« intimacy – as many of these essays demonstrate – is the least intimate of concepts. In its heart of hearts, one may find neither closeness and identity, nor secret interiority and the comforting space of the familiar, but alienation, foreignness, longing, and the breach of the caesura. » p. 3.

-le concept de l’intime manque de définition, de centre, de présence, de proximité

-l’intime est l’expérience de la séparation (p. 3)

« On sait que la modernité aime, avec passion et parfois meme avec violence, à denuder ses corps et ses texts. Elle en montre l’intimité parfois la plus insupportable, obscene. »

- l’idée d’une littérature qui « ne séduit plus, elle transgresse. » p. 51 « S’il y a en effet, dans toute notre littérature moderne, un auteur qui ait proposé à la littérature ce paradigme érotico-diégétique, c’est bien [Proust]. Son œuvre entière présente le projet littéraire comme la recherche désirante, infiniment reconduite, d’un objet perdu (moment ou personne). Elle se propose ainsi comme “désir du texte” […] » (p. 58)