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RECHERCHES SCIENTIFIQUES : ÉTUDES HISTORIQUES

Bassin versant de la rivière du Cap Rouge

  • Fiche de la Commission de toponymie sur la Passerelle de la Poterie qui rappelle la présence de la manufacture de poterie à l'embouchure de la rivière du Cap-Rouge lien
    • EXTRAIT, « Ce toponyme rappelle l'existence, dans la seconde moitié du 19e siècle, d'une importante manufacture de poteries implantée sur la route du Calvaire (auj. la rue Saint-Félix), en bordure de la rivière du Cap Rouge. Fondée en 1860 par Henry Howison (vers 1833-?), elle est exploitée jusqu'en 1892. L'architecte Charles Baillairgé dresse les plans du bâtiment de quelque 30 mètres sur 15, construit en bois sur deux étages. Il loge deux grands fours de brique, auxquels s'ajoutera plus tard un troisième four, plus grand encore. »
  • Rapport synthèse des fouilles 2007-2008, Chantier archéologique Cartier-Roberval avec quelques mentions de la rivière Saint-Charles lien
  • La poterie de Cap-Rouge par Michel Gaumond (1971) lien
    • COMMENTAIRE, L'ouvrage traite aussi des manufactures situées sur les rives de la rivière Saint-Charles (celles de Bell, de Martin, de Salomé, etc.).
  • Dossier historique sur le bassin de la rivière du Cap Rouge par Organisme des bassins versants de la Capitale lien
  • Cap-Rouge avant le « tracel » (1886) par Vues anciennes de Québec lien
  • « Charlesbourg-Royal and France-Roy (1541–43): France’s first colonization attempt in the Americas » par Richard Fiset et Gilles Samson dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, édition 1
    • EXTRAITS, « In 1608 Champlain came to the place where Québec City stands today and built his first Habitation, thereby beginning the region’s permanent occupation. This settlement, which was situated in Place Royale and on the Québec promontory, soon expanded westward. By 1637, pioneer families were already occupying the banks of the St Lawrence River in the area of modern-day Cap Rouge, which was then part of the Gaudarville seigneury, a strip of land measuring 44 arpents (2.5km) along the river and 12 leagues (60km) deep. » (p.49)
    • « In the 16th century the Cap Rouge headland would have offered a strategic commanding position, ideal for a stronghold, protecting the Lower Fort and the vessels anchored in a meander of the Cap Rouge River and providing a vantage point for keeping an eye on movement along the St Lawrence River and its tributary. » (p.61)
  • « The archaeological collection from the Cartier-Roberval site (1541–43): a remarkable testimony to French colonization efforts in the Americas » par Hélène Côté dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAITS, « Looking for food was also part of daily activities. It may be imagined that the environment of the St Lawrence and Cap Rouge rivers supplied some of the food eaten by the fort’s inhabitants. This idea is supported by the discovery of two hooks, as well as by a few pieces of lead which could have been used as gun shot, both for the outpost’s defence and for hunting. » (p.76)
  • « This leads us to the question of the establishment’s other occupants — those on a lower rung of the social ladder. Where were they? The excavations seem to have uncovered only part of the colony’s finer quarters along the cliff above the Cap Rouge River. The material discovered so far is more closely associated with the wealthy classes than with the common people. » (p.83)

Bassin versant de la rivière Saint-Charles

  • Présence autochtone sur le territoire par Organisme des bassins versants de la Capitale lien
  • Bassin de la rivière Saint-Charles, De la colonisation à l'état actuel, par Organisme des bassins versants de la Capitale lien
  • Paroisse de Charlesbourg (1887) par l'abbé Charles Trudelle lien
    • COMMENTAIRE, Le document aborde l'origine de l'hydronyme « Lairet » et mentionne à quelques reprises la rivière Saint-Charles. Il raconte, notamment, la découverte par Jos Hamel d'un morceau de la soi-disant Hermine de Jacques Cartier en 1843.
  • Québec et Lévis à l'aurore du XXe siècle par A.-B. Routhier 1900, BanQ lien
    • EXTRAIT, « Profitant de la marée haute, Cartier remonta la rivière Saint-Charles avec la Grande et la Petite-Hermine, jusqu'à l'embouchure du ruisseau Lairet, laissant en rade l'Emerillon, sur lequel il se proposait d'aller visiter Hochelaga. »
    • COMMENTAIRE, On retrouve une carte à la page 179 du document représentant plusieurs cours d'eau de la ville de Québec.
  • Appendice 12, « Fort Jacques-Cartier », dans L'anneda, l'histoire d'un arbre, 2018 BanQ lien
  • Fête nationale des Canadiens-français célébrée à Québec, histoire, fêtes annuelles, conventions, documents, inauguration du monument Cartier-Brébeuf par J.-J-J-B. Chouinard BanQ lien
    • EXTRAIT, « 'On aperçoit encore aujourd'hui (1843) sur la rive gauche de la petite rivière Lairet, à l'endroit où elle tombe dans la rivière Saint-Charles, des traces visibles de larges fossés, ou espèce de retranchements.' D'après cette note, le fort Jacques-Cartier devait donc occuper la rive gauche du Lairet. Nous ne devons pas, croyons-nous, tenir en ligne de compte ces traces visibles de larges fossés ou espèce de retranchements que l'on pouvait apercevoir en 1843 sur la rive gauche du Lairet, non plus que les traces de construction que l'on a pu apercevoir sur l'autre rive. Quand on connait un peu ce qui s'est passé en cet endroit, on n'a pas lieu de s'étonner de trouver dans le sol des vestiges d'ancienne maçonnerie. »
  • Galerie historique, La Petite Hermine de Jacques Cartier et diverses monographies historiques par N.E. DIONNE, BanQ lien
    • EXTRAIT, « Il y avait autrefois, disons au 17e siècle, plus de vie et d’animation qu’aujourd’hui sur les bords de la rivière Saint-Charles dans les environs mêmes des deux ruisseaux Saint-Michel et Lairet. Jean Landron y avait construit, vers 1680, une grande briqueterie. On y remarquait, à cette époque, plusieurs résidences privées, entre autres celles de Jean Lenormand et des édifices appartenant à Jean Talon. »
  • Notes sur les registres de Notre-Dame de Québec par J.B.A. Ferland, BanQ lien
    • EXTRAIT, « L'arrivée des Jésuites produisit quelques bons résultats : ces Pères venaient dans l'intention de se fixer permanemment en Canada, pour y travailler au salut des indigènes, et pour ouvrir une nouvelle patrie à la population surabondante de la France. Logés, pendant quelque temps après leur arrivée, chez les Récollets, dont le monastère occupait le site actuel de l'Hôpital-Général, ils allèrent ensuite prendre possession de leur maison, près de l'embouchure de la rivière Lairet. »
    • « En rentrant au Canada en 1632, les Jésuites reprirent leur ancienne habitation de N. Dame des Anges, près de la rivière Lairet ; de là ils desservaient, jusqu'à ce qu'elle eut été détruite par le feu, la chapelle de N. D. de Recouvrance. »
  • Tannerie artisanale de la rue de Saint-Vallier par Archéologie à Québec lien
  • Édifice FX Drolet sur le bord de la Saint-Charles, ville de Québec lien
    • EXTRAIT, « L’entreprise quitte ses premiers locaux en 1909 pour emménager dans cette nouvelle usine mieux située. Le chemin de fer passe devant la porte et l’accès à la rivière Saint-Charles permet à la fois l’approvisionnement par bateau et l’ouverture d’un petit chantier naval pour réparer les navires. Le bâtiment comprend deux parties disposées en L; l’une loge l’atelier mécanique, l’autre la fonderie et la forge. Les larges fenêtres favorisent un éclairage naturel et une ventilation suffisante. Les bureaux sont situés à l’étage. »
  • Pêche à la morue sur la rivière Saint-Charles Mon Saint-Roch
    • COMMENTAIRE, Dans ce dossier sur la pêche, on évoque le meurtre de Jean Julien dans sa cabane de pêche près du pont Drouin et de l'Hôpital de la Marine. Nous avons ces quelques articles du Journal de Québec, du Franco-canadien et du Morning chronicle qui en traitent, celui du 10 janvier 1865, celui du 11 janvier 1865, celui du 13 janvier 1865 et celui du 10 février 1865.
  • Patrimoine archéologique maritime les épaves et anciens quais par Frédéric Simard, BanQ lien
    • EXTRAIT, « Les vaisseaux transatlantiques, handicapés par leur fort tonnage, doivent interrompre leur course à Québec pour y transborder la marchandise sur des caboteurs mieux adaptés à la navigation intérieure. Ce procédé nécessite toutefois l’entreposage ou, du moins, le transit préalable des marchandises sur la terre ferme avant de les charger sur les goélettes et autres embarcations de moindre tonnage. Du côté du fleuve comme du côté de l’embouchure de la rivière Saint-Charles, les battures accueillent des bateaux marchands qui viennent y débarquer ou embarquer leur cargaison car les longues battures qui s’y trouvent permettent l’échouage, mais seulement aux caboteurs qui bénéficient d’un moindre tirant d’ eau (La Roche 1994 : 32). »
  • La villa Ringfield, au sujet des chantiers, des domaines le long de la Saint-Charles dont la villa Smithville (Maison hantée), lien
    • EXTRAIT, « En 1811, onze ans après la saisie de biens des Jésuites, à la suite du décès du père Joseph Casot (le « dernier Jésuite »), la Couronne d’Angleterre vend environ 600 acres de leur propriété à Charles Smith [Sr.] (1764-1848). Le vaste domaine sera dès lors connu sous le nom de Smithville. En 1828, Charles Smith acquiert l’autre partie de la ferme Notre-Damedes-Anges située sur la rive ouest de la rivière Lairet. Ce secteur donnera naissance au quartier Stadacona. »
    • « On implantera la maison en retrait du chemin de Charlesbourg, directement adossée au ringfield, cette prairie circulaire qui est un ancien méandre de la rivière Lairet. Jusqu’à cette époque, on ne connaît cette prairie que sous le nom de 'round meadow'. »
    • « La villa Ringfield témoigne aussi du mode de vie de ces constructeurs de navire qui, comme George Holmes Parke,

ont marqué la vie sociale et économique de la capitale pendant une grande partie du 19e siècle. C’est aujourd’hui le seul exemple subsistant de ces grandes habitations qui étaient toutes situées à proximité des chantiers. »

  • Industrie de la glace au Québec par Yves Bergeron Imaginaire du Nord
    • EXTRAIT, « Si à l’époque de la Nouvelle-France, les Canadiens transposent en Amérique du Nord la tradition européenne des caves, ce n’est qu’après la Conquête anglaise qu’on aurait commencé à récolter de la glace sur les cours d’eau. Le premier témoignage de l’exploitation commerciale de la glace apparaît cependant à travers une série d’aquarelles de James Pattison Cockburn datées de 1830. Il s’agit de scènes se déroulant à Québec sur la rivière Saint-Charles, à l’embouchure du fleuve Saint-Laurent. Dans la première de ces aquarelles, La coupe de la glace pour l’été, à Québec, l’artiste illustre le chantier de glace de la rivière Saint-Charles. La seconde aquarelle, Les coupeurs de glace, montre un homme coupant de longues bandes de glace à l’aide d’une scie. L’une de ces scies posées sur la surface glacée de la rivière ressemble à un godendard. Elle est faite d’une longue lame de métal se rétrécissant vers l’extrémité inférieure et munie d’une poignée transversale. Une boule de plomb a été fixée à la scie pour assurer un contrepoids dans l’eau. »
    • COMMENTAIRE, Des individus allaient chercher de l’eau ensuite, dans les trous laissés par les commerçants de glaces. Cockburn a fait une oeuvre à ce sujet intitulée Water Carriers que je n’arrive pas à trouver sur le net.
  • Patrimoine archéologique des poteries, briqueteries, tuileries et fabriques de pipes au Québec dirigé par pierre Desrosiers lien
    • EXTRAIT, « Ainsi, la distribution des potiers à travers le Québec s’explique par la présence de cette argile aux abords du fleuve Saint-Laurent et de certains affluents, par exemple les rivières Saint-Charles et Lairet à Québec et la rivière Richelieu dans la région du même nom et, d’autre part, l’existence de voies navigables ou d’axes routiers. »
  • Notice historique sur la Compagnie de Jésus au Canada, 1889 BanQ lien
    • EXTRAIT, « Quelques mois plus tard les Jésuites obtinrent un terrain pour y fonder une résidence; c'était la pointe formée par la jonction de la petite Lairet avec le Saint-Charles, et alors connue sous le nom de fort Jacques Cartier. »
  • Minéraux non-métalliques, pétrole et charbon par le Département de l'industrie et du commerce, 1952, BanQ lien
    • EXTRAIT, « Au Canada, le premier atelier date, semble-t-il, de 1636: à Québec on fabriquait des briques sur les bords de la rivière Lairet. Cinquante ans plus tard, l'intendant Champigny, dans une lettre à son ministre, annonçait qu'une 'tuilerie était enfin en exploitation sur la rive gauche du ruisseau Lairet' près de Québec. »
  • « Des tuiles et des briques », Société historique de Québec lien
    • INTÉGRAL, « En 1682, un violent incendie rase quasiment la basse-ville de Québec. La métropole demande alors aux autorités coloniales d'éloigner le feu en construisant avec de la brique et des tuiles. L'intendant Bochart de Champigny rappelle toutefois au ministre qu'il n'y a pas de briques ni de tuiles en Nouvelle-France. On tente d'y établir une tuilerie, mais sans succès. Néanmoins, en 1688, Étienne Landron et Jean Larchevêque ouvrent une briqueterie sur la rive gauche de la rivière Saint-Charles, à l'embouchure du ruisseau Lairet, sur le site de l'actuel lieu historique national Cartier-Brébeuf. L'endroit dispose de suffisamment d'agile pour permettre une telle industrie et il est muni d'un four à briques. On y produit de la brique, des tuiles et des pots en terre cuite. La briqueterie Landron-Larchevêque sera en opération jusque vers 1755. »
    • COMMENTAIRE, Nous pouvons voir sur la carte de Robert de Villeneuve (1690) la briqueterie de Jean Landron (#16). Autrement, le #55 représente « Canots pour la découverte pendant la nuit ».
  • Briqueterie Landron-Larchevêque et atelier de potiers de la rue de Saint-Vallier, Archéologie de Québec lien
    • EXTRAIT, « De nombreux briquetiers et potiers utilisent de l’argile prélevée aux abords de la rivière Saint-Charles. Plusieurs d’entre eux habitent ou travaillent rue De Saint-Vallier. »
  • Le Pont Dorchester et les faubourgs de Québec (fin XIXe siècle) par Vues anciennes de Québec lien
  • Méandre de la rivière Saint-Charles par Justine Fraser avec photographies lien
  • Réaménagement de la rivière Saint-Charles par l'historien Réjean Lemoine avec quelques photographies lien
  • Courte mention dans le Rapport annuel 2015-2016 par la Commission de la Capitale nationale du Québec et projet de renaturalisation lien
    • INTÉGRAL, « Parc des Moulins, Depuis son ouverture au public en septembre 2006, le parc des Moulins a subi plusieurs travaux de réaménagement et de mise aux normes. Pour faire suite aux travaux déjà réalisés dans le secteur des ruches, l’aménagement paysager a été amélioré en juillet 2015 pour assurer l’accès sécuritaire des usagers. De plus, à l’été 2015, les vestiges de l’ancien moulin Douville ont été stabilisés et numérisés. La Commission envisage un projet de mise en valeur et d’interprétation de l’histoire du site, qui a accueilli sept moulins mus par l’eau de la rivière du Berger du milieu du 18 e siècle jusqu’au début du 20 e siècle. Des travaux d’inspection des infrastructures du bassin d’eau et de la rivière du Berger, en 2014, ont mis en lumière les déficiences majeures de certaines d’entre elles, particulièrement celles des deux barrages, qui devront être refaits pour assurer le contrôle du niveau du bassin. L’appel de propositions de vocations pour le site de l’ancien Jardin zoologique de Québec mené par la Sépaq ayant pris fin à l’hiver 2016 sans porter de fruits, la Commission travaille présentement à la revitalisation des sentiers du boisé attenant au parc des Moulins. Ce projet permettra d’accroître l’accessibilité au vaste boisé dont la Commission est propriétaire. »
  • Mission « débétonner » la Saint-Charles, dans unpointcinq lien
  • Fiche toponymique qui traite du Parc Victoria et de l'assèchement du méandre par la ville de Québec lien
  • « The natural environment of the Québec City region during the Holocene » par Louise Filion, Martin Lavoie et Lydia Querrec dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAIT, « Since the first attempts at Euro-American settlement, initially by Jacques Cartier at the mouth of the Saint-Charles River (then called the Sainte-Croix) in 1535, later by both Cartier and Roberval at the mouth of the Cap Rouge River in 1541–43,79 and the establishment of a trading post (the Habitation) by Champlain on the point of Québec in 1608,80 the forest component of the area never ceased diminishing from the 17th century and was transformed over the years. » (p.24)
  • « Charlesbourg-Royal and France-Roy (1541–43): France’s first colonization attempt in the Americas » par Richard Fiset et Gilles Samson dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAIT, « Cartier’s previous behaviour suggests it is unlikely that he would have envisaged burning the Cap Rouge colony. When he left the post on the Saint-Charles River where he spent the winter of 1535–36, he apparently did not destroy it, for when Champlain visited the ruins of these quarters in 1608 he noted worm-eaten lumber rather than charred remains. Moreover, Cartier was under Roberval’s command and had been given responsibility for preparing the colony until the latter joined him; Cartier would have had little motivation for destroying his work. Finally, in Roberval’s account of his arrival at Cap Rouge, there is no mention of evidence of a fire; if the colony had been burned down, it seems highly improbable that he would not have recorded this fact. » (p.63)
  • The Intendant’s Palace site: urbanization of Québec City’s Lower Town » par Réginald Auger, Daniel Simoneau et Allison Bain dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAITS, « The Intendant’s Palace site covers an entire city block at the bottom of a narrow street connecting Québec City’s Upper and Lower Towns. On account of its strategic location and easy access to the Saint-Charles River, the site was identified in the 17th century by Intendant Jean Talon as a suitable spot for pursuing his economic endeavours in New France. » (p. 156)
    • « It is also possible that a water basinshown in front of the Intendant’s Palace on an engraving dating from 1699 may actually be a vestige of the former shipyard. This basin, which provided access to the river, would have been an appropriate setting for transferring goods to the King’s Stores from ships that had sailed up the Saint-Charles River. Merchants such as Aubert de La Chesnaye, who lived on the waterfront near Place Royale, made use of similar facilities. » (p. 160)
    • « Late 17th-century cartographic sources indicate a stone wall running down the cliff and joining a wooden palisade that continued northwards to a battery known as the St Nicholas Redoubt, erected on the banks of the Saint-Charles River. » (p. 161)
  • « The Intendant’s Palace site: new insight into its physical evolution and initial occupation » par Daniel Simoneau dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAIT, « The historian Réal Brisson believes that the early shipyard was situated in exactly the same place as Talon’s brewery. He bases this on an isometric illustration of Québec, made before 1670, which shows boats under repair on the banks of the Saint-Charles. » (p.178)
  • « The foreshore of the St Lawrence at the Îlot Hunt site in the 17th and 18th centuries: an open dump? » par Céline Cloutier dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAIT, « In the hope that the tides would eliminate some of the garbage generated by the town, the authorities asked residents to take their household waste and butchering refuse to the banks of the Saint-Charles or the St Lawrence. » (P.247)
  • « Bugs, seeds and weeds at the Intendant’s Palace: a study of an evolving landscape », par Allison Bain, Julie-Anne Bouchard-Perron, Réginald Auger et Daniel Simoneau dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAIT, « In Lower Town citizens and enterprising merchants such as Charles Aubert de la Chesnaye, Philippe Gauthier de Comporté and, most importantly in the context of this paper, Jean Talon established themselves on or near the banks of the St Lawrence and SaintCharles rivers. […] The Îlot des Palais, the site of his official residence on the banks of the former Saint-Charles River, was first settled in about AD 1300. » (p.183)
  • « Québec in the time of Champlain », par Françoise Niellon dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAIT, « When the Compagnie des Cent-Associés retook control of Québec, the layout of the future city was already in place, with commercial activities concentrated near the river and government administration in Upper Town. All that was needed to complete the urban plan was to transfer the religious communities from the Saint-Charles River to Upper Town and to eliminate agricultural activities. Indeed farming in Upper Town would soon be a thing of the past. » (p.211)
  • « An archaeological view of the French colonial port of Québec », par Serge Rouleau dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAIT, « The Saint-Charles River estuary was an open space which was particularly vulnerable to northeasterly winds. For example, the launching of the store ship Canada here in 1742 had to be postponed for fifteen days because intense winds blew from the north-east.The estuary was also subject to tidal movements along the St Lawrence. The foreshore exposed at low tide could extend to more than 500m in some places; at such times the Saint Charles was often reduced to a trickle which could be formed at a number of points. The riverbed here was mainly clayey, with some concentrations of sand. As elsewhere, the foreshore was strewn with pebbles, cobbles and boulder, which were gradually removed in order to improve the safety of the waters. » (p.230)
  • DUMONT, Jean-Philippe, « Une rivière dans la ville ; l'usage urbain de la rivière Saint-Charles : origines et perspectives », Mémoire de maîtrise présenté à la Faculté des Lettres, Québec, Université Laval, 1998, 99f. Lien
  • BOUTET, Guillaume, « Le changement de forme des berges de la rivière Saint-Charles à Québec : l'explication de l'approche culturelle de la géographie », mémoire de maîtrise en Sciences géographiques, Québec, Université Laval, 2006, 170f. Lien

Lac Val-Saint-Michel

  • Histoire de Val-Bélair, lien
    • EXTRAIT, « En 1934, Charles Cantin obtenait un octroi pour construire la Place Cantin. Il s’agissait d’aménager une plage et de rédiger une dame de bois pour élever ou descendre le niveau d’eau. Ce lac artificiel mesurait de 600 à 700 pieds de longueur et comprenait une île dans son milieu. Cette plage attirait les villégiateurs et a atteint son apogée vers les années 1949-1950. Ce site avait été construit par les « vingt cennes ». La crise des années trente affecta davantage les habitants de Saint-Gérard, alors que Val-Saint-Michel était une ville d’été. »
  • Fiche toponymique « Rue Montolieu », par la ville de Québec, lien
    • EXTRAIT, « L'année suivante, Charles Cantin fait aménager la plage derrière sa résidence, sur les bords de la rivière Nelson. Cette plage est très fréquentée par les estivants jusque dans les 1950. En 1974, Val-Saint-Michel fusionne avec Bélair pour former la ville de Val-Bélair. »

Rivière Lairet

  • La rivière Lairet: l'énigme d'un toponyme par la Société historique de Québec lien
  • Chronique d'une rivière disparue par Réjean Lemoine (projet en cours), Mon limoilou 1/8, 2/8, 3/8, 4/8, 5/8

Chute Kabir Kouba

  • Articles sur la chute Kabir Kouba par le Centre d'interprétation (recherches historiques, iconographie) lien

Sans hydronyme, Parc des Braves

  • Parc des Braves, Fiche technique avec cartes lien
  • Fiche toponymique « rue Dumont » par la ville de Québec lien

Bassin versant de la rivière Beauport

  • Fiche toponymique au sujet de la rue du Manoir, à propos du manoir seigneurial à côté de la rivière Beauport lien
    • EXTRAIT, « Premier seigneur de Beauport, Robert Giffard (vers 1587-1668) fait édifier son manoir en 1642, sur la rive est de la rivière Beauport, de même qu'un moulin à eau et un moulin à vent. Dans l'imposante demeure en pierre, dont la façade fait environ 18 mètres de longueur, il exerce la justice et vaque à ses tâches d'administrateur, comme la perception des rentes de ses censitaires. On a cru à tort que Montcalm y avait établi son quartier général lors de la bataille de Montmorency, le 31 juillet 1759; il aurait plutôt choisi un bâtiment situé à l'extrémité de l'actuelle rue de la Pagode, la maison Verrault, démolie en 1977. Sans héritier direct, Joseph Giffard (1645-1705), fils de Robert, fait don de la seigneurie à son neveu Ignace Juchereau Duchesnay en 1683. Les descendants de cette illustre famille se transmettront la propriété jusqu'en 1835, année où le colonel Bartholomew Conrad Gugy s'en porte acquéreur. Le domaine prend alors le nom de Darnoc, soit Conrad écrit à rebours. De 1845 à 1850, le manoir est loué à l'Asile de Beauport, qui y loge la direction, les malades étant hébergés dans un bâtiment avoisinant. Il ne reste plus aucune trace de l'ancien manoir seigneurial, disparu dans les flammes en 1879. »
    • « La rue du Manoir portait autrefois le nom de rue des Carrières. À Beauport, en effet, des carrières de pierre sont exploitées dès le milieu du 17e siècle par le seigneur Robert Giffard et les Jésuites, puis par Pierre Parent, à partir de 1670. Les principaux gisements, dont on extrait des moellons de calcaire, se trouvent de chaque côté de la rivière Beauport. »
  • Encyclopédie du patrimoine de l'Amérique française, vignette sur la Seigneurie de Beauport avec cartes et photographies par Benoît GRENIER lien
  • Inventaire archéologique de la rivière Beauport par Manon Goyette, 2016 lien
  • Description d'une conférence offerte par Manon GOYETTE (archéologue) dans Société d'art et d'histoire de Beauport lien
    • EXTRAIT, « Les découvertes permirent de localiser quatre sites archéologiques en lien avec les noyaux d’activités recherchés : le site du premier moulin à eau du seigneur Giffard érigé en 1659, celui Juchereau-Duchesnay construit en 1792-93 et enfin, celui du complexe industriel fondé par le constructeur de moulin John Henderson vers 1810. »
  • Fiche toponymique à propos de l'avenue des Cascades lien
    • EXTRAIT, « Le nom de cette avenue fait allusion aux petites chutes de la rivière Beauport qui en longe l'extrémité ouest. Ces cascades se succèdent pour former une dénivellation totale de quelque 24 mètres, à 1,5 kilomètre de l'embouchure de la rivière dans le fleuve Saint-Laurent. La gorge profondément encaissée où elles s'engouffrent correspond à un ancien bras de la rivière Montmorency qui aurait été creusé avant la dernière glaciation, soit il y a environ 10 000 ans. L'une des chutes fait près de 10 mètres de hauteur et était appelée au 19e siècle « chute du moulin à huile », en raison de la présence d'un moulin destiné à l'extraction de l'huile de lin. »
  • Vignette « Un peu d'histoire » de la ville de Québec au sujet du parc de la Rivière-Beauport lien
    • EXTRAIT, « La rivière Beauport a exercé une influence déterminante sur le développement de Beauport. Encore de nos jours, des traces de son passé industriel sont présentes, disséminées au fil des « marches naturelles » sculptées par l’érosion dans le calcaire. Brasseries, distilleries, moulins à farine et à l’huile de lin, fabriques de meules à farine et à carton-cuir : autant de bâtiments importants s’y sont succédés, donnant de l’emploi aux habitants et favorisant le développement de l’agriculture et du commerce. »
  • Distillerie et brasserie de Beauport, Archéologie de Québec lien
  • Rapport de la Commission des asiles d'aliénés, 1888 lien
    • EXTRAIT, « Trois médecins, les docteurs Douglass, Frémont et Morrin, formèrent une société pour mener l'entreprise à bonne fin et la faire bénéficier à l'aide promise par le gouverneur. Le 10 septembre 1845, ils achetèrent à cette fin l'ancien manoir de la seigneurie de Robert Giffard, sur les bord de la petite rivière Beauport, et le convertissent en hôpital pour le traitement des aliénés. »
  • Plan de conservation du site patrimonial de Beauport (2016) par le Ministère de la culture et des communications lien
  • Histoire à raconter, le quartier Giffard (rivière Beauport et ruisseau du Moulin) lien
  • « Bassin du ruisseau du Moulin » par l'Organisme des bassins versants de la Capitale, Québec, 2015 Lien
  • PLOURDE, Michel Ph. D., « Espace d'innovation d'Estimauville : inventaire archéologique », Québec, 2013 Lien
    • EXTRAIT, « « D'autre part, la rivière Taupière, qui est connue aussi sous les noms de la rivière au Moulin, Chalifoux et de la Cabane-aux-Taupières, coule à sa limite nord-est et sud-est ; elle a cependant depuis été canalisée et remblayée en grande partie. Divers petits ruisseaux s'y déversaient aussi, mais la culture des sols et la mise en place de fossés ont vraisemblablement fait disparaître leur trace. Un plan de 1847 illustre notamment un petit ruisseau circulant dans l’aire d’intervention et dont sa source doit être la même que l'eau qui coule encore aujourd'hui dans le fossé agricole (figure 6). »
  • « Moulin des Jésuites » sur le site Maisons du patrimoine Lien
  • CLOUTIER, René, « Les déboires du moulin des Jésuites de Charlesbourg » dans Histoire Québec,Volume 12, numéro 2, 2006 Lien

Bassin versant de la rivière Montmorency

  • Le Bas-du-Sault-de-Montmorency (avant 1889) dans Vues anciennes de Québec Lien
  • SIMARD, Jean-François Simard Montmorency, Histoire d'une communauté ouvrière, 2001 Lien

Fleuve Saint-Laurent, Anses

  • Ligne du temps proposé par la ville de Québec, au sujet de Sillery lien
    • COMMENTAIRE, Ligne du temps intéressante, puisqu'elle retrace l'occupation des anses avec des explications textuelles ainsi que des représentations visuelles.
  • Étude de caractérisation de l'arrondissement historique de Sillery lien
    • - NOTE, Voir les sections « La terre de Saint-Denys » pour en apprendre plus sur le ruisseau Saint-Denys et « La châtellenie de Coulonge » pour en savoir plus sur le ruisseau Belleborne.
    • EXTRAIT, « L’histoire moderne de Sillery remonte à l’établissement de ces missionnaires dans l’anse Saint-Joseph(Kamiskoua-Ouangachit) en 1637. Le choix du site s’impose notamment parce que les Amérindiens s’y rassemblent à chaque automne pour pêcher l’anguille. Les Jésuites veulent sédentariser les Amérindiens en les groupant près de Québec afin de leur enseigner l’agriculture et la religion. C’était la première tentative de ce genre en Nouvelle-France. Leur première maison fut construite dès 1637 et, six ans plus tard, la mission de Sillery comptait environ trente-cinq familles amérindiennes (principalement des Innus, Algonquins et Atikamekws), constituant un noyau fondateur. Abandonnée après l’incendie de la chapelle et de la maison principale en 1657, la mission fut restaurée en 1660, puis fermée de nouveau pour être remplacée en 1698 par la mission de Sainte-Foy. »
  • Plan de conservation, site patrimonial de Sillery lien
    • EXTRAIT, « Sillery est le théâtre de l’assaut de l’armée britannique dans la nuit du 12 au 13 septembre 1759. Les soldats touchent terre un peu en aval de l’anse au Foulon (fig.4), alors que la canonnière commandée par Samuel Johannes Holland (1728-1801) tire des boulets devant Sillery. La batterie Saint-Michel, montée à Samos (aujourd’hui entre la propriété des Augustins de l’Assomption et le cimetière Saint-Patrick), est impuissante à refouler les soldats qui escaladent l’escarpement aux ruisseaux Belleborne et Saint-Denys pour prendre l’avant-poste français dominant l'anse au Foulon. »
    • « Presque au centre du site patrimonial, la pointe à Puiseaux s’avance vers le fleuve Saint-Laurent, délimitant deux anses peu profondes, soit l’anse de Sillery à l’ouest et l’anse Saint-Michel à l’est. Depuis le remblayage de la bande riveraine effectué au cours des années 1960, la pointe Saint-Joseph, à l’ouest, ne s’avance plus jusqu’au fleuve. L’escarpement est sillonné de ravins creusés par des ruisseaux, aujourd’hui canalisés ou taris, qui bornaient les concessions initiales. »
  • L'Édifice de la Douane et l'Élévateur du Grand Nord (vers 1905) par Vues anciennes de Québec lien
  • Le Cap Blanc (vers 1907) par Vues anciennes de Québec lien
  • Le secteur du Marché Finlay (1829) par Vues anciennes de Québec lien
  • Port de Québec, D'hier à aujourd'hui (de 1535-1899) lien
  • Dossier sur le pont de glace par la ville de Québec avec représentations visuelles lien
  • Accès publics au fleuve de la région de Québec, Portrait et caractérisation des accès existants et étude de cas comparable, 2016 lien

Anse au Foulon

  • Fiche toponymique sur le Chemin du Foulon lien
    • EXTRAIT, « Aux abords de cette voie, il y avait autrefois à Sillery un foulon, c'est-à-dire un moulin où l'on foulait la laine pour produire d'épaisses étoffes. Construit en 1710 par le Séminaire de Québec, le moulin est alimenté par le ruisseau Saint-Denys qui se jette dans une anse bientôt connue sous le nom d'anse au Foulon. Les ouvriers qui travaillent au moulin, appelés les foulons, ont l'habitude d'emprunter un sentier qui longe la falaise et qui deviendra finalement un chemin : ainsi naît le chemin du Foulon, dit aussi des Foulons. Le moulin aurait fonctionné jusqu'en 1734, après quoi il semble avoir été abandonné. Le toponyme, toutefois, est demeuré. »
    • « Au 19e siècle, le chemin du Foulon est bordé d'habitations ouvrières, de petits commerces et d'auberges, tandis que les anses de Sillery accueillent les chantiers des exportateurs de bois et des constructeurs de navires, pour la plupart d'origine britannique. Ce n'est que beaucoup plus tard, en 1924, que la Ville de Sillery adopte le nom de chemin du Foulon, aussi appelé Cove Road. Quant à l'anse au Foulon, une fois sa plage libérée des installations industrielles, elle sera pendant plusieurs décennies le rendez-vous des baigneurs. »
  • L'anse au Foulon (1872) par Vues anciennes de Québec lien

Anse de Sillery

  • Dossier sur la pêche par les Autochtones en bordure du fleuve Saint-Laurent lien
    • EXTRAIT, « Lors de la fondation de Québec, près de l’ancien site iroquoien de Stadaconé, où Cartier avait rencontré le chef Donnacona, les berges du Saint-Laurent sont occupées l’été par des autochtones de différentes nations. Parmi eux, les Montagnais se retrouvent nombreux dans l’anse qu’ils nomment Kamiskoua-Ouangachit, un nom qui, selon certains, signifie « la Pointe aux anguilles ». C’est là, en 1634, que les Jésuites fondent leur mission Saint-Joseph, à l’origine de Sillery, un territoire que les Hurons-Wendats considèrent comme leur. »
    • « En eau calme, les Autochtones capturent l’anguille au harpon. Ce type de pêche se pratique la nuit dans un canot éclairé au flambeau. Un pêcheur habile peut attraper plus de 300 anguilles en une seule sortie. Les Autochtones utilisent aussi des nasses. Ce sont de grands paniers oblongs installés sur le rivage à marée basse, près de murets de pierre disposés en « V ». Les anguilles qui longent ces murets finissent par s’introduire dans les nasses sans pouvoir en ressortir. En une seule marée, on en ramasse des centaines que l’on déguste fraîches, mais le plus souvent boucanées. Ainsi préservée, l’anguille sert d’aliment de base jusqu’à la chasse aux gros gibiers, à la mi-janvier.

Anse au Cul-de-Sac

  • L'anse au Cul-de-Sac (avant 1841) par Vues anciennes de Québec lien
  • Au sujet de la rue du Cul-de-Sac et du havre du Cul-de-Sac avec représentations visuelles, dans Place Royale lien

Autres cours d'eau

Au sujet du secteur de Sillery :

  • Plan de conservation, site patrimonial de Sillery lien
  • Étude de caractérisation de l'arrondissement historique de Sillery lien

Ruisseau du Moulin

  • L'Asile de Beauport dans Vues anciennes de Québec lien
  • Québec, Histoire et Curiosité aux Archives du folklore et d'ethnographie à l'Université Laval
    • EXTRAIT, « Ce sont les Jésuites qui apportèrent en Nouvelle-France le premier moulin à farine. Il se manoeuvrait à bras. Les quelques familles qui habitaient alors Québec y faisaient moudre leur grains. Au cours de l’automne de 1628, six ans avant la fondation de Trois-Rivières, Champlain, constatant que ce petit moulin était d’une grande utilité, décida d’en fabriquer un autre. Durant l’hiver de 1628-1629, il faisait commencer la construction d’un moulin à farine actionné par l’eau. Mais ce moulin, s’il fut terminé, ne servit pas longtemps. En juillet 1629, les frères Kirke arrivaient devant Québec et sommaient Champlain de leur livrer la ville. Québec n’avait aucun moyen de se défendre et fut contraint de capituler. »
  • Les déboires du moulin des Jésuites de Charlesbourg par René Cloutier, 2006 lien
  • Surveillance archéologique dans le Trait-Carré et au moulin des Jésuites de Charlesbourg lien
  • Espace d'innovation d'Estimauville, inventaire archéologique, par Michel Plourde, 2013 lien
  • Avis sur le plan de conservation du site patrimonial du Trait-Carré de Charlesbourg, par la Société d'histoire de Charlesbourg 2014 lien
    • EXTRAIT, Voir sous l'intitulé « Ajouter la rivière du Moulin comme élément naturel d'importance », « Rappelons enfin que la construction du moulin des Jésuites à son emplacement actuel, ne peut être comprise sans faire référence au fait que le parcours actuel de la rivière a été creusé à bras d'hommes à la suite de travaux de détournement de la rivière des Commissaires afin d'apporter l'eau nécessaire au fonctionnement du moulin du Trait-Carré. »
  • Plan de conservation du site patrimonial de Beauport 2015 lien
  • Moulin des Jésuites/Goulet et la manufacture d'allumettes: étude de potentiel archéologique par la coop de travail Artefactuel 2012 lien
  • Une vision d'avenir pour le patrimoine par Société d'art et d'histoire de Beauport lien
    • EXTRAIT, « À l'instar de la scierie Patterson et Montmorency Cotton Mills, les clouteries de Henderson et Méthot sont localisées à l'extérieur du site patrimonial, sur le ruisseau Cabane-aux-Taupiers. Il en est de même pour le moulin à farine de Renaud et de Larochelle (extrémité est de la rue Chabanel). Nous ne sommes pas certain de la localisation de la fabrique d'allumettes de Labrecque. »
  • Fiche toponymique traitant du ruisseau Peuvret et son détournement vers le ruisseau du Moulin par les Jésuites lien
    • EXTRAIT, « Même lorsque son fils le plus jeune atteint la majorité, Marie-Catherine Peuvret ne lui cède pas la seigneurie et continue de voir elle-même aux affaires seigneuriales jusqu'en juillet 1738, soit quelques mois seulement avant sa mort, le 15 février 1739. Au cours de ses années de gérance, elle entre en conflits à plusieurs reprises avec les seigneurs ecclésiastiques voisins, avec les notables et les habitants de sa seigneurie, et même avec certains membres de sa propre famille. L'un de ces litiges met en cause les Jésuites, seigneurs de Notre-Dame-des-Anges et voisins de la seigneurie de Beauport, à l'ouest. Dans une ordonnance de l'intendant Gilles Hocquart datée du 28 juillet 1731, on apprend que les Jésuites ont creusé un fossé sur leur seigneurie, du côté ouest de la rivière Beauport, « pour conduire les eaux qui allaient tomber dans la rivière Beauport, et qui servaient au moulin de la dite dame ». En effet, le moulin de Marie-Catherine Peuvret est situé sur le bord de la rivière Beauport, et le fonctionnement de celui-ci est affecté par le détournement de ce cours d'eau mitoyen au profit de la rivière du Moulin. Dans une ordonnance du Conseil supérieur du Québec, le 3 août 1731, l'intendant Hocquart intime les Jésuites de « laisser le cours libre et naturel aux eaux qui contribuent à faire tourner le moulin banal de la défenderesse ». Le cours d'eau détourné dont il est question dans ce litige est fort probablement le ruisseau Peuvret. »

Ruisseau du Buisson

  • Plan de conservation du site patrimonial de Beauport (2016) par le Ministère de la culture et des communications lien
    • EXTRAIT, « Le bourg du Fargy comprend, pour sa part, des cours d'eau aujourd'hui disparus ou canalisés, dont le ruisseau des Écailles et la rivière du Buisson (à proximité de l'actuelle rue Saint-Édouard). D'autres cours d'eau aujourd'hui canalisés se trouvent ailleurs dans le site patrimonial, notamment dans le secteur Courville. »

Ruisseau aux Écailles

  • Plan de conservation du site patrimonial de Beauport (2006) par Société d'art et d'histoire de Beauport lien
    • EXTRAIT, « Il y a plusieurs références au ruisseau des Écailles comme étant le ruisseau passant dans la rue de l’Académie et formant la limite ouest du domaine. L’identité du ruisseau des Écailles repose sur l’ouvrage de Marcel Trudel sur le terrier du Saint-Laurent et plusieurs croient que cette identification est erronée. Si possible, on devrait se limiter à citer le ruisseau des Écailles comme étant l’un des nombreux cours d’eau aujourd’hui disparus ou canalisés. Ce qui est plus important, et surtout faux, c’est de dire que le ruisseau formait la limite est du domaine seigneurial. En effet le ruisseau de la rue de l’Académie passait auparavant sur la propriété Girardin, descendant du nord à la hauteur de la rue Delage, passant derrière les maisons qui longent la rue des Cascades et s’allongeant ensuite vers le nord. Le ruisseau en question est loin à l’est du domaine seigneurial

qui était limité par le fond des propriétés longeant la rue Hugues-Pommier, du côté ouest. Il faudrait d’autre part qu’une recherche soit faite pour bien identifier le ruisseau des Écailles. Les hypothèses sont nombreuses : ruisseau de la rue de l’Académie, ruisseau longeant la place de l’église, ruisseau se jetant dans la rivière Beauport à la hauteur de la rue des Coquilles. »

  • Plan de conservation du site patrimonial de Beauport (2016) par le Ministère de la culture et des communications lien
    • EXTRAIT, « Le bourg du Fargy comprend, pour sa part, des cours d'eau aujourd'hui disparus ou canalisés, dont le ruisseau des Écailles et la rivière du Buisson (à proximité de l'actuelle rue Saint-Édouard). D'autres cours d'eau aujourd'hui canalisés se trouvent ailleurs dans le site patrimonial, notamment dans le secteur Courville. »

Sans hydronyme, Rue des Jardins

  • Fouille et surveillance archéologique du site du Collège des Jésuites de Québec, 2014 Lien
  • Rapport de la surveillance archéologique effectuée à l'Hôtel de ville de Québec, 2013 Lien
    • COMMENTAIRE, À la page 18 du document, une carte représentant la ville de Québec illustre le tracé du ruisseau. Il se divise en deux ramifications, l'une passant sur la rue Couillard, l'autre suivant la Côte de la Fabrique. On remarque aussi qu'il y avait un moulin (L) près de l'enceinte du Collège.
  • Tablette historique, Annuaires de la ville de Québec 1925-1926, Adresse des résidents de Québec Lien
    • INTÉGRAL, « Coin des rues Ste-Anne et des Jardins Maison ou magasin de la Compagnie des Cent-Associée, église paroissiale, temporaire et résidence des Jésuites, 1640-1657, un ruisseau considérable sur lequel il y avait un petit pont, descendait là de la citadelle. (…) This stream is now under cover. »
  • Fêtes du 3ième centenaire, juin 1925 Lien
    • EXTRAIT, « Ainsi le 28 juillet 1758, se donnait au Collège une grande représentation dramatique. Ce spectacle avait pour objet de célébrer l'arrivée du Vicomte d'Argenson. On joua devant lui une allégorie où figuraient, outre le génie de la France et celui des forêts, des Français et des Indiens, ces derniers s'exprimant dans leurs dialectes respectifs. Il est facile d'imaginer la joie des acteurs et la satisfaction de l'auditoire. Pareilles aubaines étaient forcément rares. Mais la jeunesse d'alors ne manquait pas de distraction. Elle regardait circulaire les sauvages et s'amusait fort, d'après Ernest Gagnon, à jouer dans le ruisseau qui descendait du Cap Diamant et coulait par une succession de petites cascades, en face du Collège. »
  • MCPHERSON LEMOINE, James, Histoire des fortifications et des rues de Québec, 1875 Lien
    • EXTRAIT, « Le collège des Jésuites, métamorphosé maintenant en caserne, présentait bien le même aspect qu'aujourd'hui; mais qu'est devenue l'église construite jadis à la place des halles actuelles? où est le bocage d'arbres séculaires, derrière ce temple, qui ornait la cour maintenant si nue, si déserte, de cette maison consacrée à l'éducation de la jeunesse canadienne? La hache et le temps, hélas! ont fait leur œuvre de destruction. Aux joyeux ébats, aux saillies spirituelles des jeunes élèves, aux pas graves des professeurs, qui s'y promenaient pour se délasser d'études profondes, aux entretiens de haute philosophie, ont succédé le cliquetis des armes, les propos de corps-de-garde,- souvent libres et saugrenus. A la place du marché actuel, des boucheries très-basses, contenant tout au plus sept à huit étaux occupaient une partie du terrain, entre la cathédrale et le collège. Entre ces bouche- ries et le collège coulait un ruisseau qui, descendant de la rue Saint-Louis, traversait la rue Côuillard et le jardin de l'Hôtel-Dieu, dans sa course vers la rivière Saint-Charles. Nos ancêtres avaient des goûts bucoliques très-prononcés ! »
  • « Collège des Jésuites », Archéologie à Québec, Lien
  • « Ancien collège des Jésuites (1825) », dans Vues anciennes de Québec Lien

Sans hydronyme, Îlot des Palais

  • « Îlot des Palais », Archéologie à Québec Lien
    • COMMENTAIRE, Sur une carte (non-disponible en ligne sur Library and Archives Canada), on voit le petit cours d'eau qui coule vers la rivière Saint-Charles.
  • Novembre 1929 - Bulletin des recherches historiques Lien
    • EXTRAIT, « Pour ce qui est du dehors, il a fait faire plusieurs canaux pour des fontaines, des bassins, des aqueducs, portés sur des murailles, quantité de remuments de terre inutiles, démoli entièrement la grande porte de la cour, brisé le perron de l'entrée du palais, brisé la fontaine qu'on appelle du Roi, percer la fortification, faire de nouveaux bâtiments dans le jardin, ce qu'il y a, Monseigneur, de certain, c'est qu'une grande partie de tous ces travaux sont imparfaits et il en couterait beaucoup s'il fallait les achever, et je puis dire qu'il sont très inutiles dans ce pays, puisque toutes ces fontaines et canaux seront gelés pendant plus de six mois de l'année (…) »

Sans hydronyme, Escalier du Faubourg

  • Février 2020 - Fiche de la Société historique de Québec au sujet de la première mention concernant une tannerie à Québec, Lien
    • INTÉGRAL, « Vers les années 1840, l'Angleterre met fin aux tarifs douaniers préférentiels sur le bois canadien. C'est ce qui entraine une diminution considérable du commerce du bois à Québec et des activités portuaires. Rapidement, l'industrie du cuir, puis de la chaussure, prendra le relais devenant momentanément la plus importante activité économique de la capitale. Cependant, il est faux de croire que c'est à ce moment qu'apparaissent les premières tanneries. En effet, un acte notarié parle d'une tannerie dans le faubourg Saint-Roch dès 1725. C'est la plus ancienne mention d'une tannerie à Québec. Elle était située sur la rue Saint-Vallier, à l'endroit où elle rencontre les actuelles rues Arago, Dorchester et de la Couronne, au pied de l'actuel escalier du Faubourg. Le tanneur Pierre Thomelet profitait alors d'une fontaine qui jaillissait de l'escarpement. Cette tannerie existait vraisemblablement bien avant cette date. L'odeur putride qui s'échappait de l'endroit retardera l'implantation d'habitations dans cette partie du faubourg. C'est d'ailleurs dans ce secteur que tous les autres tanneurs s'installeront plus tard au XIXe siècle. »

Anneau d'eau du domaine Maizerets

  • 9 juillet 2012 Vignette « Famille en chaloupe sur l’anneau d’eau du Domaine Maizerets vers 1930 » par la Société historique de Québec Lien
    • EXTRAIT, « Créé en 1849 selon les plans d’aménagement de l’abbé Jean Langevin, professeur de mathématiques au Séminaire de Québec, cet étang artificiel fera la joie des visiteurs du domaine pendant de longues années. Des embarcations y sont laissées sur place pour le plaisir de tous. La navigation paisible sur ce petit plan d’eau au décor enchanteur est une activité familiale ou romantique des plus courues depuis sa création. Les courses effrénées en canot autour de l’île Saint-Hyacinthe, elles, feront le bonheur des nombreux jeunes de passage dans la colonie de vacances Maizerets. »

Ruisseau Saint-Denys et ruisseau Belleborne

  • Fiche toponymique au sujet de la rue du Mont-Saint-Denis, Lien
    • INTÉGRAL, « Cette rue traverse l'ancien fief de Saint-Denys, dont une partie est concédée à Noël Juchereau des Chatelets en 1637 et l'autre à Jean Juchereau de Maur, son frère, en 1647. Un ruisseau, aussi appelé Saint-Denys, sépare alors cette propriété de la terre de Belleborne, future châtellenie de Coulonge. Le fief aura plusieurs propriétaires successifs parmi lesquels James Murray, premier gouverneur britannique de Québec (1760-1763). Vers 1810, le domaine est divisé en deux parties. Du côté est, on construit entre 1810 et 1819 une somptueuse villa baptisée Marchmont. Plusieurs membres de l'élite de Québec y habiteront tour à tour, jusqu'à ce que la propriété soit vendue aux Ursulines en 1901. Elle est devenue depuis le domaine Mérici. Quant à la partie ouest de l'ancien fief de Saint-Denys, elle prendra le nom de Wolfesfield et appartiendra à la famille Price. C'est là que va se développer le quartier du Mont-Saint-Denis, appelé aussi quartier de Saint-Denis. »
  • « Le Bois de Coulonge (1862-1962) », Office du tourisme, Lien
    • EXTRAIT, « Le domaine comprenait alors toute la partie est de Sillery, soit les terres bornées au sud par le Saint-Laurent, au nord par l'actuel chemin Saint-Foy, à l'ouest par le ruisseau Belleborne et à l'est par le ruisseau Saint-Denis. »
  • HARDY, Suzanne, « L'ancien domaine Woodfield: au coeur de l'histoire botanique nord-américaine », Lien
    • COMMENTAIRE, Il est mentionné, notamment, qu'un certain botaniste Pursh était ami avec le marchand de bois William Sheppard et sa conjointe Henrietta (dite Harriet Campbell) tous les deux grands amateurs de botaniques. Ces derniers ont vécu sur le domaine Woodfield de Sillery. Ils ont participé à recenser une partie de la flore nord-américaine. On dit aussi que « William Sheppard s'est même permis, en 1865, une escapade aux abords du ruisseau Belle-Borne en compagnie de l'historien naturaliste James McPherson Le Moine afin de lui enseigner les rudiments de l'étude des fougères. »
  • PROVOST, Honorius, « L'Anse du foulon, un cas de toponymie », dans Revue d'histoire de l'Amérique française Lien
    • COMMENTAIRE, À propos des moulins sur les ruisseaux Belleborne et Saint-Denys.
  • « Jean-Nicollet soit-disant de Belleborne » dans L'entraide généalogique, BAnQ : Lien
    • EXTRAIT, « « C'est Cyprien Tanguay qui le premier mentionne la chose dans son fameux dictionnaire : « Au contrat de mariage de Nicolas Bonhomme, il est appelé Jean Nicolet de Belleborne. – Greffe de Duquet, 2 sept. 1640. Il a laissé son nom de Belle-Borne au ruisseau, qui traversait sa terre, sur la route de Ste. Foye, où se trouve aujourd'hui, le monument des braves de 1760 ». Il y a bien un ruisseau de Belleborne qui marque la limite ouest de la terre concédée à Olivier Letardif et à Jean Nicollet par le gouverneur de Montmagny le 23 mai 1637. C'est donc le ruisseau qui aurait pu laisser son nom à Nicollet et non le contraire ! Au reste, cette terre est située dans l'actuel parc du Bois-de-Coulonge, au sud de la Grande-Allée, bien loin du monument des Braves. »
  • BRUNELLE-LAVOIE, Louise et Suzanne BRUNEL, « Étude de caractérisation de l'arrondissement historique de Sillery », BAnQ : Lien
    • EXTRAIT, « En 1651, il obtient d'Olivier Le Tardif l’anse où se jette le ruisseau Saint-Denys, au bas de la terre de Belleborne. En 1659, il accorde une pointe d’une superficie de neuf arpents à l’extrémité nord-ouest de sa terre à son autre fils, Jean Juchereau de La Ferté. Jean Juchereau de Maure habite sur la terre de Saint-Denys de 1651 à 1656. Il y possède un moulin à farine au bas du ruisseau Saint-Denys. »
  • La Charcotte, Le bulletin de La Société d’histoire de Sillery Volume 26, juin 2012 : Lien
    • EXTRAIT, « En 1710, le père Hubert bâtit un foulon (moulin à fouler l’étoffe pour produire du feutre) au pied du ruisseau Saint-Denys, près de l’actuelle côte Gilmour. Le moulin est abandonné au décès du père en 1734, mais sa présence subsiste à ce jour par le vocable « foulon » qui est attaché à l’anse où se déversait jadis le ruisseau, et au chemin de grève. »
  • Notes sur les registres de Notre-Dame de Québec, BAnQ : Lien
    • EXTRAIT, « Deux moulins à farine étaient érigés dans les environs; l'un, sur le ruisseau Saint-Denis, qui traverse le chemin du Cap-Rouge, près de la résidence du gouverneur ; le réservoir paraît avoir occupé la cavité avoisinante. Ce moulin, ainsi que le fief sur lequel il était, appartenait à M. Juchereau. Un second moulin était sur le ruisseau Belle-Borne, qui traverse la voie publique près de la demeure de M. Gibb ; il se trouvait sur une terre de 160 arpents concédée aux sieurs Nicollet et Olivier Le Tardif. » (p.74-75)

Anse Cul-de-sac

  • ROULEAU, Serge, « An archaeological view of the French colonial port of Québec », dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAITS, « Historically, the Québec shoreline featured a number of coves which provided rudimentary havens from the river current and temporary shelter from the wind and waves. However, the depth of the riverbed varied greatly in this stretch of the river: for example, there were deep waters off the cove known as Anse du Cul-de-Sac, whereas sites to the north generally had wide foreshores. » (p.230)
    • « Port du Culde-Sac, the oldest such harbour, was located in a cove of the same name, wedged between the cliffside and a spit of land known as Pointe aux Roches. » (p.230)
    • « The harbour activities conducted at Culde-Sac did not lead to the construction of many facilities. The structures that were built in the sector stemmed primarily from the establishment of the royal shipyard. As archaeological work could only be undertaken in the streets nearby, little information concerning the Cul-de-Sac sector has been found. Despite today’s office buildings, the site of this ‘port’ offers some archaeological potential: beneath today’s car parks and public roads there may lie harbour-related facilities and a number of royal shipyard structures. It is thought that a little over 65% of the Port du Cul-de-Sac archaeological site could survive below unoccupied spaces. » (p.240)
  • BAIN, Allison, Julie-Anne BOUCHARD-PERRON, Réginald AUGER et Daniel SIMONEAU, « Bugs, seeds and weeds at the Intendant’s Palace: a study of an evolving landscape », dans Post-Medieval Archaeology, 1 juin 2009, vol 43, edition 1
    • EXTRAIT, « The basin may have also been used to store the boats by submerging them when they were not in use. The engineer Jacques Levasseur de Néré proposed similar harbours in the Cul-de-Sac and Sault-au-Matelot sectors, which also allowed boats to enter at high tide. » (p.186)
rivieres/historiques.txt · Dernière modification : 2020/10/10 21:37 de achabot

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