Mon compte rendu : L’ouvrage de Bootz semble être une référence dans le domaine; sa définition de la littérature numérique comme « « toute forme narrative ou poétique qui utilise le dispositif informatique comme un médium et met en œuvre une ou plusieurs propriétés spécifiques à ce médium » exclut en effet la notion de texte : pour Bootz, la littérature numérique est en effet d’abord et avant tout un art du rapport au langage (source :
https://acolitnum.hypotheses.org/tag/bootz, consulté le 31 janvier 2017). Selon DEBEAUX, Gaëlle, Bootz propose également deux façons d’approcher la littérature numérique : « D’une part, on peut distinguer ce qui relève de la lecture du texte à l’écran : on s’intéressera alors au résultat observable, à partir duquel il s’agira d’établir des distinctions. Philippe Bootz en voit trois : il distingue la littérature générative, la poésie animée, et l’hypertexte, qui diffèrent par la lecture que l’on va en avoir ou que l’œuvre implique. D’autre part, on peut distinguer ce qui relève du rôle spécifique du dispositif de communication : dans ce deuxième cas, Philippe Bootz différencie les installations, les œuvres collectives ou collaboratives, et les œuvres centrées sur le programme. », trouvé sur
https://acolitnum.hypotheses.org/36, le 31 janvier 2016.