Le peu d'actions/d'événements (souvent d'une grande banalité) qui composent ce roman donnent pourtant lieu à de multiples réflexions et remise en question chez les personnages: « Si Blondeau pousse l'audace à nous décrire pendant quelques lignes une activité quelconque, disons le fait que Nicolas avance de trois pas, s'ensuivront trois pages de questionnements « profonds-creux » sur le pourquoi du geste, sur ce que les deux autres en ont pensé, sur ce que cela remet en question dans la relation de couple qu'il entretient avec Sophie, dans la tension vitale qui le lie à Colleen, etc. Ce roman tient en une quinzaine, une vingtaine d'actions : aller dormir, manger, construire une cabane (des cabanes), se demander s'il y a lieu d'explorer l'île, décider d'explorer l'île (en remettant en question celui qui sera à l'origine de la décision...), etc. » (//Lettres québécoises//, n° 116 (2004), http://id.erudit.org/iderudit/36989ac) | Le peu d'actions/d'événements (souvent d'une grande banalité) qui composent ce roman donnent pourtant lieu à de multiples réflexions et remises en question chez les personnages: « Si Blondeau pousse l'audace à nous décrire pendant quelques lignes une activité quelconque, disons le fait que Nicolas avance de trois pas, s'ensuivront trois pages de questionnements « profonds-creux » sur le pourquoi du geste, sur ce que les deux autres en ont pensé, sur ce que cela remet en question dans la relation de couple qu'il entretient avec Sophie, dans la tension vitale qui le lie à Colleen, etc. Ce roman tient en une quinzaine, une vingtaine d'actions : aller dormir, manger, construire une cabane (des cabanes), se demander s'il y a lieu d'explorer l'île, décider d'explorer l'île (en remettant en question celui qui sera à l'origine de la décision...), etc. » (//Lettres québécoises//, n° 116 (2004), http://id.erudit.org/iderudit/36989ac) |