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===== Bassin versant de la rivière Montmorency ===== | ===== Bassin versant de la rivière Montmorency ===== |
* Le Bas-du-Sault-de-Montmorency (avant 1889) dans Vues anciennes de Québec [[https://histoireurbaine.wordpress.com/2016/06/02/le-bas-du-sault-avant-1889/|lien]] | * Le Bas-du-Sault-de-Montmorency (avant 1889) dans //Vues anciennes de Québec// [[https://histoireurbaine.wordpress.com/2016/06/02/le-bas-du-sault-avant-1889/|Lien]] |
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* Jean-François Simard, //Montmorency, Histoire d'une communauté ouvrière//, 2001 [[http://banq.pretnumerique.ca/accueil/isbn/9782896642588|lien]] | * SIMARD, Jean-François Simard //Montmorency, Histoire d'une communauté ouvrière//, 2001 [[http://banq.pretnumerique.ca/accueil/isbn/9782896642588|Lien]] |
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* Étude de caractérisation de l'arrondissement historique de Sillery [[http://www.cpcq.gouv.qc.ca/fileadmin/user_upload/docs/Sillery.pdf|lien]] | * Étude de caractérisation de l'arrondissement historique de Sillery [[http://www.cpcq.gouv.qc.ca/fileadmin/user_upload/docs/Sillery.pdf|lien]] |
| * // - NOTE, Voir les sections « La terre de Saint-Denys » pour en apprendre plus sur le ruisseau Saint-Denys et « La châtellenie de Coulonge » pour en savoir plus sur le ruisseau Belleborne.// |
// - NOTE, Voir les sections « La terre de Saint-Denys » pour en apprendre plus sur le ruisseau Saint-Denys et « La châtellenie de Coulonge » pour en savoir plus sur le ruisseau Belleborne.// | * EXTRAIT, « L’histoire moderne de Sillery remonte à l’établissement de ces missionnaires dans l’anse Saint-Joseph(Kamiskoua-Ouangachit) en 1637. Le choix du site s’impose notamment parce que les Amérindiens s’y rassemblent à chaque automne pour pêcher l’anguille. Les Jésuites veulent sédentariser les Amérindiens en les groupant près de Québec afin de leur enseigner l’agriculture et la religion. C’était la première tentative de ce genre en Nouvelle-France. Leur première maison fut construite dès 1637 et, six ans plus tard, la mission de Sillery comptait environ trente-cinq familles amérindiennes (principalement des Innus, Algonquins et Atikamekws), constituant un noyau fondateur. Abandonnée après l’incendie de la chapelle et de la maison principale en 1657, la mission fut restaurée en 1660, puis fermée de nouveau pour être remplacée en 1698 par la mission de Sainte-Foy. » |
* EXTRAIT, « L’histoire moderne de Sillery remonte à l’établissement de ces missionnaires dans l’anse Saint-Joseph(Kamiskoua-Ouangachit) en 1637. Le choix du site s’impose notamment parce que les Amérindiens | |
s’y rassemblent à chaque automne pour pêcher l’anguille. Les Jésuites veulent sédentariser les | |
Amérindiens en les groupant près de Québec afin de leur enseigner l’agriculture et la religion. C’était | |
la première tentative de ce genre en Nouvelle-France. Leur première maison fut construite dès 1637 | |
et, six ans plus tard, la mission de Sillery comptait environ trente-cinq familles amérindiennes | |
(principalement des Innus, Algonquins et Atikamekws), constituant un noyau fondateur. Abandonnée | |
après l’incendie de la chapelle et de la maison principale en 1657, la mission fut restaurée en 1660, | |
puis fermée de nouveau pour être remplacée en 1698 par la mission de Sainte-Foy. » | |
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* Plan de conservation, site patrimonial de Sillery [[http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/bs2273639|lien]] | * Plan de conservation, site patrimonial de Sillery [[http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/bs2273639|lien]] |
==== Sans hydronyme, Rue des Jardins ==== | ==== Sans hydronyme, Rue des Jardins ==== |
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* Fouille et surveillance archéologique du site du Collège des Jésuites de Québec, 2014 [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2718274?docref=ChCaDyUw0VDZJwCqRRasGQ&docsearchtext=ruisseau%20j%C3%A9suites|lien]] | * Fouille et surveillance archéologique du site du //Collège des Jésuites de Québec//, 2014 [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2718274?docref=ChCaDyUw0VDZJwCqRRasGQ&docsearchtext=ruisseau%20j%C3%A9suites|Lien]] |
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* Rapport de la surveillance archéologique effectuée à l'Hôtel de ville de Québec, 2013 [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2718280?docref=B9lobSiE2w6tMTXjhh6luw&docsearchtext=jardin%20palais%20intendant|lien]] | * Rapport de la surveillance archéologique effectuée à l'Hôtel de ville de Québec, 2013 [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2718280?docref=B9lobSiE2w6tMTXjhh6luw&docsearchtext=jardin%20palais%20intendant|Lien]] |
* COMMENTAIRE, À la page 18 du document, une carte représentant la ville de Québec illustre le tracé du ruisseau. Il se divise en deux ramifications, l'une passant sur la rue Couillard, l'autre suivant la Côte de la Fabrique. On remarque aussi qu'il y avait un moulin (L) près de l'enceinte du Collège. | * COMMENTAIRE, À la page 18 du document, une carte représentant la ville de Québec illustre le tracé du ruisseau. Il se divise en deux ramifications, l'une passant sur la rue Couillard, l'autre suivant la Côte de la Fabrique. On remarque aussi qu'il y avait un moulin (L) près de l'enceinte du Collège. |
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* Tablette historique, Annuaires de la ville de Québec 1925-1926, Adresse des résidents de Québec [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3691753?docsearchtext=ruisseau%20j%C3%A9suites|lien]] | * Tablette historique, //Annuaires de la ville de Québec 1925-1926//, Adresse des résidents de Québec [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3691753?docsearchtext=ruisseau%20j%C3%A9suites|Lien]] |
* INTÉGRAL, « Coin des rues Ste-Anne et des Jardins Maison ou magasin de la Compagnie des Cent-Associée, église paroissiale, temporaire et résidence des Jésuites, 1640-1657, un ruisseau considérable sur lequel il y avait un petit pont, descendait là de la citadelle. (...) This stream is now under cover. » | * INTÉGRAL, « Coin des rues Ste-Anne et des Jardins Maison ou magasin de la Compagnie des Cent-Associée, église paroissiale, temporaire et résidence des Jésuites, 1640-1657, un ruisseau considérable sur lequel il y avait un petit pont, descendait là de la citadelle. (...) This stream is now under cover. » |
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* Fêtes du 3ième centenaire, juin 1925 [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3246657?docref=kA_5AulgITAZxCuB2EZzZg&docsearchtext=ruisseau%20j%C3%A9suites|lien]] | * Fêtes du 3ième centenaire, juin 1925 [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3246657?docref=kA_5AulgITAZxCuB2EZzZg&docsearchtext=ruisseau%20j%C3%A9suites|Lien]] |
* EXTRAIT, « Ainsi le 28 juillet 1758, se donnait au Collège une grande représentation dramatique. Ce spectacle avait pour objet de célébrer l'arrivée du Vicomte d'Argenson. On joua devant lui une allégorie où figuraient, outre le génie de la France et celui des forêts, des Français et des Indiens, ces derniers s'exprimant dans leurs dialectes respectifs. Il est facile d'imaginer la joie des acteurs et la satisfaction de l'auditoire. Pareilles aubaines étaient forcément rares. Mais la jeunesse d'alors ne manquait pas de distraction. Elle regardait circulaire les sauvages et s'amusait fort, d'après Ernest Gagnon, à jouer dans le ruisseau qui descendait du Cap Diamant et coulait par une succession de petites cascades, en face du Collège. » | * EXTRAIT, « Ainsi le 28 juillet 1758, se donnait au Collège une grande représentation dramatique. Ce spectacle avait pour objet de célébrer l'arrivée du Vicomte d'Argenson. On joua devant lui une allégorie où figuraient, outre le génie de la France et celui des forêts, des Français et des Indiens, ces derniers s'exprimant dans leurs dialectes respectifs. Il est facile d'imaginer la joie des acteurs et la satisfaction de l'auditoire. Pareilles aubaines étaient forcément rares. Mais la jeunesse d'alors ne manquait pas de distraction. Elle regardait circulaire les sauvages et s'amusait fort, d'après Ernest Gagnon, à jouer dans le ruisseau qui descendait du Cap Diamant et coulait par une succession de petites cascades, en face du Collège. » |
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* Histoire des fortifications et des rues de Québec par James McPherson LeMoine, 1875 [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2022322?docref=juYhU1_POI6tPKjLb0VhJA&docsearchtext=brasserie%20talon|lien]] | * MCPHERSON LEMOINE, James, //Histoire des fortifications et des rues de Québec//, 1875 [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2022322?docref=juYhU1_POI6tPKjLb0VhJA&docsearchtext=brasserie%20talon|Lien]] |
* EXTRAIT, « Le collège des Jésuites, métamorphosé maintenant en caserne, présentait bien le même aspect qu'aujourd'hui; mais qu'est devenue l'église construite jadis à la place des halles actuelles? où est le bocage d'arbres séculaires, derrière ce temple, qui ornait la cour maintenant si nue, si déserte, de cette maison consacrée à l'éducation de la jeunesse canadienne? La hache et le temps, hélas! ont fait leur œuvre de destruction. Aux joyeux ébats, aux saillies spirituelles des jeunes élèves, aux pas graves des professeurs, qui s'y promenaient pour se délasser d'études profondes, aux entretiens de haute philosophie, ont succédé le cliquetis des armes, les propos de corps-de-garde,- souvent libres et saugrenus. A la place du marché actuel, des boucheries très-basses, contenant tout au plus sept à huit étaux occupaient une partie du terrain, entre la cathédrale et le collège. Entre ces bouche- ries et le collège coulait un ruisseau qui, descendant de la rue Saint-Louis, traversait la rue Côuillard et le jardin de l'Hôtel-Dieu, dans sa course vers la rivière Saint-Charles. Nos ancêtres avaient des goûts bucoliques très-prononcés ! » | * EXTRAIT, « Le collège des Jésuites, métamorphosé maintenant en caserne, présentait bien le même aspect qu'aujourd'hui; mais qu'est devenue l'église construite jadis à la place des halles actuelles? où est le bocage d'arbres séculaires, derrière ce temple, qui ornait la cour maintenant si nue, si déserte, de cette maison consacrée à l'éducation de la jeunesse canadienne? La hache et le temps, hélas! ont fait leur œuvre de destruction. Aux joyeux ébats, aux saillies spirituelles des jeunes élèves, aux pas graves des professeurs, qui s'y promenaient pour se délasser d'études profondes, aux entretiens de haute philosophie, ont succédé le cliquetis des armes, les propos de corps-de-garde,- souvent libres et saugrenus. A la place du marché actuel, des boucheries très-basses, contenant tout au plus sept à huit étaux occupaient une partie du terrain, entre la cathédrale et le collège. Entre ces bouche- ries et le collège coulait un ruisseau qui, descendant de la rue Saint-Louis, traversait la rue Côuillard et le jardin de l'Hôtel-Dieu, dans sa course vers la rivière Saint-Charles. Nos ancêtres avaient des goûts bucoliques très-prononcés ! » |
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* Collège des Jésuites, Archéologie à Québec [[http://archeologie.ville.quebec.qc.ca/sites/college-des-jesuites/histoire-du-college-des-jesuites/|lien]] | * « Collège des Jésuites », //Archéologie à Québec//, [[http://archeologie.ville.quebec.qc.ca/sites/college-des-jesuites/histoire-du-college-des-jesuites/|Lien]] |
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* Ancien collège des Jésuites (1825), dans Vues anciennes de Québec [[https://histoireurbaine.wordpress.com/2015/11/19/lancien-college-des-jesuites-1825/|lien]] | * « Ancien collège des Jésuites (1825) », dans //Vues anciennes de Québec// [[https://histoireurbaine.wordpress.com/2015/11/19/lancien-college-des-jesuites-1825/|Lien]] |
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==== Sans hydronyme, Îlot des Palais ==== | ==== Sans hydronyme, Îlot des Palais ==== |
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* Îlot des Palais, Archéologie à Québec [[http://archeologie.ville.quebec.qc.ca/sites/ilot-des-palais/ilot-des-palais-le-premier-palais-de-l-intendant/|lien]] | * « Îlot des Palais », //Archéologie à Québec// [[http://archeologie.ville.quebec.qc.ca/sites/ilot-des-palais/ilot-des-palais-le-premier-palais-de-l-intendant/|Lien]] |
* COMMENTAIRE, Sur une carte (non-disponible en ligne sur Library and Archives Canada), on voit le petit cours d'eau qui coule vers la rivière Saint-Charles. | * COMMENTAIRE, Sur une carte (non-disponible en ligne sur Library and Archives Canada), on voit le petit cours d'eau qui coule vers la rivière Saint-Charles. |
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* **Novembre 1929** - Bulletin des recherches historiques [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2657351?docsearchtext=jardin%20palais%20intendant|lien]] | * **Novembre 1929** - //Bulletin des recherches historiques// [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2657351?docsearchtext=jardin%20palais%20intendant|Lien]] |
* EXTRAIT, « Pour ce qui est du dehors, il a fait faire plusieurs canaux pour des fontaines, des bassins, des aqueducs, portés sur des murailles, quantité de remuments de terre inutiles, démoli entièrement la grande porte de la cour, brisé le perron de l'entrée du palais, brisé la fontaine qu'on appelle du Roi, percer la fortification, faire de nouveaux bâtiments dans le jardin, ce qu'il y a, Monseigneur, de certain, c'est qu'une grande partie de tous ces travaux sont imparfaits et il en couterait beaucoup s'il fallait les achever, et je puis dire qu'il sont très inutiles dans ce pays, puisque toutes ces fontaines et canaux seront gelés pendant plus de six mois de l'année (...) » | * EXTRAIT, « Pour ce qui est du dehors, il a fait faire plusieurs canaux pour des fontaines, des bassins, des aqueducs, portés sur des murailles, quantité de remuments de terre inutiles, démoli entièrement la grande porte de la cour, brisé le perron de l'entrée du palais, brisé la fontaine qu'on appelle du Roi, percer la fortification, faire de nouveaux bâtiments dans le jardin, ce qu'il y a, Monseigneur, de certain, c'est qu'une grande partie de tous ces travaux sont imparfaits et il en couterait beaucoup s'il fallait les achever, et je puis dire qu'il sont très inutiles dans ce pays, puisque toutes ces fontaines et canaux seront gelés pendant plus de six mois de l'année (...) » |
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==== Sans hydronyme, Escalier du Faubourg ==== | ==== Sans hydronyme, Escalier du Faubourg ==== |
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* **Février 2020** - Fiche de la Société historique de Québec au sujet de la première mention concernant une tannerie à Québec, [[https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2814294005298157&id=157594394301478|lien]] | * **Février 2020** - Fiche de la //Société historique de Québec// au sujet de la première mention concernant une tannerie à Québec, [[https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2814294005298157&id=157594394301478|Lien]] |
* INTÉGRAL, « Vers les années 1840, l'Angleterre met fin aux tarifs douaniers préférentiels sur le bois canadien. C'est ce qui entraine une diminution considérable du commerce du bois à Québec et des activités portuaires. Rapidement, l'industrie du cuir, puis de la chaussure, prendra le relais devenant momentanément la plus importante activité économique de la capitale. Cependant, il est faux de croire que c'est à ce moment qu'apparaissent les premières tanneries. En effet, un acte notarié parle d'une tannerie dans le faubourg Saint-Roch dès 1725. C'est la plus ancienne mention d'une tannerie à Québec. Elle était située sur la rue Saint-Vallier, à l'endroit où elle rencontre les actuelles rues Arago, Dorchester et de la Couronne, au pied de l'actuel escalier du Faubourg. Le tanneur Pierre Thomelet profitait alors d'une fontaine qui jaillissait de l'escarpement. Cette tannerie existait vraisemblablement bien avant cette date. L'odeur putride qui s'échappait de l'endroit retardera l'implantation d'habitations dans cette partie du faubourg. C'est d'ailleurs dans ce secteur que tous les autres tanneurs s'installeront plus tard au XIXe siècle. » | * INTÉGRAL, « Vers les années 1840, l'Angleterre met fin aux tarifs douaniers préférentiels sur le bois canadien. C'est ce qui entraine une diminution considérable du commerce du bois à Québec et des activités portuaires. Rapidement, l'industrie du cuir, puis de la chaussure, prendra le relais devenant momentanément la plus importante activité économique de la capitale. Cependant, il est faux de croire que c'est à ce moment qu'apparaissent les premières tanneries. En effet, un acte notarié parle d'une tannerie dans le faubourg Saint-Roch dès 1725. C'est la plus ancienne mention d'une tannerie à Québec. Elle était située sur la rue Saint-Vallier, à l'endroit où elle rencontre les actuelles rues Arago, Dorchester et de la Couronne, au pied de l'actuel escalier du Faubourg. Le tanneur Pierre Thomelet profitait alors d'une fontaine qui jaillissait de l'escarpement. Cette tannerie existait vraisemblablement bien avant cette date. L'odeur putride qui s'échappait de l'endroit retardera l'implantation d'habitations dans cette partie du faubourg. C'est d'ailleurs dans ce secteur que tous les autres tanneurs s'installeront plus tard au XIXe siècle. » |
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==== Anneau d'eau du domaine Maizerets ==== | ==== Anneau d'eau du domaine Maizerets ==== |
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* **9 juillet 2012 ** Vignette « Famille en chaloupe sur l’anneau d’eau du Domaine Maizerets vers 1930 » par la Société historique de Québec [[https://www.facebook.com/157594394301478/photos/a.158075344253383/386634374730811/?type=1&theater|lien]] | * **9 juillet 2012 ** Vignette « Famille en chaloupe sur l’anneau d’eau du Domaine Maizerets vers 1930 » par la //Société historique de Québec// [[https://www.facebook.com/157594394301478/photos/a.158075344253383/386634374730811/?type=1&theater|Lien]] |
* EXTRAIT, « Créé en 1849 selon les plans d’aménagement de l’abbé Jean Langevin, professeur de mathématiques au Séminaire de Québec, cet étang artificiel fera la joie des visiteurs du domaine pendant de longues années. Des embarcations y sont laissées sur place pour le plaisir de tous. La navigation paisible sur ce petit plan d’eau au décor enchanteur est une activité familiale ou romantique des plus courues depuis sa création. Les courses effrénées en canot autour de l’île Saint-Hyacinthe, elles, feront le bonheur des nombreux jeunes de passage dans la colonie de vacances Maizerets. » | * EXTRAIT, « Créé en 1849 selon les plans d’aménagement de l’abbé Jean Langevin, professeur de mathématiques au Séminaire de Québec, cet étang artificiel fera la joie des visiteurs du domaine pendant de longues années. Des embarcations y sont laissées sur place pour le plaisir de tous. La navigation paisible sur ce petit plan d’eau au décor enchanteur est une activité familiale ou romantique des plus courues depuis sa création. Les courses effrénées en canot autour de l’île Saint-Hyacinthe, elles, feront le bonheur des nombreux jeunes de passage dans la colonie de vacances Maizerets. » |
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==== Ruisseau Saint-Denys et ruisseau Belleborne ==== | ==== Ruisseau Saint-Denys et ruisseau Belleborne ==== |
* Fiche toponymique au sujet de la rue du Mont-Saint-Denis, [[https://www.ville.quebec.qc.ca/citoyens/patrimoine/toponymie/fiche.aspx?IdFiche=3531|lien]] | * Fiche toponymique au sujet de la rue du Mont-Saint-Denis, [[https://www.ville.quebec.qc.ca/citoyens/patrimoine/toponymie/fiche.aspx?IdFiche=3531|Lien]] |
* INTÉGRAL, « Cette rue traverse l'ancien fief de Saint-Denys, dont une partie est concédée à Noël Juchereau des Chatelets en 1637 et l'autre à Jean Juchereau de Maur, son frère, en 1647. Un ruisseau, aussi appelé Saint-Denys, sépare alors cette propriété de la terre de Belleborne, future châtellenie de Coulonge. Le fief aura plusieurs propriétaires successifs parmi lesquels James Murray, premier gouverneur britannique de Québec (1760-1763). Vers 1810, le domaine est divisé en deux parties. Du côté est, on construit entre 1810 et 1819 une somptueuse villa baptisée Marchmont. Plusieurs membres de l'élite de Québec y habiteront tour à tour, jusqu'à ce que la propriété soit vendue aux Ursulines en 1901. Elle est devenue depuis le domaine Mérici. Quant à la partie ouest de l'ancien fief de Saint-Denys, elle prendra le nom de Wolfesfield et appartiendra à la famille Price. C'est là que va se développer le quartier du Mont-Saint-Denis, appelé aussi quartier de Saint-Denis. » | * INTÉGRAL, « Cette rue traverse l'ancien fief de Saint-Denys, dont une partie est concédée à Noël Juchereau des Chatelets en 1637 et l'autre à Jean Juchereau de Maur, son frère, en 1647. Un ruisseau, aussi appelé Saint-Denys, sépare alors cette propriété de la terre de Belleborne, future châtellenie de Coulonge. Le fief aura plusieurs propriétaires successifs parmi lesquels James Murray, premier gouverneur britannique de Québec (1760-1763). Vers 1810, le domaine est divisé en deux parties. Du côté est, on construit entre 1810 et 1819 une somptueuse villa baptisée Marchmont. Plusieurs membres de l'élite de Québec y habiteront tour à tour, jusqu'à ce que la propriété soit vendue aux Ursulines en 1901. Elle est devenue depuis le domaine Mérici. Quant à la partie ouest de l'ancien fief de Saint-Denys, elle prendra le nom de Wolfesfield et appartiendra à la famille Price. C'est là que va se développer le quartier du Mont-Saint-Denis, appelé aussi quartier de Saint-Denis. » |
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* Le Bois de Coulonge (1862-1962), Office du tourisme, [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3110972?docref=XauL-NypeSnpjkRqd9PueA&docsearchtext=ruisseau%20belleborne|lien]] | * « Le Bois de Coulonge (1862-1962) », //Office du tourisme//, [[http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3110972?docref=XauL-NypeSnpjkRqd9PueA&docsearchtext=ruisseau%20belleborne|Lien]] |
* EXTRAIT, « Le domaine comprenait alors toute la partie est de Sillery, soit les terres bornées au sud par le Saint-Laurent, au nord par l'actuel chemin Saint-Foy, à l'ouest par le ruisseau Belleborne et à l'est par le ruisseau Saint-Denis. » | * EXTRAIT, « Le domaine comprenait alors toute la partie est de Sillery, soit les terres bornées au sud par le Saint-Laurent, au nord par l'actuel chemin Saint-Foy, à l'ouest par le ruisseau Belleborne et à l'est par le ruisseau Saint-Denis. » |
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* L'ancien domaine Woodfield: au coeur de l'histoire botanique nord-américaine, par Suzanne Hardy [[https://enracinart.org/publications/articles/lancien-domaine-woodfield-au-coeur-de-lhistoire-botanique-nord-americaine/|lien]] | * HARDY, Suzanne, « L'ancien domaine Woodfield: au coeur de l'histoire botanique nord-américaine », [[https://enracinart.org/publications/articles/lancien-domaine-woodfield-au-coeur-de-lhistoire-botanique-nord-americaine/|Lien]] |
* COMMENTAIRE, Il est mentionné, notamment, qu'un certain botaniste Pursh était ami avec le marchand de bois William Sheppard et sa conjointe Henrietta (dite Harriet Campbell) tous les deux grands amateurs de botaniques. Ces derniers ont vécu sur le domaine Woodfield de Sillery. Ils ont participé à recenser une partie de la flore nord-américaine. On dit aussi que « William Sheppard s'est même permis, en 1865, une escapade aux abords du ruisseau Belle-Borne en compagnie de l'historien naturaliste James McPherson Le Moine afin de lui enseigner les rudiments de l'étude des fougères. » | * COMMENTAIRE, Il est mentionné, notamment, qu'un certain botaniste Pursh était ami avec le marchand de bois William Sheppard et sa conjointe Henrietta (dite Harriet Campbell) tous les deux grands amateurs de botaniques. Ces derniers ont vécu sur le domaine Woodfield de Sillery. Ils ont participé à recenser une partie de la flore nord-américaine. On dit aussi que « William Sheppard s'est même permis, en 1865, une escapade aux abords du ruisseau Belle-Borne en compagnie de l'historien naturaliste James McPherson Le Moine afin de lui enseigner les rudiments de l'étude des fougères. » |
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* Honorius Provost, « L'Anse du foulon, un cas de toponymie », dans Revue d'histoire de l'Amérique française [[https://www.erudit.org/fr/revues/haf/1974-v28-n1-haf2059/303329ar.pdf|lien]] | * PROVOST, Honorius, « L'Anse du foulon, un cas de toponymie », dans //Revue d'histoire de l'Amérique française// [[https://www.erudit.org/fr/revues/haf/1974-v28-n1-haf2059/303329ar.pdf|Lien]] |
* COMMENTAIRE, À propos des moulins sur les ruisseaux Belleborne et Saint-Denys. | * COMMENTAIRE, À propos des moulins sur les ruisseaux Belleborne et Saint-Denys. |
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| * « Jean-Nicollet soit-disant de Belleborne » dans //L'entraide généalogique//, BAnQ : [[https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4018819docref=R4jGop4cKPMjlBAEZR36qQ&docsearchtext=ruisseau%20belleborne|Lien]] |
| * EXTRAIT, « « C'est Cyprien Tanguay qui le premier mentionne la chose dans son fameux dictionnaire : « Au contrat de mariage de Nicolas Bonhomme, il est appelé Jean Nicolet de Belleborne. – Greffe de Duquet, 2 sept. 1640. Il a laissé son nom de Belle-Borne au ruisseau, qui traversait sa terre, sur la route de Ste. Foye, où se trouve aujourd'hui, le monument des braves de 1760 ». Il y a bien un ruisseau de Belleborne qui marque la limite ouest de la terre concédée à Olivier Letardif et à Jean Nicollet par le gouverneur de Montmagny le 23 mai 1637. C'est donc le ruisseau qui aurait pu laisser son nom à Nicollet et non le contraire ! Au reste, cette terre est située dans l'actuel parc du Bois-de-Coulonge, au sud de la Grande-Allée, bien loin du monument des Braves. » |
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| * BRUNELLE-LAVOIE, Louise et Suzanne BRUNEL, « Étude de caractérisation de l'arrondissement historique de Sillery », BAnQ : [[https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/50670?docref=igsMunpip7nIJ2VaVLq58g&docsearchtext=ruisseau%20saint-denys|Lien]] |
| * EXTRAIT, « En 1651, il obtient d'Olivier Le Tardif l’anse où se jette le ruisseau Saint-Denys, au bas de la terre de Belleborne. En 1659, il accorde une pointe d’une superficie de neuf arpents à l’extrémité nord-ouest de sa terre à son autre fils, Jean Juchereau de La Ferté. Jean Juchereau de Maure habite sur la terre de Saint-Denys de 1651 à 1656. Il y possède un moulin à farine au bas du ruisseau Saint-Denys. » |
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| * La Charcotte, Le bulletin de La Société d’histoire de Sillery Volume 26, juin 2012 : [[http://www.sillery-quebec.com/Charcotte_Brulart_v8.pdf|Lien]] |
| * EXTRAIT, « En 1710, le père Hubert bâtit un foulon (moulin à fouler l’étoffe pour produire du feutre) au pied du ruisseau Saint-Denys, près de l’actuelle côte Gilmour. Le moulin est abandonné au décès du père en 1734, mais sa présence subsiste à ce jour par le vocable « foulon » qui est attaché à l’anse où se déversait jadis le ruisseau, et au chemin de grève. » |
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| * Notes sur les registres de Notre-Dame de Québec, BAnQ : [[https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2022422?docref=o33zZgdYVJcaNz9B5TTNcg&docsearchtext=ruisseau%20rouge|Lien]] |
| * EXTRAIT, « Deux moulins à farine étaient érigés dans les environs; l'un, sur le ruisseau Saint-Denis, qui traverse le chemin du Cap-Rouge, près de la résidence du gouverneur ; le réservoir paraît avoir occupé la cavité avoisinante. Ce moulin, ainsi que le fief sur lequel il était, appartenait à M. Juchereau. Un second moulin était sur le ruisseau Belle-Borne, qui traverse la voie publique près de la demeure de M. Gibb ; il se trouvait sur une terre de 160 arpents concédée aux sieurs Nicollet et Olivier Le Tardif. » (p.74-75) |
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==== Anse Cul-de-sac ==== | ==== Anse Cul-de-sac ==== |
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* « An archaeological view of the French colonial port of Québec », par Serge Rouleau dans //Post-Medieval Archaeology//, 1 juin 2009, vol 43, edition 1 | * ROULEAU, Serge, « An archaeological view of the French colonial port of Québec », dans //Post-Medieval Archaeology//, 1 juin 2009, vol 43, edition 1 |
* EXTRAITS, « Historically, the Québec shoreline featured a number of coves which provided rudimentary havens from the river current and temporary shelter from the wind and waves. However, the depth of the riverbed varied greatly in this stretch of the river: for example, there were deep waters off the cove known as Anse du Cul-de-Sac, whereas sites to the north generally had wide foreshores. » (p.230) | * EXTRAITS, « Historically, the Québec shoreline featured a number of coves which provided rudimentary havens from the river current and temporary shelter from the wind and waves. However, the depth of the riverbed varied greatly in this stretch of the river: for example, there were deep waters off the cove known as Anse du Cul-de-Sac, whereas sites to the north generally had wide foreshores. » (p.230) |
* « Port du Culde-Sac, the oldest such harbour, was located in a cove of the same name, wedged between the cliffside and a spit of land known as Pointe aux Roches. » (p.230) | * « Port du Culde-Sac, the oldest such harbour, was located in a cove of the same name, wedged between the cliffside and a spit of land known as Pointe aux Roches. » (p.230) |
* « The harbour activities conducted at Culde-Sac did not lead to the construction of many facilities. The structures that were built in the sector stemmed primarily from the establishment of the royal shipyard. As archaeological work could only be undertaken in the streets nearby, little information concerning the Cul-de-Sac sector has been found. Despite today’s office buildings, the site of this ‘port’ offers some archaeological potential: beneath today’s car parks and public roads there may lie harbour-related facilities and a number of royal shipyard structures. It is thought that a little over 65% of the Port du Cul-de-Sac archaeological site could survive below unoccupied spaces. » (p.240) | * « The harbour activities conducted at Culde-Sac did not lead to the construction of many facilities. The structures that were built in the sector stemmed primarily from the establishment of the royal shipyard. As archaeological work could only be undertaken in the streets nearby, little information concerning the Cul-de-Sac sector has been found. Despite today’s office buildings, the site of this ‘port’ offers some archaeological potential: beneath today’s car parks and public roads there may lie harbour-related facilities and a number of royal shipyard structures. It is thought that a little over 65% of the Port du Cul-de-Sac archaeological site could survive below unoccupied spaces. » (p.240) |
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* « Bugs, seeds and weeds at the Intendant’s Palace: a study of an evolving landscape », par Allison Bain, Julie-Anne Bouchard-Perron, Réginald Auger et Daniel Simoneau dans //Post-Medieval Archaeology//, 1 juin 2009, vol 43, edition 1 | * BAIN, Allison, Julie-Anne BOUCHARD-PERRON, Réginald AUGER et Daniel SIMONEAU, « Bugs, seeds and weeds at the Intendant’s Palace: a study of an evolving landscape », dans //Post-Medieval Archaeology//, 1 juin 2009, vol 43, edition 1 |
* EXTRAIT, « The basin may have also been used to store the boats by submerging them when they were not in use. The engineer Jacques Levasseur de Néré proposed similar harbours in the Cul-de-Sac and Sault-au-Matelot sectors, which also allowed boats to enter at high tide. » (p.186) | * EXTRAIT, « The basin may have also been used to store the boats by submerging them when they were not in use. The engineer Jacques Levasseur de Néré proposed similar harbours in the Cul-de-Sac and Sault-au-Matelot sectors, which also allowed boats to enter at high tide. » (p.186) |
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