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Table des matières
FICHE DE LECTURE
I- MÉTADONNÉES ET PARATEXTE
Auteur : Pierre Drachline
Titre : Une enfance à perpétuité
Éditeur : Le cherche midi
Collection : –
Année : 2000
Éditions ultérieures : –
Désignation générique : Roman (sur la couverture)
Quatrième de couverture :
« L'enfant ne se reconnaît aucune qualité, sinon celle de mauvais payeur. Aussi supporte-t-il mal, à l'approche de la cinquantaine, de devoir verser des acomptes à la mort, fût-ce une dent. »
Cette volonté de vivre une enfance à perpétuité est aussi, pour le narrateur, une façon de prendre le maquis de lui-même. Dès cet instant, Pierre Drachline se glisse dans la peau du vieil enfant à la cinquantaine désabusée, dont la terrible lucidité exprime des accents naufragés.
Le livre s'ouvre sur la mort du père avec lequel l'enfant n'a jamais su parler. Avec sa mère, il se promène dans “le jardin du souvenir”, métaphore où se mêlent vie et cendres. Quand le livre s'achève, jamais l'enfant ne s'est senti aussi proche du père disparu, “étranger à son propre destin”.
Une vie à l'optimisme désespéré se déroule entre ces deux instants, sur fond d'une France d'après-guerre, des événements d'Algérie, des mirages du cinéma. Et puis il y a les livres où l'enfant se réfugie comme sur une île déserte, mais peuplée de milliers de personnages visibles pour lui seul.
Qu'il ait huit ans ou un demi-siècle, l'antihéros de ce roman nous touche au plus profond de notre être.
(Tiré du site web de l'éditeur)
II- CONTENU GÉNÉRAL
Résumé de l’œuvre :
Thème(s) :
III – JUSTIFICATION DE LA SÉLECTION
Explication (intuitive mais argumentée) du choix :
Appréciation globale :
IV – TYPE DE RUPTURE
Validation du cas au point de vue de la rupture
a) actionnelle : Remise en question de l’intention (et éventuellement de la motivation); logiques cognitives/rationnelles ou sensibles; présence ou absence d’un nœud d’intrigue et d’une résolution; difficulté/incapacité à s’imaginer transformer le monde (à s’imaginer le monde transformable), etc.
b) interprétative : Difficulté/incapacité à donner sens au monde (à une partie du monde) de façon cohérente et/ou conforme à certaines normes interprétatives; énigmaticité et/ou illisibilité du monde; caducité ou excentricité interprétative; etc.
V – SPÉCIFICITÉS POÉTIQUES
Validation du cas au point de vue narratif/poétique (voix, fiabilité du narrateur, registres fictionnels, temporels, type de configuration narrative, etc.)