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« Autour de la machine s'est jouée une série de déplacements de nature en fait très différente : avec la modernité, la machine est devenue l'emblème d'un nouveau rapport au réel, et la rupture est d'ordre esthétique ; avec les avant-gardes, la rupture est d'ordre poïétique, la machine accompagne une nouvelle approche de la création, fondée sur l'expérimentation et l'intervention/l'action. Il est possible que la génération actuelle – celle née après 1970 – privilégie une rupture épistémologique, pour laquelle la définition précédente sera peut-être caduque : si le processus reste expérimental, parce que la complexité et l'évolution de l'outil l'impose, les enjeux ne paraissent plus tenir à l'exploration des procédures et des procédés, mais à la volonté d'intégrer la nouvelle révolution technologique. »
(conclusion p. 254)