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ranx:le_sourire_de_la_petite_juive

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 **Justification** **Justification**
  
-Françoise Camirand entreprend d'écrire un roman qui dresse le portrait de ses voisins, cette micro-communauté mythique que représentent les habitants de la rue Hutchison. Mais ce qui s'avère le plus intéressant pour notre projet se trouve dans les extraits du journal intime de Hinda Rochel, une juive hassidique de 12 ans, qui entrecoupent le roman. L'adolescente s'y questionne sur les valeurs de sa communauté juive hassidique ainsi que sur ses rapports avec les autres groupes, avec la société:+Françoise Camirand dresse le portrait de ses voisins, cette micro-communauté mythique que représentent les habitants de la rue Hutchison. Mais ce qui s'avère le plus intéressant pour notre projet se trouve dans les extraits du journal intime de Hinda Rochel, une juive hassidique de 12 ans, qui entrecoupent le roman. L'adolescente s'y questionne sur les valeurs de sa communauté juive hassidique ainsi que sur ses rapports avec les autres groupes, avec la société:
  
 « Dans les pages de son journal intime, Hinda Rochel nous fait entrer dans l’univers d’une famille juive hassidique. L’adolescente profite du secret de sa chambre pour y écrire son regard inquiet et critique sur la société de stricte obédience qui l’entoure. Elle interroge entre autres le rôle dans lequel les femmes sont confinées et les rapports interdits entre les goys, les non-juifs, et les siens. Nous ne sommes pas dans la rébellion d’Aaron, le héros d’Yves Thériault, mais témoins du questionnement de Hinda sur sa communauté et les autres résidants de son « Dans les pages de son journal intime, Hinda Rochel nous fait entrer dans l’univers d’une famille juive hassidique. L’adolescente profite du secret de sa chambre pour y écrire son regard inquiet et critique sur la société de stricte obédience qui l’entoure. Elle interroge entre autres le rôle dans lequel les femmes sont confinées et les rapports interdits entre les goys, les non-juifs, et les siens. Nous ne sommes pas dans la rébellion d’Aaron, le héros d’Yves Thériault, mais témoins du questionnement de Hinda sur sa communauté et les autres résidants de son
 quartier. » (//Lettres québécoises//, n° 144 (2011), http://id.erudit.org/iderudit/65689ac) quartier. » (//Lettres québécoises//, n° 144 (2011), http://id.erudit.org/iderudit/65689ac)
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