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   * **15 avril 1830** - L'épisode de la conquête britannique, dans « Histoire du Canada », //La bibliothèque canadienne//, Montréal, Tome IX. [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2270935?docsearchtext=cap-rouge|lien]]
+      * EXTRAIT, « Mais le chevalier de Lévis sentant combien il importait d’arriver devant Québec avant que les Anglais fussent instruits de sa marche, fit surmonter tous ces obstacles. M. de la Pause fut envoyé en avant, pour voir jusqu’où l’on pourrait aller en bateaux, et reconnaître la position des Anglais, qu’on savait avoir établi des postes depuis la ville jusqu’à l’embouchure de la rivière du Cap Rouge, dont ils gardaient le passage. Il ne parut pas possible de tenter avec succès le passage au bas de cette rivière, ni de faire un débarquement entre le Cap Rouge et Québec. Il fut donc résolu qu’on gagnerait l’intérieur des terres, et qu’on traverserait la rivière du Cap Rouge à deux lieues de son embouchure, pour, après avoir passé par la Vieille Lorette, et traversé les marais de la rivière de la Suette, retomber dans le grand chemin et s’emparer des hauteurs de Ste. Foy. »
-EXTRAIT, « Mais le chevalier de Lévis sentant combien il importait d’arriver devant Québec avant que les Anglais fussent instruits de sa marche, fit surmonter tous ces obstacles. M. de la Pause fut envoyé en avant, pour voir jusqu’où l’on pourrait aller en bateaux, et reconnaître la position des Anglais, qu’on savait avoir établi des postes depuis la ville jusqu’à l’embouchure de la rivière du Cap Rouge, dont ils gardaient le passage. Il ne parut pas possible de tenter avec succès le passage au bas de cette rivière, ni de faire un débarquement entre le Cap Rouge et Québec. Il fut donc résolu qu’on gagnerait l’intérieur des terres, et qu’on traverserait la rivière du Cap Rouge à deux lieues de son embouchure, pour, après avoir passé par la Vieille Lorette, et traversé les marais de la rivière de la Suette, retomber dans le grand chemin et s’emparer des hauteurs de Ste. Foy. »
   * **7 février 1834** - Discussion en chambre d'Assemblée sur la possible construction d'un pont-levis sur la rivière du Cap Rouge, dans //Le Canadien//. [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3454230?docsearchtext=rivi%C3%A8re%20cap%20rouge|lien]]
+      * COMMENTAIRE, M. Duchesnay, seigneur du Cap Rouge, prétend être propriétaire de la rivière, et avoir, pour lui seul, le privilège d'y construire un pont.
-COMMENTAIRE, M. Duchesnay, seigneur du Cap Rouge, prétend être propriétaire de la rivière, et avoir, pour lui seul, le privilège d'y construire un pont.
+      * EXTRAIT DES PROPOS DE M. HUOT, « Quoiqu’il en soit, je puis prétendre que cette dernière pétition a été présentée après les 15 jours, par M. Duchesnay, qui a sur la rivière du Cap-Rouge un Bac qui lui donne beaucoup de profit, et qui n’aimerait pas y voir un pont. Mais, quel droit peut-il avoir sur cette rivière? N’est-il pas constant qu’elle est navigable, et que pour cette raison il ne peut y avoir aucun droit. »
-EXTRAIT DES PROPOS DE M. HUOT, « Quoiqu’il en soit, je puis prétendre que cette dernière pétition a été présentée après les 15 jours, par M. Duchesnay, qui a sur la rivière du Cap-Rouge un Bac qui lui donne beaucoup de profit, et qui n’aimerait pas y voir un pont. Mais, quel droit peut-il avoir sur cette rivière? N’est-il pas constant qu’elle est navigable, et que pour cette raison il ne peut y avoir aucun droit. »
   * **12 février 1834** - La suite de l'épisode sur le pont-levis, dans //Le Canadien//. [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3454232?docsearchtext=rivi%C3%A8re%20cap%20rouge|lien]]
+      * COMMENTAIRE, Les citoyens et les citoyennes des paroisses de Saint-Augustin et Sainte-Foy sont autorisés à bâtir un pont de péage sur la rivière Carouge.
-COMMENTAIRE, Les citoyens et les citoyennes des paroisses de Saint-Augustin et Sainte-Foy sont autorisés à bâtir un pont de péage sur la rivière Carouge.
   * **21 juin 1843** - Un extrait de Voyages de Cartier et de Roberval en Canada, dans //Le Canadien//. [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3455670?docsearchtext=rivi%C3%A8re%20cap%20rouge|lien]]
+      * EXTRAIT, « Dès qu'il eut appris la présence de M. de Roberval, il alla le visiter. Il lui montra certains diamants (quartz de roche) et une quantité de paillettes d'or; et lui dit qu'il avait trouvé celles-ci dans le sable de la rivière du Cap-Rouge, et les diamants dans le flanc de la montagne. La principale occupations des Européens de ce temps-là dans leurs voyages de découvertes, c'était la recherche des métaux précieux. »
-EXTRAIT, « Dès qu'il eut appris la présence de M. de Roberval, il alla le visiter. Il lui montra certains diamants (quartz de roche) et une quantité de paillettes d'or; et lui dit qu'il avait trouvé celles-ci dans le sable de la rivière du Cap-Rouge, et les diamants dans le flanc de la montagne. La principale occupations des Européens de ce temps-là dans leurs voyages de découvertes, c'était la recherche des métaux précieux. »
   * **31 août 1847** - À propos de travaux publics à l'embouchure de la rivière du Cap Rouge, par ROBIDGE et BAILLARGÉ, dans //Le journal de Québec//. [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2645439?docsearchtext=rivi%C3%A8re%20cap%20rouge|lien]]
+      * EXTRAIT, « (...) et doivent y être encore pour explorer l’embouchure de la rivière du Cap-Rouge et voir s’il ne serait pas possible d’y construire des docks flottants et des docks d’échouage. (...) Il s’agit de l’avenir du commerce. On parait convaincu que Québec est destiné à devenir avant peu le grand entrepôt du commerce des deux Canadas avec l’Europe, et, comme de raison, il faut des lieux sûrs, des ports à l’abri des naufrage, et des bassins capables de recevoir les bâtiments et les produits de toutes les nations. Le Cap-Rouge serait la place de prédilection de quelques marchands, auteurs de la requête dont nous avons parlé plus haut. »
-EXTRAIT, « (...) et doivent y être encore pour explorer l’embouchure de la rivière du Cap-Rouge et voir s’il ne serait pas possible d’y construire des docks flottants et des docks d’échouage. (...) Il s’agit de l’avenir du commerce. On parait convaincu que Québec est destiné à devenir avant peu le grand entrepôt du commerce des deux Canadas avec l’Europe, et, comme de raison, il faut des lieux sûrs, des ports à l’abri des naufrage, et des bassins capables de recevoir les bâtiments et les produits de toutes les nations. Le Cap-Rouge serait la place de prédilection de quelques marchands, auteurs de la requête dont nous avons parlé plus haut. »
   * **13 décembre 1859** - Témoignage après une fête célébrée en l'honneur de l'Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie, dans //Le journal de Québec//. [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2647393?docsearchtext=rivi%C3%A8re%20cap%20rouge|lien]]
+      * EXTRAIT, « Hier encore, on le peut dire, il n’existait rien sur les bords de la rivière du Cap-Rouge, quoique depuis déjà trois siècle et un quart, un intrépide et hardi navigateur de Saint-Malo, l’immortel Jacques Cartier, l’abordait en donnant à son rivage le nom de Charlebourg-Royal, et y établissait ses quartiers d’hiver, pour lui et sa troupe de hardis marins. (...) Depuis longtemps les hordes sauvages, dont il eut tant à appréhender, ont fui loin de ce rivage, et leur race est anéantie; mais je le répète pour la troisième fois, hier encore, depuis 324 ans, il n’y avait sur le rivage de cette magnifique baie du Charlesbourg-Royal, ou du Cap-Rouge, si on l’aime mieux, que le progrès du commerce et de l’agriculture voilà tout. (...) une jolie église, dis-je, s’élève sur les bords élevés de la rivière, et mire l’élégance de sa taille sur l’eau tranquille qu’elle ombrage. »
-EXTRAIT, « Hier encore, on le peut dire, il n’existait rien sur les bords de la rivière du Cap-Rouge, quoique depuis déjà trois siècle et un quart, un intrépide et hardi navigateur de Saint-Malo, l’immortel Jacques Cartier, l’abordait en donnant à son rivage le nom de Charlebourg-Royal, et y établissait ses quartiers d’hiver, pour lui et sa troupe de hardis marins. (...) Depuis longtemps les hordes sauvages, dont il eut tant à appréhender, ont fui loin de ce rivage, et leur race est anéantie; mais je le répète pour la troisième fois, hier encore, depuis 324 ans, il n’y avait sur le rivage de cette magnifique baie du Charlesbourg-Royal, ou du Cap-Rouge, si on l’aime mieux, que le progrès du commerce et de l’agriculture voilà tout. (...) une jolie église, dis-je, s’élève sur les bords élevés de la rivière, et mire l’élégance de sa taille sur l’eau tranquille qu’elle ombrage. »
   * **13 octobre 1862** - À propos de l'industrie de la poterie de monsieur Howison et Chartré, dans //Le Courrier du Canada//. [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2533695?docsearchtext=rivi%C3%A8re%20cap%20rouge|lien]]
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   * **8 juin 1999** - Canalisation du ruisseau de la Suète, dans //Le Soleil// (page A3) [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2933867?docsearchtext=Suette|lien]]
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+===== Ruisseau Bélair =====
+  * **Décembre 2018 - Janvier 2019** - //L'écho de Cap-Rouge//, BAnQ : [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3268307?docref=BD8SNA9WfGrru_1kByzdng&docsearchtext=ruisseau%20b%C3%A9lair|Lien]]
+      * EXTRAIT, « C’est  donc  pour  l’ensemble  de  ces  raisons  que  le  CBRCR  réalise  actuellement  une   caractérisation des berges et inventorie l’ensemble des éléments pouvant dégrader la qualité  de  l’eau  de  la  rivière  du  Cap  Rouge.  Cette  caractérisation  devrait  se  poursuivre  jusqu’à   l’automne 2019 et viser également certains des tributaires de la rivière comme les ruisseaux Bélair et d’Eau Claire. Il importe de pouvoir statuer, à terme, de l’état de santé des cours d’eau du bassin versant et ainsi, cibler les zones méritant une intervention. »
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+===== Ruisseau d'Eau-Claire =====
+  * **6 août 1968** - « L'eau à l'Ancienne-Lorette », dans //Le Soleil//, BAnQ : [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3169825?docsearchtext=ruisseau%20d%27eau-claire|Lien]]
+      * EXTRAIT, « Les résidents de l'Ancienne-Lorette espèrent être en mesure de s'approvisionner normalement en eau potable au cours de la journée d'aujourd’hui. Tard hier, on s'affairait à terminer le nettoyage du "ruisseau d'eau claire” , dont l'eau avait été souillée, mardi dernier, par un herbicide. Depuis ce temps, les résidents de cette localité s ’ approvisionnent en eau potable au moyen de camion-citerne de la ville de Sainte-Foy. Cette source, qui a un débit de 300 gallons-minute est la principale source d'approvisionnement pour l ’Ancienne-Lorette. Un employé de l'Hydro-Québec, affecté à l'élimination des mauvaises herbes, le long des lignes de transmissions, à proximité de cette localité, a, par erreur, déversé un contenant rempli d'herbicide dans la source, mardi dernier. »
+  * **9 juillet 1993** - « Les citoyens de Chauveau rejettent l'eau du fleuve », dans //Le Soleil//, BAnQ : [[https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2733407?docsearchtext=ruisseau%2520d%2527eau-claire|Lien]]
+      * EXTRAIT, « « M. Jean-Pierre Amyot, lequel conteste les allégations de la ville de Sainte-Foy selon lesquelles l'eau de fleuve est  de meilleure qualité que celle du lac aux Feuilles, une source desservie par le ruisseau d'Eau-claire du mont Bélair. « Nous avons demandé le résultat des analyses physico-chimiques pour prouver les allégations  de la ville, mais sans succès. L'eau du ruisseau d’Eau-claire est de si bonne qualité qu’une entreprise y puise son  eau de  source sans  presque aucun traitement », observe M. Amyot. »
+  * **Novembre 2008** - La caisse populaire de Saint-Augustin-de-Desmaures s’associe au Conseil de bassin de la  rivière du Cap Rouge pour vous présenter « Le bassin versant de la  rivière du Cap Rouge » dans //Le journal de Saint-Augustin-de-Desmaures, Vol. 2, num. 5// : « [...] Dans son bassin versant, la  rivière du Cap Rouge  prend sa source au mont Bélair à travers le ruisseau d’Eau Claire et coule vers l’est jusqu’au fleuve Saint-Laurent. »
+      *  Accompagné d’une carte des ruisseaux qui mènent à la rivière Cap-Rouge.