ranx:extension_du_domaine_de_la_lutte
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+ | * PROGUIDIS, Lakis, « II. Preuves irréfutables de la non-existence de la société. //Extension du domaine de la lutte// de Michel Houellebecq », dans //De l’autre côté du brouillard. Essai sur le roman français contemporain//, | ||
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En utilisant la théorie reprise par Vincent Jouve, il est remarqué que la réglementation ambigile du rapport à la fiction qu’instaure l’auteur repose sur la même idée. Sélectionnant des procédés de la « lecture participative » - comme la vraisemblance et l’intrigue linéaire - et des procédés de la « lecture distanciée » - comme les jeux onomastiques, | En utilisant la théorie reprise par Vincent Jouve, il est remarqué que la réglementation ambigile du rapport à la fiction qu’instaure l’auteur repose sur la même idée. Sélectionnant des procédés de la « lecture participative » - comme la vraisemblance et l’intrigue linéaire - et des procédés de la « lecture distanciée » - comme les jeux onomastiques, | ||
Finalement, l’évidente volonté de communiquer des thèses qui émane du texte porte à considérer ce roman comme appartenant au genre du roman à thèse. Se servant de la définition détaillée du genre qu’a faite Susan Rubin Suleiman, l’étude souligne cependant que, même si Extension du domaine de la lutte emprunte certaines méthodes didactiques au roman à thèse, il s’y rattache difficilement en raison du flou moral qui entoure le personnage principal, avant tout porté sur la détention de la vérité plutôt que sur l’incarnation irréfutable du bien que représente obligatoirement le héros de roman à thèse. | Finalement, l’évidente volonté de communiquer des thèses qui émane du texte porte à considérer ce roman comme appartenant au genre du roman à thèse. Se servant de la définition détaillée du genre qu’a faite Susan Rubin Suleiman, l’étude souligne cependant que, même si Extension du domaine de la lutte emprunte certaines méthodes didactiques au roman à thèse, il s’y rattache difficilement en raison du flou moral qui entoure le personnage principal, avant tout porté sur la détention de la vérité plutôt que sur l’incarnation irréfutable du bien que représente obligatoirement le héros de roman à thèse. | ||
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- | * PROGUIDIS, Lakis, « II. Preuves irréfutables de la non-existence de la société. //Extension du domaine de la lutte// de Michel Houellebecq », dans //De l’autre côté du brouillard. Essai sur le roman français contemporain//, | ||
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