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Ouverture : L'écart du presque rien
Première partie : Fêlures
1. La voix perdue et le roman
2. Pouvoirs et limites de la métonymie
3. Sujet ou voix ?
* Dans cette partie, l'auteur entend montrer comment s'est rompu le fil de la métonymie heureuse, celle qui permettait d'espérer que d'un détail, d'un fragment, se redonne un monde (à hauteur de livre). Plus généralement, il pose la question des rapports entre le tout et la partie (p. 11-12).
Deuxième partie : Écarts
Introduction
1. « Une trace infime d'attente vivante » (Nathalie Sarraute)
- De la représentation de mot
- Le présent de la parole
2. La fabrique de l'écart (Emmanuel Hocquard)
3. L'entre-deux : fictions du sujet, fonctions du récit (Perec, Pingaud, Puech)
4. Le romancier de soi-même
- Images et dépossession chez Jacques Borel
- « Au commencement était la perte » : Jordane et Puech
5. Vérité et affirmations chez Pascal Quignard
* Dans cette partie, l'auteur tente de repérer les « fêlures » qui engagent à suivre les voies contrariées ou non, suspendues ou développées, d'un écartement dynamique (p. 12).
Troisième partie : D'un romanesque sans roman
Introduction
1. Un romanesque de la litote (Marcel Schwob)
2. Le singulier pluriel : Roland Barthes
3. Ce qui n'a pas de témoin ? Les vies imaginaires dans la littérature contemporaine
4. Sur la « piste romanesque » de Champollion (Gérard Macé)
* Dans cette dernière partie, l'auteur propose un parcours d'une manière nouvelle de faire de la fiction, manière délibérément à distance du roman mais qui voudrait pourtant en exprimer, autrement, toute la force romanesque (p. 180).
Épilogue : Le presque rien (lecture d'Un coeur simple)