* EXTRAIT, « La rue Saint-Paul: Jusqu'au début des années 1800, il n'était pas possible de se rendre en voiture de la basse-ville (actuel secteur de Place Royale) jusque dans le faubourg Saint-Roch. En effet, l'eau de l'estuaire de la rivière Saint-Charles venait battre le bas de la falaise. Seul un petit sentier permettait d'y passer, à marée basse seulement. Cependant, l'augmentation des activités portuaires et de la construction navale avait accru la circulation dans ce secteur. C'est pourquoi, en 1815, on décide d'ouvrir la rue Saint-Paul. Pour ce faire, on doit combler la rivière en construisant des quais, élargissant ainsi la berge. C'est le charpentier et arpenteur Jean-Baptiste Bédard qui décroche le contrat. C'est chose faite en 1817 alors que la rue Saint-Pierre et la côte de la Canoterie sont enfin reliées, et ce, peu importe la marée. C'est ce qui explique que les façades actuelles de la rue Saint-Paul étaient autrefois les murs arrière des bâtiments de la rue Sous-le-Cap. » | * EXTRAIT, « La rue Saint-Paul: Jusqu'au début des années 1800, il n'était pas possible de se rendre en voiture de la basse-ville (actuel secteur de Place Royale) jusque dans le faubourg Saint-Roch. En effet, l'eau de l'estuaire de la rivière Saint-Charles venait battre le bas de la falaise. Seul un petit sentier permettait d'y passer, à marée basse seulement. Cependant, l'augmentation des activités portuaires et de la construction navale avait accru la circulation dans ce secteur. C'est pourquoi, en 1815, on décide d'ouvrir la rue Saint-Paul. Pour ce faire, on doit combler la rivière en construisant des quais, élargissant ainsi la berge. C'est le charpentier et arpenteur Jean-Baptiste Bédard qui décroche le contrat. C'est chose faite en 1817 alors que la rue Saint-Pierre et la côte de la Canoterie sont enfin reliées, et ce, peu importe la marée. C'est ce qui explique que les façades actuelles de la rue Saint-Paul étaient autrefois les murs arrière des bâtiments de la rue Sous-le-Cap. » |