Viart parle dans son ouvrage de sujets et de thèmes qui se rapprochent des éléments constituants du fait divers (c'est moi, et non lui, qui fait le rapprochement): drames intimes, banalité, l'inscription de ces petits drames dans la collectivité, mais pas du fait divers en tant que tel. Il mentionne aussi l'inspiration que les romans (surtout policiers) puisent dans les grandes affaires politiques et judiciaires inscrites dans l'Histoire officielle; le genre se pose comme observatoire du réel.