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| fq-equipe:marchand_de_feuilles [2014/03/04 12:21] – kpietrantonio | fq-equipe:marchand_de_feuilles [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1 |
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| **Lieu** : Montréal | **Lieu** : Montréal |
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| **Année de fondation** : octobre 2001 | **Année de fondation** : octobre 2000 (d'autres sources donnent octobre 2001 - mais selon le registraire des entreprises, c'est bien 2000) |
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| **Fondateurs** : Mélanie Vincelette | **Fondateurs** : Mélanie Vincelette |
| ==== Poésie sauvage ==== | ==== Poésie sauvage ==== |
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| Martin Ouellet | MARTIN OUELLET |
| **- //L’abîme du bétail//, poèmes, 2008, 50 p.** | **- //L’abîme du bétail//, poèmes, 2008, 50 p.** |
| Dans un monde où un marin se noie dans sa piscine de banlieue, les âmes affamées sont pourchassées par des huissiers. L'abîme du bétail relève de la poésie punk, de la prière primale et du slam. Ce recueil nécessite un pince-nez et les outils d'un spéléologue pour garantir la survie du lecteur. La cruauté y est galopante, les hommes portent des sabots et l'indigestion est toujours proche. L'abîme du bétail est un livre à lire avant la pesée des âmes. | Dans un monde où un marin se noie dans sa piscine de banlieue, les âmes affamées sont pourchassées par des huissiers. L'abîme du bétail relève de la poésie punk, de la prière primale et du slam. Ce recueil nécessite un pince-nez et les outils d'un spéléologue pour garantir la survie du lecteur. La cruauté y est galopante, les hommes portent des sabots et l'indigestion est toujours proche. L'abîme du bétail est un livre à lire avant la pesée des âmes. |
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| Jérôme Lafond | JÉRÔME LAFOND |
| **- //Buffalo ou le chat est un animal triangulaire//, poèmes, 2008, 81 p.** | **- //Buffalo ou le chat est un animal triangulaire//, poèmes, 2008, 81 p.** |
| Enfants fous armés de vilebrequins qui percent les murs étroits d'une maison, pères de famille qui portent de vieilles perruques platine, gourous qui demandent à leurs disciples de se prosterner dans la lueur des chalumeaux bleutés. Lire ces poèmes est comme retrouver un peu de la faune et la flore laurentienne devenue carnivore. | Enfants fous armés de vilebrequins qui percent les murs étroits d'une maison, pères de famille qui portent de vieilles perruques platine, gourous qui demandent à leurs disciples de se prosterner dans la lueur des chalumeaux bleutés. Lire ces poèmes est comme retrouver un peu de la faune et la flore laurentienne devenue carnivore. |
| Poésie ou rap sauvage les poèmes du wah-wah offrent un lyrisme viscéral où amour, haine et mécanique se rencontrent sur un terrain peuplé d'ancêtres. | Poésie ou rap sauvage les poèmes du wah-wah offrent un lyrisme viscéral où amour, haine et mécanique se rencontrent sur un terrain peuplé d'ancêtres. |
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| Alexandre Faustino | ALEXANDRE FAUSTINO |
| **- //Épiphanie//, poèmes, 2007, 74 p.** | **- //Épiphanie//, poèmes, 2007, 74 p.** |
| Dans une langue des neiges et le frôlement des biches, Épiphanie présente une nouvelle géographie issue de la terre. Dans un pays où les fémurssont transformés en cierges blancs, Alexandre Faustino invoque les patriotes. De Chénier au Great Antonio en passant par René Lévesque,ce recueil interpelle le pays avant de réclamer justice. Plus encore, il provoque un vertige dont on ne devrait jamais se délivrer. | Dans une langue des neiges et le frôlement des biches, Épiphanie présente une nouvelle géographie issue de la terre. Dans un pays où les fémurssont transformés en cierges blancs, Alexandre Faustino invoque les patriotes. De Chénier au Great Antonio en passant par René Lévesque,ce recueil interpelle le pays avant de réclamer justice. Plus encore, il provoque un vertige dont on ne devrait jamais se délivrer. |
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| Maxime Catellier | MAXIME CATELLIER |
| **- //Préhistoire du monde suivi de Inferno//, poésie, 2006, 104 p.** | **- //Préhistoire du monde suivi de Inferno//, poésie, 2006, 104 p.** |
| Écrin pour des idoles pourchassées, Préhistoire du monde présente une cosmogonie post-dada où on trouve au détour d'un lac-ossuaire des hommes sans loyer, des animaux aterrestres, un inferno où un prince fou dévore dans sa patte un géni s'étripant. Un mondefabuleux filé d'une Ève évanescente où la hache vient fendre l'orgue de l'église. | Écrin pour des idoles pourchassées, Préhistoire du monde présente une cosmogonie post-dada où on trouve au détour d'un lac-ossuaire des hommes sans loyer, des animaux aterrestres, un inferno où un prince fou dévore dans sa patte un géni s'étripant. Un mondefabuleux filé d'une Ève évanescente où la hache vient fendre l'orgue de l'église. |
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| Julien Dupuis | JULIEN DUPUIS |
| **- //Lubiak : petite fugue en quatre actes//, poésie, 2005, 106 p. *** | **- //Lubiak : petite fugue en quatre actes//, poésie, 2005, 106 p. *** |
| Orphelin de la fantaisy post-post-moderne, Julien Dupuis grandit entre la piaule familiale et un orphelinat bénédictin à Westmount. À 22 ans il soutient une thèse de doctorat en lettres québécoises intitulée Individu créateur et entraînement à la créativité. Assujetti à une ordonnance de non-publication il voit tous ses bouquins, ses diplômes, son studio de radio saisis par des avocats et finalement par la fondation Booker. | Orphelin de la fantaisy post-post-moderne, Julien Dupuis grandit entre la piaule familiale et un orphelinat bénédictin à Westmount. À 22 ans il soutient une thèse de doctorat en lettres québécoises intitulée Individu créateur et entraînement à la créativité. Assujetti à une ordonnance de non-publication il voit tous ses bouquins, ses diplômes, son studio de radio saisis par des avocats et finalement par la fondation Booker. |
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| Kevin Vigneau | KEVIN VIGNEAU |
| **- //Stances : florilège//, poésie, 2004, 56 p. *** | **- //Stances : florilège//, poésie, 2004, 56 p. *** |
| C'est un secret mal gardé qu'une poésie nouvelle s'élabore dans les souterrains de la ville depuis l'entour de l'an deux mille. On en parle à voix basse dans les cocktails de versificateurs officiels. La rumeur inquiète évoque une vague menaçante de jeunes poètes décrocheurs qui se réclament d'une esthétique à contre-pied de celle à laquelle les publications actuelles nous habituent. On murmure qu'ils se rencontrent, s'organisent et travaillent la langue dans leurs labos clandestins. On s'effraie au bruit qui court: cette insurrection appréhendée serait fondée sur la prosodie classique et la fréquentation de poètes français enterrés à Samoreau ou au cimetière marin! | C'est un secret mal gardé qu'une poésie nouvelle s'élabore dans les souterrains de la ville depuis l'entour de l'an deux mille. On en parle à voix basse dans les cocktails de versificateurs officiels. La rumeur inquiète évoque une vague menaçante de jeunes poètes décrocheurs qui se réclament d'une esthétique à contre-pied de celle à laquelle les publications actuelles nous habituent. On murmure qu'ils se rencontrent, s'organisent et travaillent la langue dans leurs labos clandestins. On s'effraie au bruit qui court: cette insurrection appréhendée serait fondée sur la prosodie classique et la fréquentation de poètes français enterrés à Samoreau ou au cimetière marin! |
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| Jade Bérubé | JADE BÉRUBÉ |
| **- //Komsomolets//, poèmes, 2004, 75 p. *** | **- //Komsomolets//, poèmes, 2004, 75 p. *** |
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| Henrye Varennes | HENRYE VARENNES |
| **- //Les intimités parallèles//, poèmes et proses, 2005, 68 p. ** | **- //Les intimités parallèles//, poèmes et proses, 2005, 68 p. ** |
| Comme un étrange musée de sciences naturelles, ce recueil de poésie compile les cycles de la sève, la giboulée de Purcell, les secousses des hérauts.Les vers plongent dans le territoire nordique, où ’imaginaire poétique évolue, rythmé. Les vibrations des mots atteignent l’oreille intime et silencieuse de qui les parcourent. Il vaut mieux effeuiller ces vers à voix haute, telle une chanson qui n’a pas encore sa musique. | Comme un étrange musée de sciences naturelles, ce recueil de poésie compile les cycles de la sève, la giboulée de Purcell, les secousses des hérauts.Les vers plongent dans le territoire nordique, où ’imaginaire poétique évolue, rythmé. Les vibrations des mots atteignent l’oreille intime et silencieuse de qui les parcourent. Il vaut mieux effeuiller ces vers à voix haute, telle une chanson qui n’a pas encore sa musique. |
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| Philippe Tétreau | PHILIPPE TÉTREAU |
| **- //La grande ourse avait une petite sœur//, poème, 2003, 70 p. *** | **- //La grande ourse avait une petite sœur//, poème, 2003, 70 p. *** |
| Voyage dans un pays enchanté, La grande ourse avait une petite soeur est une grande fresque surréaliste où se côtoient héros et anti-héros, poètes et brigands plongés dans une quête sans début et sans fin. On lit ce poème épique comme on se perd dans une toile de Jérôme Bosh. | Voyage dans un pays enchanté, La grande ourse avait une petite soeur est une grande fresque surréaliste où se côtoient héros et anti-héros, poètes et brigands plongés dans une quête sans début et sans fin. On lit ce poème épique comme on se perd dans une toile de Jérôme Bosh. |
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| Frédérique Marleau | FRÉDÉRIQUE MARLEAU |
| **-// Visages de Marie//, poésie, 2006, 176 p.** | **-// Visages de Marie//, poésie, 2006, 176 p.** |
| Visages de Marie présente le féminin fragmenté en neuf Visages qu'éclaire un regard kaléidoscopique. En lui la Guerrière combat la Noire, la Vierge pleure le détournement de ses origines, la Mère côtoie la Putain, la Fille envie l'Amante et la Tribade cherche la Sœur. Éclats de miroir envisagés à travers le même optique, leurs extrémités multiples se confondent, les paradoxes s'enamourent ; ils révèlent bien plus qu'ils ne cachent, ils dénudent, traquent, exhibent les secrets de ces portraits incomplets amalgamés dans un désir de réunification. Ce sont ces morceaux épars de la femme démembrée qui, recueillis en une rayonnante mosaïque, reflète l'émergence d'un dixième visage, celui de Marie, surgissement de la Déesse-Vivante au cœur du présent incarné. | Visages de Marie présente le féminin fragmenté en neuf Visages qu'éclaire un regard kaléidoscopique. En lui la Guerrière combat la Noire, la Vierge pleure le détournement de ses origines, la Mère côtoie la Putain, la Fille envie l'Amante et la Tribade cherche la Sœur. Éclats de miroir envisagés à travers le même optique, leurs extrémités multiples se confondent, les paradoxes s'enamourent ; ils révèlent bien plus qu'ils ne cachent, ils dénudent, traquent, exhibent les secrets de ces portraits incomplets amalgamés dans un désir de réunification. Ce sont ces morceaux épars de la femme démembrée qui, recueillis en une rayonnante mosaïque, reflète l'émergence d'un dixième visage, celui de Marie, surgissement de la Déesse-Vivante au cœur du présent incarné. |
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| Laure Bouvier | LAURE BOUVIER |
| **- //Tanisi//, roman, 2012, 264 p.** | **- //Tanisi//, roman, 2012, 264 p.** |
| Sur fond de mariages des mobilisés, où les fiancées ont tracé des lignes au crayon sur leurs jambes faute de pouvoir se payer des bas de soie, Pierre Gauthier s'enfuit. Qui remarquera son départ ? Tante Rosalie que l'on surnomme l'abat-jour ? Le ferrailleur juif qui lui a offert un globe terrestre ? Ou sa mère qui, à peine la vaisselle faite, épluche les carottes pour le prochain repas ? Sa fuite sera freinée par un remède miracle : s'agira-t-il d'un pansement de cassonade dans une feuille de chou ou de l'amour d'une jeune fille ? Pierre Gauthier n'ira pas au front, mais il lui faudra du moins apprendre à se cacher dans un pays où, si les Métis parlent entre eux en cri, l'institutrice transperce leur langue avec des aiguilles. Tanisi, c'est la beauté qui surgit des aspérités du monde, quand tout semble vouloir s'écrouler. | Sur fond de mariages des mobilisés, où les fiancées ont tracé des lignes au crayon sur leurs jambes faute de pouvoir se payer des bas de soie, Pierre Gauthier s'enfuit. Qui remarquera son départ ? Tante Rosalie que l'on surnomme l'abat-jour ? Le ferrailleur juif qui lui a offert un globe terrestre ? Ou sa mère qui, à peine la vaisselle faite, épluche les carottes pour le prochain repas ? Sa fuite sera freinée par un remède miracle : s'agira-t-il d'un pansement de cassonade dans une feuille de chou ou de l'amour d'une jeune fille ? Pierre Gauthier n'ira pas au front, mais il lui faudra du moins apprendre à se cacher dans un pays où, si les Métis parlent entre eux en cri, l'institutrice transperce leur langue avec des aiguilles. Tanisi, c'est la beauté qui surgit des aspérités du monde, quand tout semble vouloir s'écrouler. |
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| Bianca Joubert | BIANCA JOUBERT |
| **- //Le brodeur//, roman, 2012,160 p.** | **- //Le brodeur//, roman, 2012,160 p.** |
| « Dans le dénuement j'ai trouvé l'abondance. » raconte Bianca Joubert parachutée à la lisière du Sahel dans un lieu sans miroirs, fenêtres ou vitrines pour lui rendre son reflet. Elle se retrouvera dans les gestes taciturnes d'un brodeur coincé entre ses croyances et la modernité au creux d'un village où les femmes marchent un enfant au dos, un plateau sur la tête en tricotant. Par delà les nuits où le silence est d'une telle qualité qu'on croirait entendre le scintillement des étoiles leur histoire se déploiera, cousue de malentendus et de non dits. Le brodeur quittera ce pays où il dessine des motifs magiques à l'échancrure des cols, où les sorcières concoctent des potions d'espoir avec des feuilles de baobab pour retrouver l'Occident et ses plantations d'oranges amères. Un livre en sfumato où l'on apprend à lire son avenir dans le profil des dunes. | « Dans le dénuement j'ai trouvé l'abondance. » raconte Bianca Joubert parachutée à la lisière du Sahel dans un lieu sans miroirs, fenêtres ou vitrines pour lui rendre son reflet. Elle se retrouvera dans les gestes taciturnes d'un brodeur coincé entre ses croyances et la modernité au creux d'un village où les femmes marchent un enfant au dos, un plateau sur la tête en tricotant. Par delà les nuits où le silence est d'une telle qualité qu'on croirait entendre le scintillement des étoiles leur histoire se déploiera, cousue de malentendus et de non dits. Le brodeur quittera ce pays où il dessine des motifs magiques à l'échancrure des cols, où les sorcières concoctent des potions d'espoir avec des feuilles de baobab pour retrouver l'Occident et ses plantations d'oranges amères. Un livre en sfumato où l'on apprend à lire son avenir dans le profil des dunes. |
| Collection destinée « aux enfants savants qui n’aiment pas qu’on leur parle en bébé. » | Collection destinée « aux enfants savants qui n’aiment pas qu’on leur parle en bébé. » |
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| Mélanie Tellier | MÉLANIE TELLIER |
| **//Grand-remous//, illustrations de Melinda Josie, 2011.** | **//Grand-remous//, illustrations de Melinda Josie, 2011.** |
| **//Le géranium//, illustrations de Melinda Josie, 2009, 45 p.** | **//Le géranium//, illustrations de Melinda Josie, 2009, 45 p.** |
| **//Tarentelle//, illustrations de Shea Chang, 2010, 48 p.** | **//Tarentelle//, illustrations de Shea Chang, 2010, 48 p.** |
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| Julie Massy | JULIE MASSY |
| **//Manger le zoo//, 2009, 48 p.** | **//Manger le zoo//, 2009, 48 p.** |
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| Clémentine Derodit | CLÉMENTINE DERODIT |
| **//Et toque !//, 2009, 48 p.** | **//Et toque !//, 2009, 48 p.** |
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