’analyse. Mais sans doute vaut-il la peine de souligner, comme le fait Biron (2009), qu’il s’agit d’un cas exceptionnel au Québec.

Nadine Bismuth : Scrapbook est une sorte d’autofiction qui, se passant dans le milieu littéraire montréalais, met en scène des personnages réels. Sorte de roman à clés. Sans doute pas pertinent pour la question qui nous intéresse spécifiquement ici, mais intéressants tout de même pour nos divers projets.

Patrick Boulanger : Roman Les restes de Muriel, intertextualité avec Beauté baroque de Claude Gauvreau (1966) « Métafiction critique, sans doute, mais constamment déportée vers des enjeux contemporains, qui déroule en parallèle une histoire inextricablement enchevêtrée à celle de Gauvreau. » (Fortier, 2007 : 129)

Jean-François Chassay : Dans L’Angle mort : « Les références littéraires fourmillent. » Le roman « fait se croiser des personnages qui passent leur temps à raconter l’histoire de leur vie. Ce roman à multiples contraintes est notamment structuré à partir de six conférences données par l’écrivain italien Italo Calvino dans Leçons américaines. » (Biron et al., 2007 : 559) Les taches solaires serait, selon Fortier, un récit de filiation (avec personnages fictifs) (Fortier, 2006 : 134-135)

Ying Chen : Mémoire de l’eau – « L’héroïne relate le passé de sa famille, plus particulièrement le destin de sa grand-mère Lie-Fei, qui a vécu la chute du système impérial chinois, puis la montée du communisme. » (Biron et al., 2007 : 567) Le mangeur (Boréal 2006) pourrait aussi être à l’étude. Fortier en parle comme d’une sorte de récit de filiation mais « fasciné » : « narratrice qui croit être l’arrière petite fille d’un poisson » (Fortier, 2006 : 136-137). Le champ dans la mer : « Au fond, le récit de filiation consiste moins à résumer les événements d'une vie qu'à faire le bilan des disparus et des morts qui nous hantent. Comme un testament inversé, ce récit consiste à offrir aux morts une partie de soi-même, retournant aux morts le peu qui nous reste une fois acquittées les dettes que nous avons contractées en leur nom. » (Biron, 2002 : 570)

Nicolas Dickner : Nikolski : Roman « où la passion généalogique donne lieu à une forme de délire imaginatif. Ici, les fenêtres du monde s’ouvrent toutes grandes, et des personnages à moitié déjantés plongent dans l’époque actuelle à la recherche de leur origine. […] Il s’agit de coller au monde des signes, mais en même temps d’ouvrir ce monde à des univers de sens inattendus, notamment par le télescopage du passé et du présent. » (Biron et al., 2007 : 559-560) « Des Vies minuscules de Pierre Michon aux spectres de la Shoah qui hantent le roman familial dans Le ciel de Bay City de Catherine Mavrikakis, en passant par les ancêtres fantasmés de Richard Millet ou de Nicolas Dickner, le récit contemporain entrelace le souci de dire des figures attestées et les enchantements de la mémoire. » (Lapointe et Demanze, 2009 : 6-7)

Réjean Ducharme : Mariane suggérait Va savoir de Ducharme en lien avec l’article de Martine-Emmanuelle Lapointe, “Hériter du bordel dans toute sa splendeur. Économies de l'héritage dans Va savoir de Réjean Ducharme”, dans Études françaises, dossier Figures de l'héritier. Après lecture de l’article, je ne le recommande toutefois pas. L’analyse de Lapointe est convaincante, mais les notions de filiation et d’héritage ne semblent pas du tout centrale dans cette œuvre.

Christiane Frenette : La nuit entière (2000) – le personnage de Jeanne se tourne vers René Char + Dans la 1ère nouvelle de Celle qui marchait sur du verre (2002) elle s’inspire directement de Tennessee Williams (Biron et al., 2007 : 612)

Louis Hamelin : Le joueur de flûte (2006) « évoque une Amérique révolue, symbolisée par le père du héros, ancien joueur de flûte devenu un has-been de la contre-culture, se survivant à peine au milieu d’une commune isolée au large de la Colombie-Britannique. » (Biron et al., 2007 : 558) La constellation du Lynx (2010) porte sur la crise d’octobre, met en scène un alter ego de l’auteur qui, dans les années 2000, part à la conquête de l’Histoire. Il met aussi en scène plusieurs personnages réels mais sous pseudonyme. On y retrouverait Gaston Miron et Jacques Ferron. « Car trous il y a, affirme l'écrivain, qui les a comblés en livrant son interprétation des faits. «Je propose une solution romanesque, mais je ne prétends pas détenir la vérité», dit-il, estimant que la littérature était la meilleure voie pour expliquer les zones d'ombre des événements et de leurs acteurs. Il offre ainsi une version différente des deux thèses principales qui circulent sur octobre 1970 en plaçant les felquistes au coeur d'une machination politico-policière, entourés d'agents secrets et de taupes. » [Extrait d’un article : http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/201009/23/01-4326016-la-crise-doctobre-selon-louis-hamelin.php]

Suzanne Jacob : Dans La conscience du désert, Michel Biron donnait cet exemple sur les récits de filia-tion dont Rouge, mère et fils de Suzanne Jacob serait un bon exemple : « Fiction identitaire, Rouge, mère et fils appartient à la veine dominante dans le ro-man contemporain. Ce récit de filiation joue sur la délicate question de l’héritage, de la transmission ratée d’une identité. Celle-ci n’étant plus léguée par la famille, elle dépend exclusivement de ce que les autres disent à notre sujet. D’où l’extrême fragilité de l’individu contemporain, qui n’est pas vraiment libre d’exploiter la liber¬té qu’il reçoit pour seul héritage : exonéré de toute dette à l’égard du passé, Luc se voit comme une énigme en actes. Il n’est ni pauvre ni orphelin, il n’est pas non plus seul à proprement parler : il a une amoureuse, il pourrait avoir des amis. De quelque côté que l’on observe, il n’est pas à plaindre. Ses motifs de récrimi-nation ne peuvent jamais s’élever à la hauteur de revendications collectives : le mal¬heur de Luc est apolitique et a quelque chose de scandaleusement dérisoire. » (Biron, 2010 : 126) Le roman suivant, Fugueuses (2005), « fait se croiser quatre générations d’une même famille autour d’une succession de fugues » (Biron et al., 2007 : 555)

Dany Laferrière : A écrit nombre de « récits autobiographiques et familiaux déployés comme une fresque sur Haïti » (Biron et al., 2007 : 565)

Rachelle Leclerc : Ruelle océan (2001) « complète le portrait du père » (Biron et al., 2007 : 611) - on est ici bien sûr dans la fiction

Thierry Leuzy : De quoi traite « Thure » ? « C’est la quête du fils par le fils », indique M. Leuzy. « C’est une réappropriation du soi. En gros, il y a quelqu’un qui veut éponger le passé – bien l’essorer – pour pouvoir recommencer avec un avenir qui ne transporte pas toute la charge négative du passé. Les thématiques majeures passent par l’érotisme, la guerre, la nourriture, le travail, l’adversité, l’immigration, le voyage. » http://www.uqar.ca/uqar-info/thierry-leuzy-signe-thure/

Roger Magini : Revoir Nevers (La Pleine Lune, 2006) s’inscrirait bien dans la question de l’écriture de l’Histoire, devoir de mémoire, etc. (Source : Fortier, 2006a : 137-138

Catherine Mavrikakis : Ça va aller « creuse la question de l’héritage à travers les rapports houleux de la narratrice […] avec […] un avatar de Réjean Ducharme, dont elle finit par avoir un enfant, une fille promise à devenir “le grand écrivain du Québec”. Ducharme se trouve ici non seulement mis en scène comme un personnage, ce qui donne lieu à une satire de la critique locale, mais aussi pastiché, opposé à Hubert Aquin, puis finalement approprié par la narratrice. » (Biron et al., 2007 : 625) « Des Vies minuscules de Pierre Michon aux spectres de la Shoah qui hantent le roman familial dans Le ciel de Bay City de Catherine Mavrikakis, en passant par les ancêtres fantasmés de Richard Millet ou de Nicolas Dickner, le récit contemporain entrelace le souci de dire des figures attestées et les enchantements de la mémoire. » (Lapointe et Demanze, 2009 : 6-7)

Madeleine Monette : « Là encore la saisie du réel va de pair avec la mise en scène du personnage de l’artiste ou de l’écrivain. » (Biron et al., 2007 : 556) Mais cela ne semble pas flagrant.

Clara Ness : Martine-Emmanuelle Lapointe parle du roman Genèse de l’oubli comme d’un roman de filiation où les questions de mémoire et d’héritage sont importantes, s’ordonne autour « des thèmes de la quête et du rejet des origines » (2007 : 136-137). Cependant, sa critique du livre est plutôt négative, ce qui me pousse pour le moment à ne pas garder cette œuvre. Elle écrit d’ailleurs : « Dommage, car le sujet de ce roman s’avérait prometteur. L’auteure voulait y revoir les rapports intergénérationnels en privilégiant la continuité plutôt que la rupture. Elle avait l’intention d’écrire un roman familial qui accorderait un poids et une valeur aux héritages, s’inscrivant par là même dans un mouvement plus vaste de revalorisation des mémoires individuelles et collectives. À la manière des récits de filiation contemporains, décrits notamment par Dominique Viart dans son étude « Filiations littéraires », Genèse de l’oubli devait dévoiler « la part cachée de nos origines » et renouer avec l’Histoire. Écrit trop rapidement, cherchant un ton et une manière, affichant ses préjugés et ses limites, hésitant entre la tragédie et la satire, le roman de Ness n’accueille que de manière théorique et plaquée cet ambitieux projet. Peut-être l’auteure y parviendra-t-elle dans un autre livre. » (Lapointe, 2007 : 137-138)

Rober Racine : Dans Le mal de Vienne : « un personnage (Studd) qui s’identifie totalement à l’écrivain autrichien Thomas Bernhard, avant de se mesurer aussi à des personnages romanesques célèbres » (Biron et al., 2007 : 559)

Élise Turcotte : À propos de Pourquoi faire une maison avec ses morts (Leméac, 2007), Lapointe écrit : « Au-delà de cette représentation de la fin du monde, qui ramène aux problématiques de l’écologie et de la responsabilité de l’individu face à sa propre disparition, Pourquoi faire une maison avec ses morts propose également une réflexion sur la transmission des héritages. Comment transmettre lorsque l’avenir même est en voie d’oblitération, lorsque le seul horizon offert aux héritiers ne se présente que sous la forme d’une vague promesse ? « Avant, l’enfance ne se tenait pas devant moi comme un arbre brûlé » (95), écrit Élise Turcotte. Aussi éloigné du Bruit des choses vivantes soit-il, le dernier ouvrage de l’auteure présente un dialogue entre les générations et cherche à faire émerger ce qui survit encore, et mérite de s’épanouir, malgré le catastrophisme ambiant. Ce dernier livre exigeant, presque abstrait, ne connaîtra peut-être pas le même succès que les romans précédents d’Élise Turcotte. Néanmoins, il saura sans doute s’imposer au fil du temps, aussi doucement qu’il s’impose à la conscience du lecteur qui, sans savoir exactement où on le mène, accepte sciemment de se laisser travailler par la mort, en autant qu’elle lui permette aussi d’« assiste[r] au maintien de la vie » (115). » (Lapointe, 2008a : 145)

BIBLIOGRAPHIE CRITIQUE

BIRON, Michel (2002), « Le fils de personne », Voix et images, vol.27, no 3 (81), 2002. (Sur Germaine Dionne et Ying Chen)

BIRON, Michel (2005), « De la compassion comme valeur romanesque », Voix et Images, volume 31, no 1, automne 2005, p. 139-146.

BIRON, Michel Biron (2009), « VLB au pays des géants », Études françaises, dossier « Figures de l'héritier dans le roman contemporain », dirigé par Laurent Demanze et Martine-Emmanuelle Lapointe, vol. 45, no 3, p. 25-40. [Sur Monsieur Melville et James Joyce]

BIRON, Michel (2010), « Ris de veau et poutine : Rouge, mère et fils de Suzanne Jacob », La conscience du désert, Montréal, Boréal, coll. « Papiers collées », p.119-129.

BIRON, Michel, François DUMONT et Élisabeth NARDOUT-LAFARGE, avec la collaboration de Martine-Emmanuelle LAPOINTE (2007), Histoire de la littérature québécoise, Montréal, Boréal.

FORTIER, Frances (2006), « Fiction, diction, et autres enchantements narratifs », Voix et Images (93), vol. 31, no 3, printemps, p. 134-139.

FORTIER, Frances (2007), « De la transparence à l’opacité. Quelques formes du lisible », Voix et Images (96), vol. 32, no 3, printemps, p. 127-131.

LAPOINTE, Martine-Emmanuelle (2007), « Comment juger le monde? », Voix et Images (96), vol. 32, no 3, printemps, p. 132-138.

LAPOINTE, Martine-Emmanuelle (2008), « Le syndrome de la fin », Voix et Images (98), vol. 33, no 2, hiver, p. 144-149.

LAPOINTE, Martine-Emmanuelle et Laurent DEMANZE (2009), « Présentation. Figures de l’héritier dans le roman contemporain », Études françaises, vol. 45, no 3, p. 5-9.

SNAUWAERT, Maïté (2007), « Fils du conte et de la fiction de soi : le roman de filiation québécois contemporain », @nalyses, dossier “Filiations intellectuelles”, dirigé par A. Caumartin et M-E Lapointe. En ligne. Sur Jean-François Beauchemin et Gaétan Soucy.

Autre : Livre sur la filiation chez Michel Tremblay : Jacques Cardinal, Filiations. Folie, masque et rédemption dans l’œuvre de Michel Tremblay, Gaëtan Lévesque éditeur, coll. « Réflexion », 2010, 218 p.

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