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rivieres:historiques

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 ==== Sans hydronyme, Îlot des Palais ==== ==== Sans hydronyme, Îlot des Palais ====
  
-  * « Îlot des Palais », //Archéologie à Québec// [[http://archeologie.ville.quebec.qc.ca/sites/ilot-des-palais/ilot-des-palais-le-premier-palais-de-l-intendant/|lien]]+  * « Îlot des Palais », //Archéologie à Québec// [[http://archeologie.ville.quebec.qc.ca/sites/ilot-des-palais/ilot-des-palais-le-premier-palais-de-l-intendant/|Lien]]
       * COMMENTAIRE, Sur une carte (non-disponible en ligne sur Library and Archives Canada), on voit le petit cours d'eau qui coule vers la rivière Saint-Charles.       * COMMENTAIRE, Sur une carte (non-disponible en ligne sur Library and Archives Canada), on voit le petit cours d'eau qui coule vers la rivière Saint-Charles.
  
-  * **Novembre 1929** - //Bulletin des recherches historiques// [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2657351?docsearchtext=jardin%20palais%20intendant|lien]]+  * **Novembre 1929** - //Bulletin des recherches historiques// [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2657351?docsearchtext=jardin%20palais%20intendant|Lien]]
       * EXTRAIT, « Pour ce qui est du dehors, il a fait faire plusieurs canaux pour des fontaines, des bassins, des aqueducs, portés sur des murailles, quantité de remuments de terre inutiles, démoli entièrement la grande porte de la cour, brisé le perron de l'entrée du palais, brisé la fontaine qu'on appelle du Roi, percer la fortification, faire de nouveaux bâtiments dans le jardin, ce qu'il y a, Monseigneur, de certain, c'est qu'une grande partie de tous ces travaux sont imparfaits et il en couterait beaucoup s'il fallait les achever, et je puis dire qu'il sont très inutiles dans ce pays, puisque toutes ces fontaines et canaux seront gelés pendant plus de six mois de l'année (...) »       * EXTRAIT, « Pour ce qui est du dehors, il a fait faire plusieurs canaux pour des fontaines, des bassins, des aqueducs, portés sur des murailles, quantité de remuments de terre inutiles, démoli entièrement la grande porte de la cour, brisé le perron de l'entrée du palais, brisé la fontaine qu'on appelle du Roi, percer la fortification, faire de nouveaux bâtiments dans le jardin, ce qu'il y a, Monseigneur, de certain, c'est qu'une grande partie de tous ces travaux sont imparfaits et il en couterait beaucoup s'il fallait les achever, et je puis dire qu'il sont très inutiles dans ce pays, puisque toutes ces fontaines et canaux seront gelés pendant plus de six mois de l'année (...) »
  
 ==== Sans hydronyme, Escalier du Faubourg ==== ==== Sans hydronyme, Escalier du Faubourg ====
  
-  * **Février 2020** - Fiche de la //Société historique de Québec// au sujet de la première mention concernant une tannerie à Québec, [[https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2814294005298157&id=157594394301478|lien]]+  * **Février 2020** - Fiche de la //Société historique de Québec// au sujet de la première mention concernant une tannerie à Québec, [[https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2814294005298157&id=157594394301478|Lien]]
       * INTÉGRAL, « Vers les années 1840, l'Angleterre met fin aux tarifs douaniers préférentiels sur le bois canadien. C'est ce qui entraine une diminution considérable du commerce du bois à Québec et des activités portuaires. Rapidement, l'industrie du cuir, puis de la chaussure, prendra le relais devenant momentanément la plus importante activité économique de la capitale. Cependant, il est faux de croire que c'est à ce moment qu'apparaissent les premières tanneries. En effet, un acte notarié parle d'une tannerie dans le faubourg Saint-Roch dès 1725. C'est la plus ancienne mention d'une tannerie à Québec. Elle était située sur la rue Saint-Vallier, à l'endroit où elle rencontre les actuelles rues Arago, Dorchester et de la Couronne, au pied de l'actuel escalier du Faubourg. Le tanneur Pierre Thomelet profitait alors d'une fontaine qui jaillissait de l'escarpement. Cette tannerie existait vraisemblablement bien avant cette date. L'odeur putride qui s'échappait de l'endroit retardera l'implantation d'habitations dans cette partie du faubourg. C'est d'ailleurs dans ce secteur que tous les autres tanneurs s'installeront plus tard au XIXe siècle. »       * INTÉGRAL, « Vers les années 1840, l'Angleterre met fin aux tarifs douaniers préférentiels sur le bois canadien. C'est ce qui entraine une diminution considérable du commerce du bois à Québec et des activités portuaires. Rapidement, l'industrie du cuir, puis de la chaussure, prendra le relais devenant momentanément la plus importante activité économique de la capitale. Cependant, il est faux de croire que c'est à ce moment qu'apparaissent les premières tanneries. En effet, un acte notarié parle d'une tannerie dans le faubourg Saint-Roch dès 1725. C'est la plus ancienne mention d'une tannerie à Québec. Elle était située sur la rue Saint-Vallier, à l'endroit où elle rencontre les actuelles rues Arago, Dorchester et de la Couronne, au pied de l'actuel escalier du Faubourg. Le tanneur Pierre Thomelet profitait alors d'une fontaine qui jaillissait de l'escarpement. Cette tannerie existait vraisemblablement bien avant cette date. L'odeur putride qui s'échappait de l'endroit retardera l'implantation d'habitations dans cette partie du faubourg. C'est d'ailleurs dans ce secteur que tous les autres tanneurs s'installeront plus tard au XIXe siècle. »
  
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   * PROVOST, Honorius, « L'Anse du foulon, un cas de toponymie », dans //Revue d'histoire de l'Amérique française// [[https://www.erudit.org/fr/revues/haf/1974-v28-n1-haf2059/303329ar.pdf|Lien]]   * PROVOST, Honorius, « L'Anse du foulon, un cas de toponymie », dans //Revue d'histoire de l'Amérique française// [[https://www.erudit.org/fr/revues/haf/1974-v28-n1-haf2059/303329ar.pdf|Lien]]
       * COMMENTAIRE, À propos des moulins sur les ruisseaux Belleborne et Saint-Denys.       * COMMENTAIRE, À propos des moulins sur les ruisseaux Belleborne et Saint-Denys.
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 +  * « Jean-Nicollet soit-disant de Belleborne » dans //L'entraide généalogique//, BAnQ : [[https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4018819docref=R4jGop4cKPMjlBAEZR36qQ&docsearchtext=ruisseau%20belleborne|Lien]]
 +      * EXTRAIT, « « C'est Cyprien Tanguay qui le premier mentionne la chose dans son fameux  dictionnaire : « Au contrat de mariage  de Nicolas Bonhomme, il est appelé  Jean Nicolet de Belleborne. – Greffe de  Duquet, 2 sept.  1640. Il a laissé son nom  de  Belle-Borne   au ruisseau, qui traversait sa terre, sur la route de Ste. Foye, où se  trouve aujourd'hui, le monument des  braves de 1760 ». Il y a bien un ruisseau de Belleborne qui marque la limite ouest de la terre concédée à Olivier Letardif et à Jean  Nicollet par le gouverneur de Montmagny  le 23 mai 1637.  C'est donc le ruisseau qui aurait pu laisser son nom à Nicollet et non  le contraire ! Au reste, cette terre est située  dans l'actuel parc du Bois-de-Coulonge,  au sud de la Grande-Allée, bien loin du  monument des Braves. » 
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 +  * BRUNELLE-LAVOIE, Louise et Suzanne BRUNEL, « Étude de caractérisation de l'arrondissement historique de Sillery », BAnQ : [[https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/50670?docref=igsMunpip7nIJ2VaVLq58g&docsearchtext=ruisseau%20saint-denys|Lien]]
 +      * EXTRAIT, « En 1651, il obtient d'Olivier Le Tardif l’anse où se jette le ruisseau Saint-Denys, au bas de la terre de Belleborne. En 1659, il accorde une pointe d’une superficie de neuf arpents à l’extrémité nord-ouest de sa terre à son autre fils, Jean Juchereau de La Ferté. Jean Juchereau de Maure habite sur la terre de Saint-Denys de 1651 à 1656. Il y possède un moulin à farine au bas du ruisseau Saint-Denys. » 
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 +  * La Charcotte, Le bulletin de La Société d’histoire de Sillery Volume 26, juin 2012 : [[http://www.sillery-quebec.com/Charcotte_Brulart_v8.pdf|Lien]]
 +      * EXTRAIT, « En 1710, le père Hubert bâtit un foulon (moulin à fouler l’étoffe pour produire du feutre) au pied du ruisseau Saint-Denys, près de l’actuelle côte Gilmour. Le moulin est abandonné au décès du père en 1734, mais sa présence subsiste à ce jour par le vocable « foulon » qui est attaché à l’anse où se déversait jadis le ruisseau, et au chemin de grève. » 
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 +  * Notes sur les registres de Notre-Dame de Québec, BAnQ : [[https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2022422?docref=o33zZgdYVJcaNz9B5TTNcg&docsearchtext=ruisseau%20rouge|Lien]] 
 +      * EXTRAIT, « Deux moulins à farine étaient érigés dans les environs; l'un, sur le ruisseau Saint-Denis, qui traverse le chemin du Cap-Rouge, près de la résidence du gouverneur ; le réservoir paraît avoir occupé la  cavité  avoisinante. Ce  moulin, ainsi que le fief sur lequel il était, appartenait à M. Juchereau. Un second  moulin  était sur le ruisseau Belle-Borne, qui traverse la voie publique près de la demeure de M. Gibb ; il se  trouvait sur une terre de 160 arpents concédée aux sieurs Nicollet et Olivier Le Tardif. » (p.74-75)
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 ==== Anse Cul-de-sac ==== ==== Anse Cul-de-sac ====
rivieres/historiques.1602358339.txt.gz · Dernière modification : 2020/10/10 15:32 de achabot

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