La revanche de l’écrivaine fantôme

Présentation de l'éditeur

Un train déraille. Bon début. L’aventure peut commencer. Johanne Delambre se met à écrire. Elle aura beaucoup de succès. Tous les ingrédients sont réunis pour un roman plein de suspense et de rebondissements. Un roman? Pourquoi pas trois romans. Mais d’abord, un train doit dérailler.

Justification

La trame narrative de ce roman est volontairement difficile à résumer et ne contient aucune véritable chute. Cette histoire impossible, contenant une trentaine de tableaux, est faite d'une suite de mises en abyme de plus en plus déroutante.

• Voir le compte rendu paru dans Lettres québécoises, n° 157 (2015), http://id.erudit.org/iderudit/73529ac.
• Incipit du roman, où le narrateur tourne en dérision les récits qui commencent in medias res alors que lui se trouve « dans un récit qui ne commence pas » et où il ne survient que de minces péripéties. Dans cet extrait, le narrateur imagine aussi à quelques reprises ce qui pourrait se passer « si… » ou ce qu'il aurait pu dire/faire dans telle situation, pour ensuite narrer ce qui se passe réellement, mais qui s'avère toujours plus banal/décevant.