Différences
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| livrenum:fahrenheit_451 [2017/06/30 17:14] – charles | livrenum:fahrenheit_451 [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1 |
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| * Commentaire : //Fahrenheit 451// est une oeuvre comparable à l'oeuvre [[livrenum:le_dernier_gaulois|Le dernier gaulois]] dans sa forme: une bande dessinée numérique sur support web à défilement vertical. Après avoir lu les deux œuvres, je dois dire que l'expérience de lecture est moins intéressante dans //Fahrenheit 451//. Tout d'abord, l'intérêt d'une création du genre est de donner une continuité à la lecture. Or, si c'est le cas pour //Le dernier gaulois//, c'est plus problématique chez son homologue. En effet, plutôt que d'opter pour une grande illustration qui défile, les 13 illustrations (1 par chapitre) se succèdent de manière saccadée et souvent sans qu'on puisse les faire défiler. Ainsi, seul le texte accompagne le mouvement du lecteur. De plus, j'ai rencontré quelques bogues où des bouts de texte sont manquants et où des mots sont partiellement effacés. Alors que Lifeblood vante l'efficacité et la facilité de son système, on y voit déjà des failles. Par ailleurs, l'intégration d'effets sonores et d'un narrateur aurait été un ajout bénéfique à l'oeuvre. L'un des seuls points positifs: les illustrations sont très bien réussies. | * Commentaire : //Fahrenheit 451// est une oeuvre comparable au [[livrenum:le_dernier_gaulois|Dernier gaulois]] dans sa forme: une bande dessinée numérique à défilement vertical sur support web. Après avoir lu les deux œuvres, je dois dire que l'expérience de lecture est moins intéressante dans //Fahrenheit 451//. Tout d'abord, l'intérêt d'une création du genre est de donner une continuité à la lecture. Or, si c'est le cas pour //Le dernier gaulois//, c'est plus problématique chez son homologue. En effet, plutôt que d'opter pour une grande illustration qui défile, les 13 illustrations (1 par chapitre) se succèdent de manière saccadée et souvent sans qu'on puisse les faire défiler. Ainsi, seul le texte accompagne le mouvement du lecteur. De plus, j'ai rencontré quelques bogues où des bouts de texte sont manquants et où des mots sont partiellement effacés. Alors que Lifeblood vante l'efficacité et la facilité de son système, on y voit déjà des failles. Par ailleurs, l'intégration d'effets sonores et d'un narrateur aurait été un ajout bénéfique à l'oeuvre. L'un des seuls points positifs: les illustrations sont très bien réussies. |
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