Wiki – Laboratoire Ex situ / René Audet

Ceci constitue le répertoire des autres cours d'eau (souvent disparus ou en partie canalisés) de la ville de Québec. Plusieurs de ceux-ci ne semblent jamais avoir eu d'hydronyme. Pour les besoins de la cause et pour faciliter la consultation des informations, les cours d'eau seront identifiés à partir de l'emplacement où ils coulaient à l'époque.

Ce cours d'eau se déverse dans le fleuve Saint-Laurent, près de la Baie de Beauport. Son tracé exact est difficile à reconstituer, puisque plusieurs modifications ont été apportées à son cours naturel (pour faire fonctionner des moulins notamment). La majorité des tributaires qui se jettent dans le ruisseau du Moulin sont des fossés de drainage, en milieu agricole ou urbain source.

— Autres hydronymes : Ruisseau de la Cabane-aux-Taupiers, Cabane-aux-Taupières, Cabane-aux-Taupinières, rivière des Jésuites, rivière du Gendre, rivière des Fous, rivière Chalifour, rivière de l’Asile, rivière Mastaï (faisant référence au Sanatorium Mastaï situé près de l'hôpital Saint-Michel Archange).

Ce cours d'eau serait situé à Beauport, mais il est bien difficile d'en retrouver des traces et de reconstituer son exact tracé. L'un des témoignages affirme que le ruisseau coulait dans le fleuve Saint-Laurent à proximité de la rivière Beauport : il s'agit de la carte de Robert de Villeneuve commentée dans L'Action catholique le 11 août 1940.

Ce cours d'eau serait situé à Beauport, mais il est bien difficile d'en retrouver des traces et de reconstituer son exact tracé. L'un des témoignages affirme que le ruisseau coulait à proximité de la rivière Beauport, il était une ramification du ruisseau du Buisson : il s'agit de la carte de Robert de Villeneuve commentée dans L'Action catholique le 11 août 1940.

« Cette petite fortification était destinée à repousser l'ennemi lors de la conquête anglaise. Apparemment, c'est le fossé de cet ancien ouvrage militaire qui donna aux prêtres du Séminaire l'idée de construire un anneau d'eau permettant le jeu et la baignade aux jeunes garçons qui fréquentaient le site. Les jeunes vivaient des aventures épiques à bord de canots sillonnant l’étang. » source

Ce cours d'eau passait par la rue des Jardins (près de l'Hôtel de Ville de Québec). Une ramification du ruisseau passait à l'époque dans la cour des Jésuites en direction nord-est (le collège des Jésuites). Il longeait la côte de la Fabrique. Le dit cours d'eau aurait été canalisation lors de la « reconstruction de la façade du collège vers 1725 ». Fouille et surveillance archéologiques sur le site du collège des Jésuites de Québec

Cette petite source d'eau jaillissait de l'escarpement près de l'emplacement actuel de l'escalier du Faubourg. Société historique de Québec

Ce cours d'eau passait à proximité du Palais de l'Intendant (îlot des Palais).

Ce cours d'eau coulait à proximité de la pointe à Puiseaux et se déversait dans le fleuve Saint-Laurent.

Ce cours d'eau bordait le cimetière Saint-Patrick et se déversait dans le fleuve Saint-Laurent, à l'Anse au Foulon. L'hydronyme viendrait de Jean Nicolet de Belleborne, le ruisseau traversait sa terre. Journal de l'instruction publique

Ce cours d'eau se déversait dans l'anse de Sillery (anse Saint-Joseph, Kamiskoua-Ouangachit). L'hydronyme rappelle la mission Saint-Joseph des Jésuites, qui est à l'origine de Sillery. Cette mission avait pour objectif de sédentariser les peuples autochtones qui pêchaient en bordure du fleuve à cet endroit précis, les évangéliser. La Maison des Jésuites sur le chemin du Foulon est un vestige de cette époque.source

Ce cours d'eau suivait la Côte à Gignac et se déversait dans le fleuve Saint-Laurent.

Nous ne connaissons que l'hydronyme de ce cours d'eau, mince filet qui coulait, pensons-nous, à proximité ou sur les terres Saint-Michel. Il croisait apparemment le chemin Saint-Michel (l'actuel chemin Sainte-Foy). source